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EAN : 9782916207308
720 pages
Editions Ca et Là (24/11/2008)
3.74/5   83 notes
Résumé :
Après quelques 40 années de vie commune, Maggie et David Loony choquent leurs trois enfants en leur annonçant qu’ils se préparent à divorcer. Leur explication est des plus simples : « nous ne nous aimons plus ». Cette annonce lance une réunion de famille de 6 jours dans la maison proche de la mer (et peut-être hantée) de Maggie et David. Le fils aîné, Dennis qui n’accepte pas la décision de ses parents est également confronté à ses propres problèmes de couple. Clair... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (22) Voir plus Ajouter une critique
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Bottomless belly button est un titre qui devient très explicite sitôt qu'on le traduit en français : Nombril sans fond. Si vous n'aimez pas que les autres racontent leur vie pendant des heures sans s'intéresser à la vôtre, n''essayez surtout pas de lire cet album d'autant plus que, dans son monologue, Dash Shaw n'est pas avare et nous gratifie d'un ouvrage dont le format ferait passer Guerre et Paix pour un prospectus publicitaire. La comparaison s'arrête sitôt que l'on ouvre Bottomless belly button car sa lecture se fera relativement plus rapidement (et facilement), bien qu'à des rythmes variés.


Cette modulation tient compte de l'histoire en elle-même. Maggie et David, soixante-dix ans environ, forment un vieux couple marié depuis plus de 40 ans. A l'âge où toutes les décisions majeures d'une existence ont généralement été prises, ils décident de divorcer. Pour l'annoncer à leurs trois enfants, ils les réunissent et les invitent à passer quelques jours dans leur maison au bord de l'océan. Cette annonce choque les parents ou conjoints qu'ils sont déjà eux-mêmes devenus et lance dans leur esprit des réflexions qu'ils n'avaient peut-être jamais eu le temps d'apercevoir jusqu'alors, dans la régularité de leur quotidien éloigné de cette maison, de leur passé et de leurs origines.


Et nous voici partis sur plusieurs centaines de pages, à pirouetter autour de ces personnages reclus dans la maison familiale pour plusieurs jours. Ils n'ont rien à faire, sinon marcher au bord de l'océan, réfléchir, et discuter entre eux. de quoi fragiliser les plus fragiles, de quoi exalter la colère des plus susceptibles, de quoi dérouter les plus sceptiques. Surtout, la maison familiale, en réunissant toute sa fratrie, fait revivre une seconde enfance à ces personnages qui ont façonné leur vie d'adulte à l'extérieur. Elle redevient le labyrinthe qu'elle avait dû représenter pour des bambins minuscules. Dash Shaw nous aide à y voir plus clair en glissant quelques plans entre ses planches, et truffe la demeure de pièges et de trucages qui la rendent aussi gothique qu'un château hanté. de même, ce retour vers l'enfance s'effectue aussi dans les mentalités et exacerbe les traits de caractère de chaque personnage. La régression s'effectue non sans mal, donnant lieu à des scènes absurdes, expiatoires à la souffrance accumulée et gardée recluse jusque-là sous l'accoutrement de l'adulte.


