L'idée est des plus originale: faire revivre l'épopée de personnage historique via la bande dessinée. Je trouvais cela intéressant ce qui me poussait à acheter le premier exemplaire de cette collection du journal le Monde.
Le résultat final est quant à lui très décevant. La qualité du trait est certes présente mais la mise en oeuvre n'est pas à la hauteur. Les dialogues sont trop rapides et artificiels et surtout la narration va trop vite sans prendre le temps d'installer les personnages. J'adore l'histoire en générale mais ici on est largué tellement il manque d'informations pour bien comprendre. Je pense qu'il aurai été préférable de mettre le dossier explicatif avant la BD .Cela aurait permis de mieux comprendre le climat historico politique afin de ne pas perdre le lecteur en chemin comme ce fut malheureusement mon cas.
Commenter  J’apprécie         171
Napoléon en bédé. pourquoi pas ? Or, sa vie est parée de trop de rebondissements pour la serrer en un seul tome de 46 pages. L'idée est donc de la développer en plusieurs volumes. pari réussi que celui de suivre le petit caporal jusqu'au trône de France. Même en séquençant sa montée vers la gloire, ce livre reste très fidèle à la réalité et se veut même pédagogique. Loin du faste des honneurs rendus par la France aujourd'hui, on est dans un cours d'histoire didactique. Pour en parler, il faut d'abord savoir. pari tenu !
Commenter  J’apprécie         00
Dans le 128e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Le petit frère, album que l’on doit à Jean-Louis Tripp, édité chez Casterman. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Carnets de campagne que l'on doit à Mathieu Sapin, Kokopello, Morgan Navarro, Louison, Dorothée de Monfreid et Lara et c'est co-édité chez Dargaud et au Seuil
- La sortie de l'album Chroniques décalées d'une famille ordinaire et vice-versa que l'on doit à Séverine Tales et aux éditions Payot Graphic
- La sortie de l'album Année zéro que l'on doit au scénario d'Ana Roy, au dessin de Mademoiselle Caroline et c'est édité chez Delcourt
- La sortie de Gertrude Stein et la génération perdue que l'on doit au scénario de Valentina Grande, au dessin d'Eva Rossetti et c'est édité au Seuil
- La sortie de l'album Orson Welles, l'inventeur de rêves scénarisé que l'on doit au scénario de Noël Simsolo, au dessin d'Alberto Locatelli et c'est édité chez Glénat
- La sortie en intégrale d'Une semaine sur deux, un album que l'on doit à Pacco et aux éditions Fluide glacial
+ Lire la suite