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4,08

sur 2527 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce que j'aime avec les romans de Franck Thilliez, c'est être surprise. Sauf qu'ici, je n'ai pas été surprise. la "grosse" révélation de la fin de roman, ce qui est censé surprendre le lecteur, je l'ai compris au bout d'une cinquante de pages. Donc forcément je n'ai pas cet effet de "omg mais nooooooon la dinguerie", j'étais plutôt en mode "oui bon d'accord ça fait 300 pages que je le sais...".
Evidemment il restait d'autres retournements de situation que je n'avais pas vu venir, mais ils n'étaient pas assez prenants pour me faire vraiment accrocher à l'histoire. Malgré tout, j'ai beaucoup apprécié toute cette thématique autour des maladies mentales, c'était intéressant.
C'est donc un roman avec une bonne thématique mais qui ne m'aura pas passionnée, je ne sais pas si c'est que c'était trop prévisible ou que c'est parce qu'avec mes études je l'ai compris trot tôt.
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C'est le 3e livre de Thilliez que je lis et j'avoue, c'est celui que j'ai le moins aimé.
Alice est malade, psychologiquement malade, son père l'est encore plus, son psy n'en parlons pas, et pas de bol elle a tendance à créer du lien avec des barjots.
Bon, difficile de faire une critique sans raconter l'histoire, et c'est vrai que le suspens est le seul point positif de ce livre.
Je suis peut être un peu dure, mais les ficelles sont grosses, l'histoire un peu dingue et finalement tellement dingue que je n'y adhère pas.
Le problème est que sur 3 livres lus, 2 font référence à des troubles psychiques et même si c'est certainement un peu la signature de Thilliez j'ai trouvé cela lassant.
La caution scientifique de la fin (merci au Dr untel spécialiste de ceci, et les Dr trucs qui m'ont guidé etc..) est un peu facile, et franchement, si le suspens n'était pas là, j'aurais arrêté au bout de 30 pages.
La posture déontologique du psy est carrément loufoque, celle de l'assistante sociale n'en parlons pas, secret professionnel aux oubliettes, ça fait beaucoup de professionnels à côté de la plaque dans un seul bouquin!
Les flics sont inexistants..
je suis allée jusqu'au bout histoire de vérifier que mes idées de suspects et coupables étaient les bonnes (hélas oui..) donc pour moi c'est une déception.
J'avais beaucoup aimé Sharko donc je ne suis pas fâchée avec Thilliez!
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Je n'ai pas du tout accroché a ce livre que j'ai peiné a terminer ( il en fallait bien un ! ) . Aucun suspens à mon sens . Dès le début on se doute de la fin et tous les personnages sont convenus comme les situations dans lesquels ils se retrouvent. Je ne comprends pas ce livre qui ne représente pas du tout le talent de Thilliez.
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Moi qui adore les romans de Franck Thilliez me voila déçue !!
Je n'ai pas spécialement accroché, dés le début.
J'ai même eu du mal à finir ce roman.
Pourquoi ? j'ai eu du mal, au début, à me repérer avec tous les personnages et ensuite, j'ai trouvé, qu'une fois bien situé, on devinait assez vite le rôle de chacun et comment allait finir ce roman.
Mais ce n'est pas très grave, j'attends, tout de même, avec impatience la sortie de son nouveau roman.
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Malgré mon grand respect pour le travail de Thilliez, que je suis depuis plusieurs années, je n'ai pas de grands compliments à faire à ce livre. Peut-être étais-je d'un mauvais état d'esprit mais j'ai trouvé l'histoire trop complexe, à la fois entièrement prévisible et surprenante de perversité. le roman est très sombre, violent. Les personnages trop nombreux (même si voulu). On se demande pourquoi on commence là et où on va. Même si tout s'éclaire à la fin (sans réel surprise, les méchants et les gentils ont été démasqués presque au début), le roman ne m'a pas scotchée, ni même donnée vraiment satisfaction. Je l'ai lu. Ca s'arrête là. Dommage.
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D'après Alexis Brocas du Figaro magazine, "Thilliez signe ici l'un de ses meilleurs polars." Mouais Mouais, pas du tout d'accord. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai lu "Vertige" il n'y a pas longtemps, si je commence à me lasser du thème récurrent ces derniers temps de l'amnésie (on le retrouve dans " La forêt des mânes" de Grangé et "Avant d'aller dormir" de Watson), ou bien si je ne réagis plus de la même façon aux intrigues normalement percutantes de Thilliez. En tout cas, je n'ai pas vraiment accroché cette fois-ci. le début est pas mal, on ne sait pas où l'auteur veut nous emmener, comme à son habitude, et on ne peut nier que Thilliez garde un talent indéniable en ce sens. Par ailleurs, on apprend toujours des choses sur le monde scientifique, ici sur la psychiatrie et les dédoublements de personnalité. Mais comme je l'ai dit plus haut, je l'ai déjà lu ailleurs, à croire que les auteurs se sont tous pris au même moment de passion pour le même thème. le livre n'est pas mauvais, loin de là, car le suspens est toujours là, et l'intrigue est bien ficelée, mais je suis juste un peu lassée par l'atmosphère claustrophobique, l'enfermement étant traité à la fois physiquement dans ce que vivent certains protagonistes, et mentalement à travers la maladie mentale d'Alice.
Pour autant, je compte bien poursuivre avec deux autres livres de cet auteur ("Le syndrome E"et "Gataca") car je suis fan de Thilliez. Une note? Je dirais 7/10 pour moi, mais je préfère largement les enquêtes de Hennebelle et Sharko.
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D'après Alexis Brocas du Figaro magazine, "Thilliez signe ici l'un de ses meilleurs polars." Mouais Mouais, pas du tout d'accord. Je ne sais pas si c'est parce que j'ai lu "Vertige" il n'y a pas longtemps, si je commence à me lasser du thème récurrent ces derniers temps de l'amnésie (on le retrouve dans " La forêt des mânes" de Grangé et "Avant d'aller dormir" de Watson), ou bien si je ne réagis plus de la même façon aux intrigues normalement percutantes de Thilliez. En tout cas, je n'ai pas vraiment accroché cette fois-ci. le début est pas mal, on ne sait pas où l'auteur veut nous emmener, comme à son habitude, et on ne peut nier que Thilliez garde un talent indéniable en ce sens. Par ailleurs, on apprend toujours des choses sur le monde scientifique, ici sur la psychiatrie et les dédoublements de personnalité. Mais comme je l'ai dit plus haut, je l'ai déjà lu ailleurs, à croire que les auteurs se sont tous pris au même moment de passion pour le même thème. le livre n'est pas mauvais, loin de là, car le suspens est toujours là, et l'intrigue est bien ficelée, mais je suis juste un peu lassée par l'atmosphère claustrophobique, l'enfermement étant traité à la fois physiquement dans ce que vivent certains protagonistes, et mentalement à travers la maladie mentale d'Alice.
Pour autant, je compte bien poursuivre avec deux autres livres de cet auteur ("Le syndrome E"et "Gataca") car je suis fan de Thilliez. Une note? Je dirais 7/10 pour moi, mais je préfère largement les enquêtes de Hennebelle et Sharko.
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Alice se fait soigner par un psychiatre pour dédoublement de la personnalité et troubles de la mémoire fréquents. Mais pourquoi Alice a-t-elle développé ce trouble ? de quoi ou de qui voulait-elle se protéger ?

