C'est le problème des mensonges: tu commences par un et tu es obligé d'en inventer d'autres pour justifier le premier. Et avant d'avoir eu le temps de réaliser, tu te retrouves coincé dans ton imposture comme dans une prison que tu as construite toi-même, brique par brique, sans jamais penser à y intégrer une porte de sortie.
Les spaghettis sont comme nos lignes de vie. Dans la boîte, elles sont parallèles, bien alignées et protégées de la réalité. Dès que tu les sors, c’est la catastrophe et tout fout le camp.
C'est valable pour n'importe quel obstacle que je croiserai sur mon chemin : je peux en faire mon excuse pour abandonner ou je peux en faire l'histoire que je raconterai quand j'aurai réussi.
Avant je pensais qu'on pouvait décider de sa vie, qu'on était maître de son avenir. Mais on ne vit pas dans un film américain avec un happy end à la con. La réalité, c'est que le bonheur et le malheur sont distribués au hasard, par un destin sadique, complètement con, aveugle ou ivre mort.
Pourquoi chaque fois que tu crois que la situation ne peut plus empirer, quelque chose d'autre te tombe dessus et brise ton cœur déjà en miettes ?
- Merci. P'pa.
- De rien Chouquette, et comme dirait Lara Fabian : je t'aime !
"Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles."
Oscar Wilde
....tu me répétais toujours : " Relève-toi, Chouquette, ce n'est pas grave.....
Tu ne m'as jamais expliqué ce qu'il fallait faire quand c'était grave, quand on sait très bien que dans un mois, un an, un siècle, on n'aura pas oublié.
Peut-être qu’une fille qui joue dans l’équipe des garçons restera toujours une intruse. Même si elle est meilleure. Ou peut-être que, fille ou garçon, certains espèrent toujours l’échec de ceux qui réussissent mieux qu’eux.
Il faut toujours viser la lune, car même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles. Oscar Wilde