La famille démantibulée, qui tenait jusqu'alors seulement de bric et de broc, se rabiboche paradoxalement alors que le couple parental se sépare. Non sans mal, puisque Dash Shaw s'étend sur des centaines de pages pour nous présenter la lente réparation des liens unissant les membres de la fratrie. le nombre de pages n'a aucun rapport avec la densité des propos que s'échangent les personnages. le texte est parsemé, jamais envahissant, et préfère se retirer pour laisser parler les images et se succéder des tranches de vie muettes. L'immersion dans l'intimité de ces personnages nécessite du temps, et Dash Shaw nous oblige à leur en consacrer en restant longtemps aux prises de son album. Sans cela, Bottomless belly button nous semblerait peut-être anodin, comme la majorité de cette pléthore d'albums (à tendances) biographiques dont le principal sujet d'étonnement est celui-ci : mais qui donc cela peut-il intéresser ? On tourne les pages du Nombril sans fond avec une avidité croissante, persuadé que ce gros volume finira bien par nous livrer un secret qui fera écho à nos propres préoccupations nombrilesques. Trouvera, trouvera pas… à force de chercher, on se sera finalement attaché à ces personnages, car c'est de la longue fréquentation de nos semblables qu'on finit par éprouver de l'intérêt pour eux.
Lien : http://colimasson.over-blog...
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La famille Loony est une famille comme tant d'autres : à chacun son caractère, ses problèmes, ses peines et ses façons de les affronter ou de les fuir. Il y a le père (Patrick), la mère (Maggie), le fils aîné (Denis), la fille (Claire) et le benjamin (Peter qui est étrangement représenté sous les traits d'une grenouille). Tout commence lorsque Patrick et Maggie, devenus grand-parents, invitent enfants, belle-fille (Aki la femme de Denis) et petits-enfants (Jill, la fille De Claire et Alex, le dernier né de Denis et Aki) pour quelques jours dans la maison familiale située en bord de mer. Après 40 ans de mariage, les deux doyens annoncent leur prochain divorce. Incompréhension, indifférence, indignation, philosophie, détachement ou résignation, chaque membre de la famille accuse la nouvelle à sa façon toute personnelle. le séjour qui devient pénible à cette annonce, fait ressurgir souvenirs, secrets, non-dits et autres regrets. A travers un traitement graphique singulier mais un scénario fragile, Dash Shaw pourtant retenu pour la sélection officielle 2009 du Festival d'Angoulême, soulève avec son égocentré Nombril sans fond (titre traduit), l'éternelle question des relations familiales, inter-générationnelles et autres questionnements existentiels...

Dommage que Bottomless Belly Button n'honore pas ses promesses : d'un point de vue esthétique et graphique, il réunissait toutes les apparences d'un album engageant. Par son format d'abord : 720 pages condensées dans un beau livre au format A5 et joliment conçu par les éditions Ca et là. Par ses planches ensuite pour certains plans détaillés qui ponctuent agréablement le récit. Par le coup de crayon enfin qui interpelle discrètement le regard. Dommage encore que Dash Shaw n'ait pas exploité jusqu'au bout certaines de ses propositions qui méritaient pourtant un approfondissement (certaines situations absurdes ou comiques, certaines rencontres hasardeuses ou détails incongrus auraient par exemple valu un développement qui aurait apporté de la consistance au récit). Dommage encore pour les descriptions verbales agaçantes et inutiles qui parsèment la bande-dessinée (ex : soupire, frotte, souffle, aspire, ferme, ouvre...). On aurait apprécié un scénario mieux maîtrisé, une articulation plus travaillée. Bref, une belle déception qui me dissuade un peu de creuser la bibliographie de ce dessinateur. Mais tout n'est pas noir puisque ce pavé d'au moins 5 cm d'épaisseur (et d'un demi kilo !) se lit d'une traite et reste agréable à manipuler. Et puis heureusement, d'après les critiques enthousiastes que j'ai pu lire, tout le monde ne partage pas mon avis... Peut-être pourriez-vous me conseiller d'autres titres qui me réconcilierait avec le travail de Dash Shaw ?
Lien : http://embuscades-alcapone.b..
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Invités par leurs parents pour une Fête de famille, Peter, Claire et Dennis se retrouvent. Ils ont tous quitté le cocon parental depuis quelques années et ont commencé leurs vies d'adultes. Dennis, l'aîné, s'est installé en couple, il est désormais jeune père de famille. Claire est mère-célibataire depuis sa rupture avec le père de Jill. Peter, le cadet, égocentrique et éternel célibataire, tente de percer dans le domaine artistique.

