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EAN : 9782280377546
HQN (05/04/2017)
3.67/5   6 notes
Résumé :
Ils ne partagent que deux choses : les préjugés? et le désirLorsque Bea s'est installée à Harrington pour remplacer une institutrice, elle ne s'attendait pas à un accueil en grande pompe ; mais entre le tapis rouge et la franche hostilité, il y a un juste milieu, tout de même. Certes, elle est la fille du richissime homme d'affaires Sean Newel, qui menace de racheter la chocolaterie qui fait vivre la ville, mais sa venue n'a rien à voir avec ces histoires d'acquisit... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (4) Ajouter une critique
J'ai bien cru que je n'irais pas plus loin que les premiers chapitres qui accumulent une palanquée de clichés sur les pauvres petites filles riches surprotégées et pas appréciées à leur juste valeur, mais qui, dans les faits, ne sont réellement capables de rien, y compris de se préparer un café buvable.

Et toute l'histoire est à l'image de ces stéréotypes, dénuée de toute subtilité et même franchement caricaturale dès que cela touche à l'héroïne, jusque dans sa manière d'exercer son métier d'institutrice. Les personnages secondaires sont plus crédibles, heureusement. Mais à force de voir s'accumuler les clichés et les gags lourds, on finit par en rire à défaut d'entrer dans l'histoire...
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Béa, fille d'un riche industriel du biscuit, décide, sur un coup de tête, d'envoyer toute sa vie de starlette dorée en l'air. Elle quitte donc Chicago pour une toute petite bourgade à l'autre bout des Etats-Unis. Pourquoi ? Parce qu'elle a répondu à l'annonce de la mairie pour devenir la maîtresse remplaçante du village. Entre ville morte, enfants diablotins et animosité de ces voisins, Béa ne pensait pas qu'à l'autre bout du pays, on la verrait encore comme la fille de son père. Et pour cause ! Sa venue est vue comme une attaque de la part de son père contre la chocolaterie communale, en danger de banqueroute. Cela ne gênerait pas le moins du monde Béa si ce n'était le maire, sexy et austère, qui était le plus amère face à elle.

Je retrouve Romane Rose après avoir lu Pour faire fondre son coeur. le type de récit change et même si les codes de la chick-lit restent (protagoniste riche, amour impossible...) on y retrouve une sensibilité des personnages que j'avais bien aimé déjà dans ma précédente lecture de cette auteur. En effet, l'héroïne est d'abord là pour se trouver, donner un sens à son existence et se dépasser. Certes elle rencontre l'amour et on est là pour ça mais l'histoire n'en est pas moins creuse.
Bref, une seconde bonne lecture de détente de Romane Rose.
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Lorsque j'ai vu ce roman proposé par Harlequin sur le site de Netgalley, j'ai tout de suite eu envie de découvrir ce qui se tramait derrière ce résumé et surtout cette magnifique couverture.
J'en ai fait qu'une bouchée ! Il faut dire qu'il fait environ 150 pages en numérique, et se lit très facilement, la plume de l'auteure étant très agréable et les personnages vraiment mystérieux et attachants.
J'ai beaucoup apprécié le fait que l'histoire se pose en douceur. Mais en même temps j'aurais aimé que tout soit plus détaillé. J'ai trouvé Tomas craquant, son côté homme bourru, sur ses gardes, mystérieux très intéressant, et j'ai adoré Bea et sa maladresse, mais aussi Bea l'institutrice qui même si elle a du mal à se débrouiller seule dans une maison (j'ai bien ri avec le coup du micro-onde et du chauffage) sait très bien se débrouiller avec ses élèves).. J'ai donc rie à plusieurs reprises et je n'avais pas envie que l'histoire se termine. Plus j'arrivais vers la fin du livre, plus je me disais: mais noon, ça va trop vite, j'en veux plus !

En résumé, je peux dire que j'ai beaucoup aimé l'histoire et les personnages.. Si l'histoire avait été plus détaillée, j'aurais très certainement eu un coup de coeur (Tomas a toutes les qualités des BBF comme je les aime) car il m'a malgré tout bien fait rire, et comme je ne me suis pas ennuyée une seule minute, j'ai vraiment passé un super bon moment livresque.
Lien : http://lafouinotheque.blogsp..
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Béatrice part s'installer dans la ville d'Harrington , où elle a décroché le poste d'institutrice, loin de son étouffante famille. Quel n'est pas sa surprise d'être accueilli de façon hostile, certes, elle est la fille de Sean Newel, qui veut racheter la chocolaterie, néanmoins, elle n'a rien à voir avec cette affaire. C'est ce qu'elle essaye de faire comprendre à Tomas, le maire de la ville.
J' ai adoré cette histoire entre Tomas et Béatrice qui ont tous deux un caractère bien trempé et bien décidé à avoir le dernier mot. J'ai été conquise par Béatrice, que l'on peut prendre dès le début pour une fille à papa, à qui tous lui est du, et bien, on est vite détrompé, car notre héroïne est loin d'être une fille à papa pourri gâté, c'est une jeune femme sincère, honnête et qui ne veut qu'une chose faire les choses par elle-même sans l'aide de sa famille. Tomas, lui nous apparaît comme un homme borné, obtus. Il va vite nous démontrer que nous nous trompons sur lui, c'est un homme, prêt à tous pour ce qu'il aime, un homme loyal, sincère et qui m'as craqué, m'as séduite par ses actes.
Une très belle histoire d'amour, entre deux personnages que tous opposent, mais qui se complètent parfaitement, qui m'as captivée, envoûtée, séduite, et prise dans ses filets et pour laquelle, je n'ai pu qu'avoir un coup de coeur pour cette magnifique histoire. Alors mon conseil, lisez là.
Lien : http://jewelrybyaly.blogspot..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
– Une classe n’est pas un camp militaire ! Si vous vouliez mater votre progéniture, c’est un militaire à la retraite que vous auriez dû engager. De préférence un gars des commandos.
– Vous pourriez faire preuve d’un peu plus d’autorité !
– L’autorité n’a aucun pouvoir face à quelqu’un décidé à ne pas obéir. Vous voulez que je les punisse, que je les frappe ? Ce n’est pas ma conception de l’enseignement.
– Quelle est-elle, alors ? Lorsqu’ils mettront le feu à la classe, vous les laisserez faire ?
– Non ! Je profiterais de l’occasion pour leur expliquer le fonctionnement d’un extincteur, des règles de sécurité en cas d’incendie. Il y a plein de choses à apprendre d’un incendie.
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– Ce n’était pas un passe-temps ! J’ai travaillé comme une forcenée pour obtenir mon diplôme, lui fais-je remarquer aigrement, vexée de son peu de considération pour mes efforts à devenir autre chose que Mlle Newel, fille à papa, héritière fortunée occupée par sa manucure plus que par le bien-être de ses contemporains.
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Papa a cru me retenir en me coupant les vivres, sans comprendre que c’était peut-être ce lien qui nous reliait si fort que j’avais besoin de rompre. Pour eux, autant que pour moi.
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