Prenant à témoin la pièce de théâtre de François Godin, Je suis d’un would be pays, Tessier déplore le passage à vide actuel, la perte d’identité et l’arrivée d’un nouvel habitant, le « mutant mondialiste » qui s’efforce d’« effacer de sa vie toute attache, toute référence à son origine ».
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