Cette année-là, rien ne leur laissait présager ce qui allait se passer au sein de la famille Loony. Après 40 ans de mariage, leurs parents ont décidé de divorcer. Si la nouvelle semble n'affecter ni Claire, ni Peter, elle ébranle Dennis qui tente en vain d'en comprendre les raisons.

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Un album réalisé de mars 2005 à aout 2007 qui, en 720 pages, parvient à nous offrir un concentré de tracas quotidiens et d'émotions. Prétextant un couple qui se sépare, Dash Shaw explore l'onde de choc que cet événement déclenche au sein d'une famille américaine banale. Tel un avion qui se pose en douceur, à l'image des premières planches de l'album, le lecteur prend progressivement sa place d'observateur du drame familial. Observateur n'est pas voyeur puisque l'auteur s'aide de nombreux passages muets pour créer une ambiance inattendue et une profondeur agréable à son récit. Bien qu'assez lent, le rythme de l'album nous permet d'accompagner les membres de cette famille bon an mal an le temps d'une semaine (deux tout au plus).

Un huis-clos prenant où se dévoilent tour à tour les personnalités des différents personnages. Seule bizarrerie : le frère cadet – que j'ai sentis (pour une raison que je n'explique pas) proche de l'auteur – est le seul membre de la famille qui n'a pas visage humain. Peter la grenouille évolue donc dans ce récit comme un être à part, cet anthropomorphisme sert à merveille le caractère décalé d'un personnage en quête d'identité, de sexualité et de réponses.

Quant au divorce, c'est l'événement qui focalise l'intrigue et le déclencheur de bien des révélations. le drame familial force tendrement les personnages à se rapprocher et à se soutenir. On les découvre initialement tous très étrangers et extérieurs les uns aux autres puis, progressivement, les langues se délient et s'autorisent confidences et complicité. Peu à peu, ils mettent en mots leurs sentiments malgré le poids du paraître et des conventions qui pèsent lourdement sur cette famille jusque-là habituée aux non-dits.

Avec ironie, Dash Shaw illustre cette tranche de vie de longs passages silencieux mais lourds de sens. Il donne à certains visuels une pointe d'humour délicieuse qui force le lecteur à réfléchir sur la notion de famille et de relations inter générationnelles. Comme dans les mangas, on trouve ici de nombreuses onomatopées inhabituelles pour un Comic. Une planche qui craque, une porte qui s'ouvre, des objets qui s'entrechoquent… sont autant de détails qui permettent au lecteur de s'immiscer dans la vie de cette famille voire de s'y investir tant on entre dans leur intimité et on partage leurs souvenirs. Je me suis même prise au jeu de décrypter une lettre d'amour codée…

Difficile d'affirmer s'il y a un personnage se détache en particulier. Excepté Peter qui intrigue, on passe tour à tour des moments privilégiés auprès de chacun d'eux. Au terme de la lecture, les personnages ressortent profondément grandis de ce séjour en famille atypique, le lecteur ressort avec la satisfaction d'être dans la confidence qui lui permet enfin de donner du sens à ce titre on ne peut plus original. Seule Maggie, la mère, semble stoïque, inébranlable… Je pense qu'une seconde lecture me serait utile pour porter plus attention à ce personnage et relever les éléments du récit qui m'ont échappé à la première lecture.

Bottomless Belly Button devraient plaire aux amateurs de récits intimistes. Un album qui se découpe en trois chapitres, trois marqueurs de temps différents qui mettent réellement en valeur la période-charnière que sont en train de vivre les 7 personnages de l'univers de Dash Shaw. Comme l'explique si bien Chronicart : « Ce n'est pas une nostalgie ringarde et creuse qui le conduit à cataloguer ces moments fugitifs. Il traque, avec un soin maniaque, les traces du vécu, la densité et l'épaisseur des sentiments« .

