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3,65

sur 5414 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Voilà un livre qui donne de l'espoir... oui, de l'espoir à tous les écrivaillons qui ont ainsi la preuve qu'ils ne sont pas à l'abri d'avoir du succès.
Parce que bon là, soyons honnête, sous couvert de nous offrir un livre feel-good, l'auteure nous donne un récit sans réel style, peuplé de personnages superficiels, sans saveurs, sans profondeur vivant des aventures toutes plus invraisemblables les unes que les autres...
Je voulais essayer vu le succès rencontré... si j'aurais su, j'aurais pas lu...
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Acheté et lu ce livre sur la recommandation de Gérard Collard: quelle déception. Un roman
"gériatrique" aux grâces de pachyderme. Développement attendu, fin prévisible... Dans le genre on a déja lu tellement plus fin, tellement mieux!
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Ferdinand a toujours été grognon, aigri et ce depuis sa naissance un vendredi 13. Tout est pénible, lui pèse, sujet à insatisfaction. Son passé temps est de faire enrager sa gardienne, diva des gardiennes et du règlement, et de terroriser ses voisines... Sa chienne meurt et la vie de Ferdinand se colore d'une émotion: la tristesse. Puis une petite fille qui sait tout arrive et s'impose dans sa vie ....et puis j'ai lâché prise!
Ce n'est pas souvent que je stoppe une lecture, le livre n'est pas mauvais mais il m'a semblé plat, sans saveur. L'écriture est fluide, simple mais sans surprise. La trame ne m'a pas accrochée, pas touchée ou transportée ou surprise ou fait rire ou pleurer. Bref une triste impression mais vraiment je n'ai pas eu le courage de poursuivre
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Aucune envie de terminer ce roman malheureusement. Je suis arrivée à un peu plus de la moitié, puis je l'ai abandonné. Je me suis ennuyée, je ne suis pas du tout rentrée dans l'histoire, relativement linéaire. Les personnages ne m'ont pas vraiment touchée non plus, en bref je n'ai ressenti aucune émotion particulière en lisant ce livre...
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J ai essayé car beaucoup parlé de ce livre mais je ne vois pas en quoi il vaut le détour. Je n ai pas pu apprécié le style d d'écriture utilisée pour les personnages, la façon de les décrire sans vraiment créer de scène importante, ni de détail important. Je précise j abandonne à la 40 eme page.
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"Mémé dans les orties" d'Aurélie Valognes n'a malheureusement pas su trouver son écho chez moi. L'histoire m'a paru manquer de substance, peinant à susciter mon intérêt. Les personnages, bien que présents physiquement, semblaient dépourvus de profondeur émotionnelle, ce qui a rendu difficile tout investissement émotionnel de ma part. Je reconnais que ce livre peut avoir son public, mais je n'ai pas réussi à m'immerger dans son univers. Mes attentes personnelles en matière de récit et de développement de personnages n'ont pas été comblées. Chacun a son style de lecture préféré, et malheureusement, celui-ci ne s'est pas aligné avec le mien.
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La critique est facile, l'art est difficile, mais cette citation que je respecte s'applique à l'art, donc acte. Ce livre est une caricature, la caricature de ces gens qui, s'ennuyant à la maison (assez souvent des femmes au foyer pour le coup), se disent soudain "Tiens et si j'écrivais un livre, après tout X l'a fait et ça a cartonné alors pourquoi pas moi ?", se mettent à leur ordinateur, et écrivent droit en bas quelque chose sur quelque futilité sans faire aucune recherche ni sans tenter d'imprimer un style ou quoi que ce soit, et sans probablement même se relire (sinon comment expliquer fautes et redondances ?). le sujet ? Bah, le voisinage, la famille, ou pour les plus aventureux quelque article fait-divers de magasine grand public. Les péripéties ? Bah, le voisinage, la famille, ou pour les plus aventureux quelque article fait-divers de magasine grand public. Les personnages ? Bah, le voisinage, la famille, ou pour les plus aventureux quelque article fait-divers de magasine grand public. Comme on n'a pas trop ni l'envie ni les capacités de faire très compliqué, on utilise de toutes façons des archétypes caricaturaux et comme on n'est certes pas trop versé non plus dans le dialogue, on écrit simplement comme on parlerait soi-même (ou comme on idéalise qu'on le ferait) et du coup tout le monde parle exactement de la même manière (c'est-à-dire comme l'auteur), vieux, jeunes, hommes, femmes, Prix Nobel ou pilier du PMU, après tout c'est aussi ça le roman feel-good, pas de différences entre les gens, tout le monde il est beau et tout le monde y vaut tout le monde donc un ouvrier qui s'exprime comme un astrophysicien ou un enfant qui parle comme un président, pas de soucis (et puis bon, elle est précoce, ça justifie le fait de ne pas savoir comment écrire comme une enfant tout en représentant sûrement une transposition fantasmée de l'auteur). le côté feel-good, parlons-en justement, écrire un vrai roman qui donne du baume au coeur à son lecteur de façon sensible n'est pas si simple, l'écrivaine de salon lui substitue donc son parent pauvre : la niaiserie, et son corollaire, la bien-pensance dégoulinante. Pour les grandes leçons de morale que l'auteur débutant se sent en général obligé d'asséner (soudain il/elle est en position de les donner, ce qui est visiblement souvent grisant), aucun souci, comme on est sur son ordinateur pour écrire, quoi de plus simple que d'ouvrir internet, de taper "les meilleures citations sur (le sujet recherché)", de faire un copier-coller, et de se dire : "ouah, c'est vachement bien ce que j'ai écrit" ? Evidemment il faut aussi soigner son lectorat, donc si on écrit pour une catégorie (au hasard, la sienne) on leur donne ce qu'elles veulent à savoir une lecture bien féministe qui ne peut trouver qu'approbation et "oh je me reconnais ici" dans ce que l'on imagine son corps de cible. Au final, poncifs, clichés, péripéties de gare, style indigent, dialogues lamentables, que dire de plus…

