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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Une couverture bien intrigante pour ce roman dystopique, hommage à H.G. Wells.

Nous sommes en 2013, la République Eusistocratique de Finlande s'est repliée sur elle-même. Tout ce qui pourrait procurer un quelconque plaisir ou une dépendance est devenu totalement interdit à l'exception du sexe. le mot femme n'existe plus depuis que le corps scientifique gouvernemental est parvenu à créer une nouvelle sous-espèce humaine : les éloïs. Des bimbos blondes, soumises, dont le seul but est de se vouer corps et âme au bien-être de leur mari. A l'inverse, les morlocks, espèce féminine indépendante et intelligente, en voie de disparition, sont stérilisées dès leur plus jeune âge et uniquement destinées à des travaux lourds et répétitifs.

Suite au décès de ses parents, Vanna, une morlock à l'apparence d'éloï rejoint sa grand-mère avec sa soeur Manna, une pure éloï.
Vive et curieuse Vanna a bien du mal à cacher sa véritable nature ...

Histoire pleine de surprises et bien pimentée ! L'auteure a l'imagination débordante et l'humour subtil. Disparition et drogue sont aussi de la partie. A découvrir.

Challenge multi-auteures SFFF 2021
Challenge féminin - Item 16. Premier livre que tu lis de cet.te auteur.e

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Dans son roman Les assoiffées, Bernard Quiriny imaginait la Belgique sous une dictature féministe avec la population mâle reléguée a l'état de sous-citoyens. A l'opposé, la dystopie eugéniste de Johanna Sinisalo, intitulée Avec joie et docilité, décrit une société où le terme même de "femme" a disparu, ne subsistant que des eloïs ("domestiquées" et soumises depuis l'enfance) et des morlocks (indépendantes et stérilisées). Dans cette Finlande, les "Virilos" ont tous les pouvoirs et toute la considération. Sur un thème proche de la servante écarlate de Margaret Atwood, le livre de Johanna Sinisalo ne fait pas de la dentelle pour montrer un pays ravagé par l'obscurantisme et isolé du monde comme une vulgaire Corée du Nord. Son héroïne est une Morlock déguisée en Eloï qui, au-delà de son combat individuel, cherche à retrouver la trace de sa soeur disparue. Avec son compagnon, elle évolue dans un milieu secret qui cultive le piment, denrée qui n'est pas recherché pour ses vertus médicinales ou gustatives, mais parce qu'il est devenu une drogue bannie sous sa forme de capsaïcine. Avec joie et docilité est un thriller redoutable et excessif comme tout roman prenant pour cadre un état totalitaire. Sa forme, déroutante au début, est assez remarquable en conjuguant les carnets de ses deux protagonistes avec des extraits de la nouvelle constitution finlandaise qui expliquent comment la "domestication" de la femme s'est opérée au fil des années. Johanna Sinisalo, dont a pu apprécier la plume avec trois traductions ces dernières années chez Actes Sud, démontre une puissance d'évocation et une fluidité narrative impressionnantes. Avec joie et docilité est un roman brillant, inquiétant et haletant jusqu'à sa dernière ligne.



Lien : http://cin-phile-m-----tait-..
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En Finlande dans les années 2010.
Les femmes sont programmées pour être frivoles et au service des hommes dans le but de maintenir une paix sociale et d'assurer la reproduction de l'espèce.
Aucune technologie ne vient distraire la population de la joie saine d'une existence simple.
Aucune drogue (enfin presque) ne permet d'oublier cette dictature mielleuse.
Issues de H.G. Wells, les femmes sont réparties entre Morlocks et Elois et ainsi que dans le meilleur des mondes, chacune a sa fonction sociale même si la tendance est à éradiquer les Morlocks.
Très loin d'un quelconque plagiat, ce roman est un bijou d'humour qui fait froid dans le dos.
Extraits de textes scientifiques, de loi, alternance de narrateurs, tout concoure à enseigner au lecteur les codes de cette société qui ressemble tant à la nôtre.
Quand la soeur de Vera disparaît, la dystopie devient thriller pour le plus grand plaisir du lecteur.
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Dystopie
Finlande de nos jours
Vanna nous raconte tout d'abord son enfance. A l'âge de 4 ans,ses parents meurent dans un accident de la route et elle et sa soeur sont recueillies par leur grand-mère en Finlande. On apprend les réalités de la vie de ce pays par les yeux d'enfants. Les petites filles sont élevées pour devenir de parfaites ménagères et il existe une « cérémonie » qui détermine le sexe des filles : une fille peut devenir soit une Eloï, soit une Morlock. Etre une Eloï signifie devenir domestiquée mais avec une vie relativement facile (avec mari, enfants,sécurité) ; être désignée Morlock revient à être « déclassée », utilisée pour du travail physique très pénible, être stérilisée et devenir une esclave. La grand-mère, consciente du danger, élève les deux filles pour qu'elles soient « reconnues » comme Eloïs , c'est le cas sans doute pour Manna, la plus jeune soeur, mais pas pour Vanna l'aînée, celle ci devient donc officiellement Eloï même si elle se sait Morlock à l'intérieur. Les hommes eux sont partagés également en deux groupes , les virilos à qui tout est permis et les infras réduits en esclavage.
Au delà de l'histoire passionnante de Vanna qui recherche sa soeur disparue un an après son mariage, c'est tout une société de faux semblants et de mensonges qui est décrite. Côté personnages masculins, Jare gagne peu à peu la confiance de Vanna.
Le roman alterne l'histoire vue pr Vanna, quelques témoignages de Jare, et des extraits de pseudo- encyclopédie démontrant l'infériorité de la femme (juste bonne à faire des enfants et tenir le foyer)