Un album d'une richesse certaine sur le thème du couple et ses variantes (relations hommes femmes, parents-enfants, liens entre les membres d'une fratrie…). Il nous renvoie à nos préjugés et à nos propres valeurs. Les clichés y sont nombreux mais la manière dont Dash Shaw les utilise est intéressante. Un album dans lequel je suis progressivement entrée et dont je sors convaincue.
Lien : http://chezmo.wordpress.com/..
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Quand j'ai feuilleté ce pavé graphique pour la première fois, son contenu m'a paru tout à fait décousu, voire absurde. Il y avait des planches de six cases, des pages avec une seule case montrant du sable. Il ne me semblait pas qu'il s'agissait d'une histoire habituelle avec des personnages, une intrigue, etc. Tout cela semblait très flou. En plus, une sorte de grenouille anthropomorphe se promenait tout au long du bouquin. Bizarre.

Et en fait, pas du tout. C'est l'histoire d'une famille avec des personnages au caractère bien distinct. L'histoire de la famille Loony. Maggie et Patrick ont trois enfants : Dennis, Claire et Peter. Quarante and plus tard, Dennis, marié à Aki, a un fils, Alex et Claire a une fille, Jill. Tout ce petit monde se réunit pour une semaine car Maggie et Patrick ont une déclaration : ils vont divorcer.

Loony signifie cinglé, dingo. (Souvenez-vous : Loony Lovegood – Loufoca Lovegood en français – est le surnom donné à Luna dans Harry Potter !)
Pourtant, les Loony sont une famille comme les autres. Pas plus cinglée. Elle connaît simplement une absurdité dans sa monotonie. Toutes les familles sont un peu cinglées sans doute. Ses membres ont leurs peines, leurs joies, leurs solitudes, leurs amours… Il dépeint les sentiments avec justesse. La présence d'une grenouille devient parfaitement claire pour illustrer la distance entre Peter et le reste de sa famille qui ne le comprend pas vraiment. On alterne entre les différents personnages qui vivent parfois chacun de leur côté, mais qui finissent par se rapprocher du fait de la séparation des parents. On découvre un album photo, des lettres d'amour. (Parfois cryptées, l'une d'entre elle m'a demandé un certain temps pour en découvrir le message !).

Le trait, couleur sable, est extrêmement fin et il nous fait rentrer dans les moindres détails malgré un dessin minimaliste. Les illustrations nous permettent de rentrer dans une histoire parfois bien efficacement que par des mots. L'auteur prend le temps de montrer des grains de poussière qui volent au soleil, un genou qui bouge, le sable sous toutes ses formes. Par un mot ou une flèche, il souligne un geste. Il dessine même ce que l'on sent au toucher dans le noir, le vent. Il utilise une palette d'expressions. C'est extraordinairement réaliste.

Un roman graphique très sensible et plein d'humour.
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Je devrais le savoir, ce n'est pas la taille qui compte ! Pourtant, à l'instant où l'intimidant « Bottomless Belly Button » m'exhibe ses cinq monstrueux centimètres (d'épaisseur), je me sens subitement indisposé. L'album, sous ses extérieurs de parpaing bicolore, renferme la bagatelle de 720 pages. le plaisir sera-t-il à la hauteur de la besogne ? … Ooooh oui !!... En réalité, il se passe peu de choses dans ce roman graphique et la narration fluide, en dépit d'un pouls engourdi, favorise une lecture relativement rapide (deux heures trente, montre en main). Sa densité émotionnelle et sa sensibilité n'en sont que plus inattendues. Une perception de l'essentiel encouragée par une singulière et talentueuse manière de raconter.