La seule chose bien, c'est l'idée de base: franchement, un vieux grincheux qui s'ouvre au monde et aux autres et y retrouve la joie de vivre grâce à l'entrée en scène d'une enfant pétillante qui lui montre les beautés de la vie, de l'amour, mais quelle originalité, quelle audace, quelle leçon de vie, j'en suis tout retourné (mes amies les crêpes ne s'en sont pas remises), mais bon, il faut une première fois à tout et c'est donc miracle que de lire cette trame si novatrice! Honnêtement, comme ça de tête, si j'exclus une cinquantaine de films, une centaine d'ouvrages, une dizaine de dessins-animés et une bonne quinzaine de séries, j'ai grand-peine à me souvenir de quelqu'un qui ait déjà traité de ce sujet...

Au final, si dans la rue il faut faire attention de ne pas marcher dedans, en librairie il ne fait pas bon non plus d'y fourrer son nez. Voilà ce que m'a inspiré ce livre. Je suis dur? Certes mais y'en a marre de ces pseudo-écrivains!
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Ferdinand, vieillard grincheux solitaire et asocial s'ouvre à la vie après la disparition de sa chienne. Les héros de ce petit miracle sont sa voisine Béatrice de plus de 90 ans et une fillette vivant dans l'appartement du dessus, Juliette. Cette histoire, digne des scénarios de la collection Arlequin, ne manquera pas de séduire les adeptes de livre à l'eau de rose. Je n'ai pas trouvé ce livre drôle, le style est basique et l'histoire ennuyeuse.
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J'ai hésité deux fois à fermer ce livre sans le finir
Mais j'ai horreur de ne pas finir un livre...
Alors, en vrac, le style est scolaire, les dialogues pas crédibles, l'histoire pas vraiment non plus.
Ok, le thème du vieux grincheux qui se rend compte qu'il a gaché sa vie et celle des autres et se mue en gentil grand père est sympa mais bon .....j'ai dû louper un truc....

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Un livre pour l'été .Une histoire banale d'un vieux grincheux de 83 ans .Pas bien difficile à lire et surtout sans grand intérêt. Je n'ai pas réussi à le finir et il sera bien vite oublié
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