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4,06

sur 951 notes
Ce roman réalise le tour de force d'être à la fois passionnant et ennuyant, tant le contraste est grand entre les meilleurs passages et les moins intéressants. Cela reste positif dans l'ensemble, mais j'ai tout de même été un peu déçu par rapport aux bonnes critiques que j'avais lues.
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Il est rare que je n'aille pas au bout d'un livre mais là j'ai abandonné la partie. Personnage malsain, ambigu, glauque. le livre s'étire et se perd parfois dans de curieux méandres. J'ai commencé à perdre pieds lors de la dissertation sur les bois de cerfs....
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Roman dérangeant et qui laisse un goût amère : sang, pédophilie,...
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Attention chef d'oeuvre... Mon seul bémol vient des premiers chapitres qui peuvent décourager le lecteur... L'ogre, Abel Tiffauges, est en réalité une sorte de double de Gilles de Rais...
On ne peut s'empêcher de penser que ce roman serait impossible à publier de nos jours...
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Tournier n'est jamais très simple, mais si passionnant. En effet, "Le Roi des Aulnes" est un roman à lire et à relire, car l'on y trouve toujours quelque chose de neuf, une idée, une intertextualité. Naviguant entre le conte merveilleux et la réalité historique, ce récit nous plonge dans l'imaginaire d'un homme qui se pose par exemple la question, non de savoir ce qu'il advient de nous après la mort, mais ce que nous étions avant la naissance.
Le titre de ce roman étrange au style flamboyant est un appel à la mythologie germanique omniprésente dans tout le livre, avec ses signes et ses symboles profonds.
Un roman magistral où Michel Tournier fait montre d(‘une époustouflante érudition, mais qui a pu choquer certains lecteurs.
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J'ai toujours été très séduite par le style et l'intelligence de Michel Tournier ,mais là , gros malaise : l'essentiel de l'ouvrage tient à la fascination morbide du personnage par le corps des jeunes garçons . Ode à la pédophilie...
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je n'ai pas aimé ce roman lugubre, limite glauque. Seules les dernières lignes apportent un peu de poésie.
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De l'anecdote privée à la grande Histoire... d''un garage automobile parisien à une forteresse teutonique... d'un enfant rachitique à un géant pédophore... d'un pensionnat catholique à une école d'Hitlerjungend... d'un enfant obèse au Grand Veneur Herman Goering.. d'une conviction magique à un accomplissement criminel... d'un simple humain à un ogre puis à un saint... du péché à la rédemption puis à l'expiation... de Goethe et Grimm à Tournier. le roi des Aulnes c'est l'histoire de tous ces parcours qui n'en font qu'un, celui d'une destinée hors du commun; et c'est une histoire qui tient tout simplement du miracle. Fou est celui, folle est celle qui laisse passer une vie sans lire le roi des Aulnes.
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(...) Per un lettore medio come me questo romanzo così denso racconta fondamentalmente, attraverso un narratore extradiegetico e il diario del protagonista (“Scritti sinistri”: sinistri!), la storia di un uomo, Abel Tiffauges, la quale si intreccia sempre più strettamente con quella della Germania ai tempi del nazismo, fino alla catastrofe del ‘45. Che i romanzi di Tournier siano piuttosto filosofici che realistici in senso stretto, lo prova già il semplice fatto che Tiffauges, garagista di incerti natali, riflette e si esprime come Tournier stesso potrebbe riflettere ed esprimersi; cionondimeno molte pagine, come per esempio quelle che descrivono l'esodo delle popolazioni sotto la pressione della minaccia bellica, sono realistiche quanto quelle dei maestri del Realismo Flaubert o Zola, testimoniando del lavoro di documentazione dell'autore.

CHI È ABEL TIFFAUGES E QUAL È LA SUA STORIA? A lungo, fin dall'incipit, lo scrittore mantiene il lettore, secondo me un po' furbescamente, nel dubbio che l'erculeo Abel (Abel!) sia nientedimeno che un orco divoratore di bambini, un po' come il protagonista del film “M. Il mostro di Düsseldorf” di Fritz Lang (1931). In realtà, gradualmente, molto gradualmente, il lettore si rende conto che Abel ama “davvero”, non perversamente, tutto ciò che è tenero e innocente, e quindi gli animali che gli vengono via via affidati e soprattutto i bambini, e amandoli ama tutto di loro, anche la loro “carne”, cioè il corpo: piaghe escrementi cerume peluria, non meno che le voci le risate gli sguardi i movimenti. Per lui tutto ciò che è da poco sbocciato alla vita e ha bisogno di accudimento e protezione è fonte di un godimento che lo coinvolge tutto, anima e corpo, giacché il piacere non si lascia ingabbiare nei soli organi sessuali (elemento su cui Tournier insiste in tutte le sue opere). La sua vocazione di accuditore, se così si può dire (lo scrittore lo definisce spesso “porte-enfant”), di cui egli diviene consapevole via via, nasce dalla sua esperienza di bambino umiliato e solitario fra i tanti altri ospiti di un tetro collegio e rinato in un certo senso grazie alla protezione affettuosa del ragazzo più temuto di tutta la scuola, Nestor, personaggio di cui a dire il vero mi sfuggono alcuni aspetti. Non basta. Fin dal giorno in cui un incendio divampa in collegio come lui aveva desiderato che accadesse, Abel si convince che nella vita lui è guidato da qualcosa di superiore alla sua stessa volontà: nella “sua anima credula e puerile” (cap. “L'orco di Rominten”) lui nutre la convinzione di avere “un destino rettilineo, imperturbabile, inflessibile, che ordina[va] gli avvenimenti mondiali più grandiosi solo in ragione di lui” (cap. Iperborea). (...)

Lien : https://leletturediannarosa...
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J'avais presque sauté les cent premières pages où il évoque sa jeunesse, plutôt chiant. J'ai tenté la seconde partie qui se déroule pendant la guerre, la “drôle de guerre, sa capture et son séjour en Prusse comme prisonnier de guerre qui réussit à se construire une bulle de vie, hors des affres et des drames de la guerre. le texte devient intéressant. le personnage principal se regarde comme s'il ne faisait pas partie du tableau, de l'histoire, de l'Histoire. le séjour est narré comme un entomologiste décrirait une colonie de fourmis, avec toutefois l'oeil acéré et désabusé de l'ethnologue. J'ai bien fait d'insister pour la lecture de la deuxième vie du héros…
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