La page de garde annonce la couleur : une chronique familiale, tapisserie tramée de trois perspectives. Trois points de « fuite » délivrés comme autant de récits autobiographiques indépendants qui se croisent, s'entrechoquent et laissent émerger les approches contrastées d'adultes appréhendant l'annonce du divorce de leurs parents septuagénaires. Dennis, l'ainé (peut-être le plus immature), va progressivement péter les plombs. Claire, plus nonchalante, trouve dans cette réunion de famille l'occasion de profiter d'une semaine de vacances. Peter, enfin, se montre carrément indifférent. Looser déprimé et frustré, nanti d'une déplorable image de soi, il est affublé tout au long de l'album d'une étonnante tête de grenouille. La métaphore fantaisiste pour un « crapaud » qui n'a pas encore trouvé sa princesse.

Chacun des itinéraires, chaque point de vue va tirer parti d'une construction imparable. L'abstraction d'un dessin « blanc et sable » minimaliste et le langage très naturel délivré par des dialogues stylisés et économes secondent une mise en scène tout aussi inspirée que limpide. Une chirurgie cinématographique où l'auteur dissout le temps dans l'accumulation de plans-séquences éclatés dont l'action parfois si ralentie donne l'impression d'observer les poses successives d'une bobine 35 mm (48 cases pour une scène de déshabillage, pensez donc !). Intégrant régulièrement des mots, des onomatopées explicites dans la scénographie, il affine notre compréhension contextuelle et émotionnelle de l'environnement. Ainsi, que ce soit dans la description de l'anecdotique ou du plus substantiel, il traque le moindre mouvement, la moindre attitude qui laisserait trahir un sentiment. Cette appréhension méticuleuse de l'intime, mise en exergue croissante des caractères, autorise une empathie plus tangible. Elle devient totale quand Shaw affiche sa maîtrise d'une certaine plasticité de la lenteur. Modulant la taille des cadrages et des espaces intericoniques, il invente une ponctuation, créée des respirations temporelles qui génèrent la réflexion et l'introspection. Invité à lire entre les cases, à lire entre les gens, on verra poindre l'âme collective cachée derrière les individualités.

Au travers d'un remarquable questionnement mélancolique sur la famille et la vie en générale, ce pavé libère une force d'attraction telle que l'on engloutit ses innombrables pages sans s'en apercevoir. À la dernière, on s'étonne et l'on déplore que tout soit déjà terminé.

Monsieur Dash, j'en reprendrais bien cinq centimètres !
Lien : http://www.bdtheque.com/main..
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critiques presse (1)
Du9
23 septembre 2013
Un code de lecture est ici transgressé : l’image s’appréhende dans son ensemble, délivrant simultanément toutes les informations qu’elle porte et appelant le lecteur a faire sa part de travail.
Lire la critique sur le site : Du9
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
- Je veux le menu complet: un père fort, une mère attentive, des frères et soeurs solidaires, de l’amour, tout le tralala.
- Euh, finalement, apportez-moi un peu de tout et je ferai des mélanges. Avant, je voulais être amie avec ma mère, mais j’ai changé d’avis.
- Pour moi, ce sera une enfance plus ou moins stable, avec un soupçon de père distant. A emporter.
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J’envie les gosses dont les parents divorcent. On les chouchoute. On les envoie chez le psy. Eux, ça va, ils ont le droit d’être furieux. C’est accepté. Et même, on les ENCOURAGE. Mais MOI, j’ai pas le droit d’être contrarié ?!! Moi, on me regarde bizarrement. On trouve que j’exagère. Vous ne voyez pas que c’est tordu ?
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Je suis le cliché du petit dernier qui ne trouve pas sa place. Ma famille me considère comme une espèce de grenouille étrange et idiote
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Mon père me parle comme si je le démarchais au téléphone. Rien que moi. J'ai réalisé ça quand j'étais au collège. Je suis le cliché du petit dernier qui ne trouve pas sa place. Ma famille me considère comme une espèce de grenouille étrange et idiote. Tu trouves que j'ai l'air d'une grenouille ? Quelque fois, j'ai cette impression.
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Etre avec quelqu’un pendant la nuit, ce n’est pas comme dans la journée.
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