Bon, autant le dire d'emblée, c'est le pire Thilliez que j'ai lu ( et je les ai quasiment tous lus, sauf les tout derniers). J'avais attendu ce roman à la bibliothèque (pourtant sorti il y a plus de dix ans) qui tardait à revenir et finalement, je comprends pourquoi. Moi aussi j'ai traîné la patte pour le lire, j'ai mis un mois et j'ai même lu d'autres livres entre temps.

Il y a une multitude de personnages dès le départ, je me suis complètement perdue dans toutes ces identités. le livre est construit sur le modèle du "au début on ne comprend rien mais tout va être expliqué à la dernière page". Je ne suis pas spécialement fan de ce procédé mais on peut être surpris parfois. Là j'ai eu l'impression que ça partait dans tous les sens, que c'était très brouillon. La police est totalement inexistante (ou très occupée on ne sait pas trop), j'ai eu du mal à rentrer dans le roman et à y croire tout simplement. Pourtant l'environnement des boves d'Arras m'intéressait mais ce n'est pas vraiment mis en valeur, tout juste survolé.

Le twist final, personnellement, je ne l'avais pas vu venir mais j'étais tellement pressée de terminer le roman que ça ne m'a fait ni chaud ni froid. Un énième roman de Thilliez sur l'identité et la mémoire, c'est tellement récurrent chez lui que j'ai fini par me lasser je crois.

Le lecteur est invité à aller visiter le blog d'Alice Dehaene, une véritable personne dont l'auteur s'est inspiré pour l'histoire (d'après ses dires). Depuis Chattam, je me méfie franchement des mystères à continuer sur internet. Manque de chance pour moi, au moment où je consulte le blog, le site est hors service (il est tout à fait accessible à l'heure où j'écris ces lignes). Je tombe alors sur quelques articles de presse qui parlent de ce roman et qui annoncent d'emblée que le blog est un délire de l'auteur lui-même, et que cette personne n'a jamais existé. Bon, ba comme ça, c'est fait. Spoilé avant même d'avoir consulté le site. D'ailleurs, le lecteur qui lit Fractures aujourd'hui sera automomatiquent spoilé puisque le premier article du blog indique que c'est Thilliez lui-même qui a inventé ce site pour jouer avec le lecteur. Bref, voilà pourquoi je déteste quand ça continue sur Internet, ça ne tient pas dans le temps ...

D'ailleurs, "Fractures", j'ai toujours pas bien compris le titre ni l'illustration du livre (une fracture d'un membre). Bref, j'ai subi ce roman. Je lirai par curiosité les derniers Thilliez que je n'ai pas encore lus ( il était Deux fois et 1991) en espérant - en priant même - pour que ça ne concerne ni la mémoire, ni l'identité.
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Une invraisemblable ménagerie de pervers et de malades mentaux emberlificotés dans un écheveau de scènes d’un sadisme grand-guignolesque ? Vous avez trouvé votre bonheur ! Le ridicule ne tuant que dans les livres, nombreux sont les lecteurs qui en redemandent, du Thilliez. Je leur souhaite bon appétit. Moi, j’en ai soupé de ce genre de « thriller »-là.
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Toujours la même chose. Rien de surprenant.
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