Ils sont délicieux pourtant, délicieux surtout, parce qu'en les caressant, alors qu'ils se frottent à notre chair, ronronnent et se roulent sur nous en nous regardant de leurs yeux jaunes qui ne semblent jamais nous voir, on sent bien l'insécurité de leur tendresse, l'égoïsme perfide de leur plaisir. Toute l'ambiguïté du chat se retrouve dans ce texte de Guy de Maupassant. Le chat vénéré dans l'Egypte ancienne sous les traits de la déesse Bastet, bienfaitrice et pro... >Voir plus