Suite des aventures de nos barbouzes sans foi ni loi dans la France des années cinquante soixante...
Le général est en passe de revenir aux manettes à la place de Pierre Pflimlin qui n'aura pas laissé une trace indélébile en tant que président du Conseil dans le contexte de la guerre d'Algérie et de la crise de la IVe République finissante...
Notre "Dan" défouraille à tout va, ses anciens amis, ses nouveaux ennemis, FLN, OAS (bien que pas écrit comme ça) bref tout ce qui bouge.
On a un peu l'impression qu'on est à un contrat par jour. C'est de la surexploitation de tueur à gages.
Graphiquement, c'est très travaillé, les plans généraux sont superbes, la Grand-Place de Bruxelles pleine de bagnoles fait sourire... On s'est un peu habitué aux trognes patibulaires des tontons flingueurs toujours aussi peu souriants. Normal vu leurs activités...
Une BD d'ambiance série noire à fond historique. A la fin je me suis demandé si DAN n'était pas un surnom d'emprunt pour BOB.
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L’auteur réussit le tour de force de construire une histoire où personne n’est pas sympathique.
Lire la critique sur le site : BDGest
Nos deux auteurs renouent avec le genre, tout en y ajoutant une note politique : histoire d’enrichir le scénario.
Lire la critique sur le site : BDZoom
- Les paras de Massu ne sauteront jamais sur la France. Et jamais de Gaulle ne prendra le pouvoir de force.
- Je sais qu'il négocie son retour en secret.
- Il est pour l'Algérie Française, oui ou non ?
Dans le 128e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente Le petit frère, album que l’on doit à Jean-Louis Tripp, édité chez Casterman. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l'album Carnets de campagne que l'on doit à Mathieu Sapin, Kokopello, Morgan Navarro, Louison, Dorothée de Monfreid et Lara et c'est co-édité chez Dargaud et au Seuil
- La sortie de l'album Chroniques décalées d'une famille ordinaire et vice-versa que l'on doit à Séverine Tales et aux éditions Payot Graphic
- La sortie de l'album Année zéro que l'on doit au scénario d'Ana Roy, au dessin de Mademoiselle Caroline et c'est édité chez Delcourt
- La sortie de Gertrude Stein et la génération perdue que l'on doit au scénario de Valentina Grande, au dessin d'Eva Rossetti et c'est édité au Seuil
- La sortie de l'album Orson Welles, l'inventeur de rêves scénarisé que l'on doit au scénario de Noël Simsolo, au dessin d'Alberto Locatelli et c'est édité chez Glénat
- La sortie en intégrale d'Une semaine sur deux, un album que l'on doit à Pacco et aux éditions Fluide glacial
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