Cette dystopie où les femmes sont réduites en esclavage (que ce soit les Eloïs ou les Morlocks, cela reste de l'esclavage) est aussi intéressante que la servante écarlate de Margaret Atwood.
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Non mais, regardez-moi cette couverture!!
Etant une femme, quel choc j'ai eu en voyant cette photo. Une femme/balai-brosse!!
Le ton est donné! Je lis le résumé et là je sens comme une re-version du très bon roman dystopique de M. Atwood "la servante écarlate" .
Nous sommes en Finlande actuelle. Mais pas la Finlande de régime démocratique. Non, plutot de type totalitaire/autoritaire/eugéniste. La technologie est bannie. Et où les hommes sont décideurs de tout.
Cette uchronie fait encore une fois froid dans le dos.
Les femmes (appelées ici les Elois) sont domestiquées et soumises. Contrairement aux Morlocks , des femmes rebelles, intelligentes et stérilisées.
Ceci est donc l'histoire de deux soeurs hébergées par leur gd-mère.
La narratrice est une fausse-éloi (en fait une Morlock) qui veut se venger de la mort de sa soeur. On apprend aussi que la drogue est remplacée par le piment (mêmes effets dévastateurs).
Des flash-backs, et de temps en temps les souvenirs de Jare, le petit-ami de Vanna.
Des paragraphes de "décret officiel" et " d'extraits de loi" sont insérés.
Une intrigue haletante sur fond de chamanisme n'enlève rien à l'étrangeté et au côté glauque/dérangeant de l'histoire. Un récit féministe qui amène une réflexion sur la liberté de pensée et au respect de l'être humain.
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De nos jours, en République Eusistocratique de Finlande. Nous suivons l'histoire de Vanna / Vera, de sa petite soeur et de sa grand-mère. Dans cette société dystopique, les individus sont classifiés. Dans ce texte, il sera beaucoup question des éloïs, femmes blondes et manucurées, éduquées pour devenir l'épouse parfaite, écervelée et soumise, bonne pour le ménage, le potager et l'éducation familiale. On remarque que ce roman a été écrit par une femme, elle a su retraduire parfaitement son rôle et statut social au sein d'une société digne de ce nom.
Pas de bonnes éloïs possibles sans les virilos, la seule raison de vivre des éloïs. Les autres castes sont les morlocks, sous race féminine, et les infrahommes, dont nous ne serons pas grand-chose (un futur roman dans ce monde ?)

Vanna / Vera devait être prédestinée à être une morloch, mais grâce au concours de sa grand mère, elle se fait passer pour une éloïs. Mais dans cette société où les apparences règnes en maître et la délation un sport nationale, cela revient à tenir une position pour le moins schizophrène. Comme de bien entendu, dans cet Etat hygiéniste et eugéniste, tout ce qui peut permettre aux personnes de s'évader est interdit, prohibé : pas d'alcool, de tabac, de drogues… Certains ont trouvé une parade, le piment et son composant actif capsaïcine. de quoi redonner du gout à une vie fade et sans saveur...

Le roman est composé de coupures diverses, récits de narrateurs différents, lettre, rapport officiel, extrait de manuels (dont Histoire abrégée de la domestication de la femme) et de magazines. Nous sommes immergés dans ce monde au fil des pages, la tension augmentant au fur et à mesure. Ce procédé, à la mode, est bien exploité ici, parsemé de touches d'humour noires. Une des grandes réussites de ce roman.

D'autres bonnes idées au fil du récit : l'histoire de la relation entre les deux soeurs, le trafic de piment, l'hygiénisme social, la stérilisation des déviants, la réécriture du petit chaperon rouge, le marché de l'accouplement ressemblant étrangement au marché aux bestiaux ou à la fameuse émission L'amour est dans le pré. Johanna Sinisalo, sans rien inventer, a réussi à construire ce puzzle d'éléments réalistes et historiques.

