Résumé (quatrième de couverture)
"Tous les jours, dos appuyé au mur, le père de Galo écoute les chansons de
Carlos Gardel en fumant sa cigarette sous les yeux de son fils. Quand il l'abandonne pour partir avec sa maîtresse, en 1938, il scelle à jamais son destin. Galo décide de ne plus quitter leur maison de la mystérieuse calle Ámsterdam à Mexico, une rue au tracé elliptique où l'on revient toujours à son point de départ… Dès lors, depuis sa chaise, il observe. Il observe ces hommes et ces femmes qui louent à sa mère les deux chambres vacantes. Juifs allemands, républicains espagnols, révolutionnaires argentins, poètes, coiffeurs ou danseurs, exilés volontaires ou forcés, tous, chargés de leur passé, se raconteront à Galo."
Rencontrer un demi-siècle d'histoire à travers la vie d'un personnage qui lui ne bouge pas...
Rien de bien original dans le propos, ni dans la forme.
Un personnage assez naïf qui rencontre des figures historiques (mais pas que), qui tombe amoureux d'une jeune fille un peu plus libre mais qui traîne derrière une histoire familiale douloureuse..
Forrest Gump version mexicaine ? Il y a de ça, oui.
Reste qu'il s'agit d'un premier roman, qu'il est fort agréable à lire et que je conseillerais aux personnes qui aiment ce genre d'histoire là..