Après être partis en croisière avec la parution de Février, le mois de Mars nous embarque tout droit en Irlande, et un voyage comme celui-ci, je veux bien remplacer Laura sans problèmes ☺
Laura est chargée de retrouver un héritier en Irlande, mais elle a très peu d'informations à son sujet, tout ce qu'elle sait, c'est l'endroit où sa mère a travaillé il y a plus de 30 ans, ainsi que son prénom. On peut dire, qu'elle y va presque à l'aveugle.
Leur première rencontre se fera dans l'aéroport où ils embarquent tout les deux pour la même destination.
Devlin va immédiatement avoir le coup de foudre pour Laura, en la voyant aux prises avec un des hommes de la douane. Elle, eh bien elle est plutôt énervée avec son petit souci, Devlin va tenter de tout tempérer afin que la suite puisse se dérouler plus calmement.
Le destin fera qu'ils vont loger au même hôtel, et c'est là que Devlin fera le premier pas vers Laura. Il ne traînera pas à avouer ses sentiments à la jeune femme, mais celle-ci est plutôt réticente et sur la défensive.
Au fil des pages, nous nous rendons compte, que chacun cache un passé compliqué. Nous comprenons les réticences de Laura.
Finalement, Devlin va aider Laura dans sa mission en Irlande, ce sera l'occasion pour lui d'être constamment en contact avec elle, peut-être finira t-elle par accepter cet amour.
Une expression dit que le destin réuni parfois les gens, dans ce cas-ci, je dirais plutôt que c'est le passé qui va les réunir.
Une très belle romance où le passé et les souffrances réuniront deux êtres fait pour s'aimer.
Je suis curieuse de lire ce que nous réserve la parution du mois d'Avril dont le titre "La danseuse et le cow-boy" me donne déjà pas mal d'idées.
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C'est une romance Harlequin, et pas ce qu'il y a de meilleur dans le genre. Loin de là même.
Le roman est plein de clichés et de scènes déjà vues ailleurs (et souvent !). En plus, les péripéties s'enchaînent à toute allure, beaucoup trop vite pour ne pas perdre toute crédibilité (par exemple, l'incendie d'un orphelinat et le sauvetage d'une orpheline qui transforme le personnage principal en un irrésistible héros occupe à peu près trois pages dans le roman).
Et de la même façon, tout est trop excessif. Les personnages se font de grandes déclarations, puis se séparent au chapitre suivant avant de retomber dans les bras l'un de l'autre trois pages plus loin.
Enfin bref, c'est tellement mauvais que cela en devient amusant, presque...
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Un sourire se dessina sur les lèvres de Devlin. C’était bien la première fois qu’un élan de gaieté illuminait son visage depuis qu’il avait quitté son bureau, deux semaines plus tôt, en claquant la porte. Il fallait qu’il fût témoin de la mésaventure d’une charmante Américaine aux prises avec un douanier irlandais un peu étroit d’esprit pour qu’il réussît à oublier les circonstances de son départ brutal de Chicago.