Au deux tiers du roman, petite baisse de régime et ensuite l'auteur verse dans le mystico-fantastique.

Roman féministe qui ne verse pas dans l'outrancier, thriller efficace, une bonne découverte malgré une fin ratée.


Lien : http://lechiencritique.blogs..
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Se peut-il que des populations presque entières soient si manoeuvrables, pliables et influençables ? Johanna SINISALO a su balayer la prétention de rivaliser avec les maîtres comme H.G. WELLS tout en apportant sa pierre à l'édification des sciences fictions devenues miroirs de notre société. Comme pour dire qu'elle n'a rien inventé, elle reprend la terminologie des Morlocks et des Eloïs créés dans "La machine à explorer le temps". Mais elle commet un livre qui produit son effet, édité très récemment en poche, 7 ans après la sortie en format original. Peut-être est-ce une façon de répondre à la question initiale : oui, il se peut qu'un excès d'imagination peut se traduire en prémonition.
Et voici donc une auteure contemporaine à qui on peut attribuer plus de mérites qu'elle ne semble en réclamer : dans l'art du fil rouge de transcription de sens en parfums;
dans l'idée cohérente d'intrigue et d'actions mêlées aux peintures sociétales;
dans un tissage savant de fines observations maillées aux points d'Histoire;
dans le subtil agacement des personnages déviants, attach(i)ants dans des lenteurs et des accélérations. D'abord inquiet que Avec joie et docilité pèse un peu trop dans sa longueur voici que je le recommande comme bon divertissement comme ouvrage de conscience fiction.
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Bienvenue en République Eusistocratique de Finlande !
Bienvenue dans ce pays idyllique où les femmes sont fortes, riches et respectées. Où le bonheur de certains n'empiète pas sur celui des autres, où l'épanouissement personnel est de mise, voire encouragé.
Bienvenue en République Eusistocratique de Finlande, pays où il fait bon vivre et dans lequel la liberté de parole est la même pour tous. Et toutes.
Enfin, on peut toujours rêver.

Ce roman dystopique nous emmène dans ce froid pays devenu, au lendemain de la guerre, un état où toute forme de jouissance et de plaisir est bannie, sauf le sexe car il faut certainement bien se tenir chaud les longues nuits d'hiver... et il ne faudrait pas non plus que ces messieurs dépriment.

Car, une fois encore, ce sont surtout les femmes qui pâtissent des nouvelles lois en vigueur. Considérées comme appartenant à une sous-catégorie, les femmes sont, au mieux, de parfaites idiotes ; au pire, dangereuses car indomptables puisqu'elles savent faire fonctionner leur cerveau.
Les premières deviennent des éloïs, soit de parfaites petites ménagères dont le seul rôle est de satisfaire aux besoins du mari et de pondre des gosses, tandis que les secondes, les morlocks, sont stérilisées dès le plus jeune âge – il ne faudrait pas qu'elles se reproduisent non plus – et sont employées dans des travaux subalternes.

Johanna Sinisalo raconte l'histoire de Vanna, une morlock dissimulée sous les traits d'une éloï.
Vanna a une soeur, Manna, qu'elle cherche désespérément et nous conte alors leur enfance, leur adolescence, leurs différences. Vanna appartient aussi à la résistance, ou ce qui s'apparente à une forme de résistance, en participant à un réseau clandestin qui fait entrer dans le pays de la marchandise prohibée, dont le fameux piment bourré de capsaïcine.

J'ai été attirée vers ce roman par sa couverture (une belle femme blonde, très distinguée, très bon chic bon genre, mais avec un balai-brosse – un balai à chiottes, appelons un chat un chat – en guise de couvre chef), puis par son résumé qui m'a donné envie.

Ce roman alterne les points de vue, particulièrement celui de Vanna, et est parsemé d'extraits de la nouvelle constitution finlandaise, des manuels scolaires, d'études réalisées pour expliquer – justifier ! - la mise au ban de certaines catégories de la population. Et quand on sait que certaines de ces études sont véridiques... Cela fait froid dans le dos.

Ce roman s'inscrit dans la lignée de La Servante écarlate de Margaret Atwood, roman revenu à la mode ces derniers temps grâce à la série tirée dudit roman et à l'avènement de Trump en tant que Président des États-Unis (donc du Monde). Comme beaucoup de dystopies, ce roman est perturbant, même si captivant, car nous montre ce que notre société pourrait devenir – voire est déjà.

La plume de Johanna Sinisalo est agréable et j'ai tourné les pages avec plaisir.

