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3,74

sur 492 notes
C'est un roman qui se lit avec plaisir.
Les ombres et les automates de Cravenmoore sont effrayants et l'on se prend à regarder son ombre différemment une fois la dernière page du roman tournée. le livre se lit vite car l'histoire est prenante aussi je le conseillerais volontiers pour un ouvrage à lire pendant les vacances. A conseiller aussi bien aux adultes qu'aux adolescents.
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Conte fantastique

Dans la même veine que « le prince de la brume » et du « Palais de minuit », ce 3ème roman est paru en espagnol en 1996 et est destiné, comme les deux premiers, autant aux ados qu'aux adultes. Ce 3ème volet indépendant des deux autres est une espèce de conte fantastique où les pantins, les automates et les ombres hantent l'impressionnante demeure de Gravenmoore où vit Lazarus Yann, célèbre inventeur de jouets et s'en prennent également à la famille Sauvelle récemment installée à la Villa du Cap en Normandie. du pur « fantastique », qui semble être un style que Ruiz Zafon maîtrise parfaitement et on se laisse prendre évidemment à son jeu de l'ombre : ange et démon!

Lien : http://leoalu2.blogspot.com
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A mon humble avis, Les Lumières de Septembre est de loin le meilleur titre de la trilogie - composée entre autres par le Prince de la Brume et le Palais de Minuit - à destination des adolescents.

Si il ne faut ne lire qu'un seul titre de cette trilogie, se sont Les Lumières de Septembre que je conseillerais en priorité.
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En 1937, Simone Sauvelle et ses deux jeunes enfants quittent Paris pour la côte normande.
Simone vient d'être embauchée comme femme de charge au sein du manoir de Cravenmoore, au service du propriétaire des lieux, Lazarus Jann.
Ce dernier est un fabricant de jouets et d'automates aussi merveilleux qu'étranges.
Il installe la petite famille dans une maison non loin du manoir et se lie d'amitié avec les enfants, Irène et Dorian, fascinés par toutes les curiosités exposées dans les couloirs du manoir : marionnettes, personnages d'acier ou de bois plus vrais que nature, horloges étonnantes.
Mais bien vite, des événements sinistres vont secouer les Sauvelle, qui se retrouvent aux prises avec une ombre maléfique aussi terrifiante que mortelle.
Les Lumières de septembre est le dernier volet du "Cycle de la brume", trilogie de romans jeunesse publiée par le regretté Carlos Ruiz Zafón dans les années 90.
Et ce n'est pas le meilleur des trois : l'histoire, convenue et prévisible, traîne trop en longueur et la fin, interminable, m'a ennuyé.
Cela reste malgré tout un petit moment de lecture sympathique.
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En Normandie, dans les années 30, au coeur du domaine de Cravenmoore, résidence d'un énigmatique fabriquant de jouet, Lazarus Jann, peuplée de ténèbres et d'étranges automates, Ismaël et Irène, son amour de jeunesse, vont traverser de bouleversantes épreuves et affronter une ombre d'une puissance absolue et emplie de haine. Celle-ci sème la terreur et la mort au sein de cet univers étrange à l'aspect pourtant idyllique. Carlos Ruiz Zafón s'appuie avec talent sur les codes du roman gothique classique, avec un pacte démoniaque et un double maléfique contrarié par une passion romanesque, pour donner à son récit une portée symbolique ou l'amour tient une place fondamentale. L'auteur suggère, en parallèle, une théorie originale sur l'émergence et la montée du nazisme. Une histoire à l'atmosphère fantastique qui oscille entre légende et mystère, pleine de poésie, traitée avec beaucoup de retenue et de profondeur. Un récit qui s'inscrit en premier lieu dans une littérature pour adolescent mais au final, pas seulement. L'écriture est très imagée et riche d'une magie poétique, Carlos Ruiz Zafón façonne avec ses mots une trame envoûtante ancrée dans l'imaginaire même si certains éléments auraient mérité d'être davantage développés.
Même si l'intrigue est un peu légère et évidente, Les lumières de Septembre offre une fois de plus une réflexion sur les tourments de l'enfance, les affres de la perte d'un être cher mais surtout, un bel exemple d'amour, de solidarité et de droiture. Moins aboutie que la trilogie de l'ombre du vent, ce dernier volet du Cycle de la brume est néanmoins attrayant et procure un bon moment de lecture.
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J'ai bien entendu dévoré ce roman, il faut dire que l'écriture est toujours si belle, si poétique et pourtant si dure. Je suis devenue une véritable fan. J'avais donc vraiment hâte de lire de ce dernier tome de la trilogie de la brume, j'avais tellement adoré les deux premiers.

On retrouve tout ce qui fait la magie (noire?) des deux autres, des enfants courageux, des forces maléfiques et l'angoisse. Oui, n'oublions pas qu'à la base, cette trilogie est plus jeunesse (plutôt ado selon moi quand même), que destinée à un public adulte mais franchement, ça ne se ressent pas du tout.

