Evidemment, c'est bien beau tout ça, mais ce qui compte, dans ce qu'ils font, c'est le souffle. On voit ainsi des hommes portant beau, et trahis par leur souffle à un petit pas gymnastique. Quant à l'autre, à Boldo, il resta immobile et se sentit tournoyer tout seul, perdu dans le cosmos. Et comme chaque fois il se demanda ce qu'il foutait là.