Mais, comme presque à chaque fois que je lis un roman d'anticipation, je suis restée quelque peu sur ma faim, beaucoup trop de choses restent inexpliquées. Pour moi, ce genre ne devrait pas se contenter d'un seul tome mais appartenir à une série de romans afin d'expliquer comment chaque partie de la population vit la chose. C'est une très bonne base pour un scénariste.


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Dans une Finlande actuelle mais ayant, pour la paix sociale, fait le choix de l'eugénisme, de la sélection et de la domestication des femmes, Johanna Sinisalo nous conte brillamment l'histoire de Vera une "divergente" (une morlock) intelligente et indépendante auquel sa grand-mère a appris, pour ne pas la marginaliser, à se comporter comme une écervelée docile (une éloï). La jeune soeur de Vera, qui ne possède pas les mêmes dons, va connaître un destin tragique. Ce que sa soeur est devenue et la culpabilité qu'elle s'impose, vont contraindre Vera à devenir consommatrice de drogue.
C'est mon troisième roman de Johanna Sinisalo et j'aime de plus en plus. le fond et la forme sont toujours originaux. La forme ici est un mélange de lettres, de souvenirs, de récits, d'extraits de lois ou de livres officiels qui permet d'installer une atmosphère et de nous faire comprendre rapidement la situation. le fond est, comme dans ses autre romans, dérangeant car pas si éloigné d'une réalité possible, elle-même pas si éloignée dans le temps ou l'espace. le roman est dystopique mais sans caricature, à moins que les effets de la capsaïcine ne soient un peu exagérés dans leur côté mystique. le rush final est particulièrement bien enlevé malgré une fin morne et décevante.
Étrange, dérangeant et réjouissant : un très bon roman selon moi !
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Bienvenue en Finlande !

Non pas la Finlande démocratique que l'on connaît aujourd'hui mais une Finlande qui aurait pris une autre voie historique. Pas de démocratie mais une République Eusistocratique. Vous l'avez compris nous sommes là en pleine uchronie. Qui dit uchronie, dit bien souvent dystopie… et là pas de doute on est loin d'atteindre le bonheur sous ce régime autoritaire.

Quelques mots sur la République Eusistocratique, c'est un régime autoritaire, totalitaire, eugéniste. Un pays refermé sur lui-même aussi bien intellectuellement que géographiquement. Les frontières sont hermétiques et les technologies ont été bannies. Un pays entièrement sous contrôle où tout ce qui peut amener du plaisir est interdit, pas de tabac, pas d'alcool, pas de café. La moindre possession et/ou consommation de ces produits sont fortement réprimandées. Certains ont trouvé une alternative : les piments (aliments interdits mais qui se cultivent assez facilement à l'abri des regards !) En effet les piments contiennent plus ou moins de capsaïcine selon les espèces, une substance psychotrope qui permet d'échapper à la triste réalité.

La structure sociale est assez simple, il y a deux catégories. Les hommes, composés des Virilos, grands, forts , virils, dominateurs et des Infrahommes, catégorie que l'on ne croisera pas ici. Et les femmes réparties entre les dociles Elois, femmes domestiquées depuis la plus tendre enfance dans le but de servir les Virilos, qui ne peuvent s'occuper que de la maison, de leurs enfants et de leur mari. Femmes toujours apprêtées qui se doivent d'être les plus féminines et les plus présentables possibles et surtout qui ne doivent pas réfléchir. L'autre catégorie de femmes étant les Morlocks, d'apparence plus masculine, n'ayant pas de gout pour les tâches féminines, elles sont rejetées par la société et stérilisées pour éviter leur prolifération.

Je ne vais pas vous présenter plus en détail la vie quotidienne finlandaise, je vous la laisse découvrir en suivant la vie de Vanna/Vera une Morlock à l'apparence Eloi, de sa petite soeur disparue et de leur grand-mère…

Récit rythmé où alternent de courts chapitres retraçant la vie des protagonistes, des lettres, des extraits du manuel de la Domestication de la Femme, des coupures de journaux… de nombreux flashback permettent de comprendre le système Eusistocratique. Johanna Sinisalo nous peint un univers réaliste, détaillé avec des personnages crédibles, profonds, une belle maîtrise quasiment parfaite de bout en bout. le petit hic se trouve dans le dernier tiers du livre quand l'auteur prend un virage à 180 degrés délaissant son univers pour un trip plus mystique ! Et là, ça ne prend plus…

Pour conclure, malgré une fin en demi-teinte, je vous recommande vivement ce livre ne serait ce que pour sa première partie « La Cave » qui est une énorme claque (sûrement l'effet de la capsaïcine) C'est aussi une ode à la liberté, un livre qui dérange, qui fait mouche… bref un livre à lire !


Lien : http://les-lectures-du-maki...
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