C'était une fois de plus incroyable, cependant, j'ai eu l'impression durant tout le livre de l'avoir déjà lu, le parallèle avec le prince de la brume et quand même très fort et je dois dire que même si la magie est là, le fantastique, tout, j'ai eu en compagnie cette impression, au point d'aller chercher le prince de la brume dans ma bibliothèque et de vérifier que j'avais bien deux livres distincts devant moi. Ça n'enlève rien à la superbe du roman mais c'est très perturbant. Il aurait peut être mieux fallu que ça se passe au même endroit avec des protagonistes différents, je ne sais au lieu de faire trois indépendants mais là, vraiment, ça m'a gênée.

J'en garde malgré tout un superbe lecture pleine de poésie et de tristesse, à l'image des livres de Carlos Ruiz Zafon, toujours du grand art.
Lien : https://loeildesauron1900819..
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J'ai tellement entendu parler de Zafon que j'ai voulu aussi m'essayer à sa lecture. Un peu effrayée par ses romans volumineux pour démarrer, on m'a conseillée de m'introduire dans les lumières de septembre. Me voilà lancée dans le décor de la Normandie, décrit comme intrigant et mystérieux, loin de l'image que l'on se fait d'un été sur cette côte. Je n'ai pas été enveloppée par cet univers fantastique et obscur de Cravenmoore et par son énigmatique fabricant de jouets. L'histoire s'installe doucement et agréablement mais la fin du roman est interminable et se perd dans les méandres de la demeure et de ses secrets. Malheureusement, rien de surprenant dans leur révélation, tout a été très/trop bien amené par l'auteur. Finalement , mon tord a certainement été de débuter la série par le dernier volume mais je dois avouer que cette première expérience avec Zafon ne m'encourage guère à recommencer.
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Un livre parfait pour Halloween : on découvre un univers très mystérieux avec des lieux inquiétants : manoir, forêt, phare abandonné. Des créatures étranges sont également présentes. Mais tout reste proche du réel. C'est ce qu'on appelle le réalisme magique : un genre très répandu dans la littérature hispanophone. À mi-chemin entre rêve et réalité.
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Les automates : un thème récurant dans les livres de Záfon. L'écrivain semble être inspiré par ces créations qui prennent vie. Elles sont très présentes dans ce roman tout comme dans Marina. Elles apportent une touche unique dans l'univers de l'auteur. Ça change des fantômes et des zombies.
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La puissance de l'amour : ce sentiment est très présent dans ce roman et cela sous toutes les formes possibles. On est touché par les différentes liaisons des personnages. Je ne peux pas pas vous en dire plus de peur de vous spoiler. Sachez que j'ai été très touché par la sincérité des protagonistes. Ils sont vraiment attachants et téméraires.
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Zafon Carlos Ruiz
Les lumières de septembre
Le troisième du cycle de la brume
Un auteur que j'aime particulièrement mais qui depuis peu n'est plus là et ne nous fera plus profiter de ses superbes histoires. J'ai tout lu et tout apprécié. Triste
Ici il traite de l'ombre, cela fait un peu penser à Faust, d'une autre manière.
Son texte est poétique, agréable bien que parfois effrayant mais pour les personnages seulement.
Une mère de famille d‘un garçon et d'une jeune fille trouve enfin du travail après son veuvage Gravenmoore un énorme château effrayant, avec ses gargouilles qui semblent vous regarder et ce bois dense et touffu tout autour .Lui c'est un ancien fabricant de jouets, des automates plus particulièrement. Il est bon, gentil, agréable. Mais il cache un grand secret. Sa femme malade dont personne ne peut s'approcher. Il voudrait donner son coeur à cette jeune veuve, mais les ombres vont se déchainer car l avait jadis vendu son âme à un vieux fabricant allemand, ce dernier l'avait capturée dans un flacon, mais le flacon s'est brisé et l'ombre est devenue maléfique.
Petit livre lu d'une traite mais tellement beau surtout par l'écriture

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Sans doute le mieux à mon sens. Légèrement plus développé, plus intéressant et plus sombre. Je ne le conseillerai pas à tout le monde et surtout pas aux jeunes. A mon sens, l'auteur s'est trompé lorsqu'il a cherché à s'adresser aux plus jeunes d'entre nous dans son écriture car il s'agit d'une trilogie un peu brin horrifique. Ici, j'ai pu réellement m'attacher à Irène et j'ai lu sa brève histoire avec joie. La plume est plus certaine, plus intéressante et on rentre légèrement plus dans les détails. Carlos Ruiz Zafon aurait pu continuer sur sa lancée car le tout était intéressant.
Lien : https://padawantiff.wordpres..
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