Louise Tremblay D`EssiambreLes Héritiers du fleuve tome 1 sur 4
/5 37 notes
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Résumé :
D’une rive à l’autre du Saint-Laurent, des familles attachantes aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses. Nous voici au XIXe siècle, sur les rives du Saint-Laurent, là où le fleuve se mêle à la mer. Deux rives: celle du nord, aride, majestueuse, faite de falaises et de plages; celle du sud, tout en vallons, en prés verdoyants et en terres fertiles. Des couples et leur famille: Alexandrine et Clovis, Albert e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5)
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J'ai beaucoup aimé ce roman. J'y ai notamment appris quelques trucs historiques sur la ville de Montréal, Québec et la ville de mes parents Montmagny. D'ailleurs sur la couverture la petite maison bleue ressemble un peu à la maison des voisins de mes grands-parents.
On retrouve aussi les difficultés du milieu rural et de la condition de la femme. Je ne tarderai pas trop à lire le tome 2.
On retrouve aussi les difficultés du milieu rural et de la condition de la femme. Je ne tarderai pas trop à lire le tome 2.
Les héritiers du Fleuve de Louise Tremblay d'Essiambre
La vie au Canada durant le XIX siècle, une histoire très intéressante avec de belles descriptions.
Pas facile pour les femmes de vivre à cette époque, grande famille car durant ces années plus il y avait d'enfants mieux elle était considérée surtout par l'église comme pour Emma et Mathieu.
Le milieu rural était très dur mais aussi les allers et retours en bateau pour Alexandrine et Clovis sur les rives du saint Laurent là où le fleuve se mêle à la mer.
La dernière du trio d'amies Victoire mariée à Albert a une bien meilleur vie mais malheureusement ne pas pouvoir procréer la rend malheureuse.
Il ne faut pas oublier le personnage de James O'Connor, irlandais.
Tout ce petit monde contribue à une saga émouvante et addictive.
Je vais rapidement lire les prochains tommes, j'ai commencé le 2.
La vie au Canada durant le XIX siècle, une histoire très intéressante avec de belles descriptions.
Pas facile pour les femmes de vivre à cette époque, grande famille car durant ces années plus il y avait d'enfants mieux elle était considérée surtout par l'église comme pour Emma et Mathieu.
Le milieu rural était très dur mais aussi les allers et retours en bateau pour Alexandrine et Clovis sur les rives du saint Laurent là où le fleuve se mêle à la mer.
La dernière du trio d'amies Victoire mariée à Albert a une bien meilleur vie mais malheureusement ne pas pouvoir procréer la rend malheureuse.
Il ne faut pas oublier le personnage de James O'Connor, irlandais.
Tout ce petit monde contribue à une saga émouvante et addictive.
Je vais rapidement lire les prochains tommes, j'ai commencé le 2.
Très belle saga dans le Québec de la fin du 19e siècle. Dommage cependant que le récit soit très rapide. On couvre beaucoup d'années en peu de page. On aimerait avoir le temps de s'attacher aux personnages. On change de chapitre et pof, les personnages ont 5, 8, 10 ans de plus... un peu déconcertant...
Mais la saga est intéressante et se lit bien.
Mais la saga est intéressante et se lit bien.
Encore une fois, Louise Tremblay D'Essiambre a su créer une histoire aussi crédible qu'intéressante, ains que des personnages marquants qui vous chavirent le coeur. J'ai même appris certains détails sur l'histoire du Québec que j'ignorais; notamment le fait que le Vatican avait dû donner son autorisation pour la création d'une succursale de l'Université Laval, sur la rue Saint-Denis, à Montréal.
critiques presse (1)
Aucune innovation dans la forme. C’est ailleurs que ça se passe. Dans la psychologie des personnages. Et dans le talent de conteuse de l’auteure : on avale les pages à une vitesse folle, si on accepte que l’efficacité de la narration prime le reste.
Lire la critique sur le site : LeDevoir
Citations et extraits (18)
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Un retour à ses origines pour espérer s’en détacher suffisamment afin de regarder sereinement l’avenir. Sans renier sa patrie, Irlandais il était et Irlandais il resterait, il voulait oublier la tristesse qui y était rattachée. S’il avait le cœur plus léger, libéré de toute son amertume et de ses chagrins, il allait peut-être trouver une compagne et fonder une famille.
Il n’aimait pas vraiment se mêler aux autres, les fréquenter. S’il fallait qu’un homme, un voisin, ose poser des yeux concupiscents sur sa femme… Malgré les années qui passaient, Matthieu était toujours aussi possessif. Il se disait que c’était ça, l’amour, le grand amour !
Il parlait couramment le français et l’anglais et, à force de persévérance,il avait appris à écrire dans les deux langues, ce qui n’était franchement pas donné à tout le monde.
Pis lui, s’il a des sels pour ramener ceux qui tombent dans les pommes,il a aussi un drôle de liquide qui sent ben mauvais,mais qui nous endort pour quelques secondes. On a juste à le respirer profondément, le temps de faire
passer une douleur plus forte que les autres.
passer une douleur plus forte que les autres.
L’électricité ! Toute une invention que cette nouvelle source d’énergie que certains sceptiques disaient passagère, alors que d’autres la défendaient ardemment,prédisant que le monde, d’ici peu, ne pourrait plus s’en passer.
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