Le Syndrome du spaghetti

Je n'avais encore jamais lu un roman de Marie Vareille et avec ce récit, elle m'a conquise !😍
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Ce roman est de toute beauté, il est touchant, rempli d'émotions fortes, de chagrin mais aussi d'espoir et d'amour.❤
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Avec des mots simples et pourtant parfaits, Marie Vareille donne vie à des personnages attachants, profonds et nous emmène avec elle dans une l'histoire d'une grande finesse, de justesse également mais surtout d'une grande sincérité.🥺
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Je suis passée par une palette d'émotions immense en lisant les pages de ce roman, je me suis très vite attachée aux personnages, passant des rires aux larmes et de la joie à la tristesse.☺
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C'est un roman qui peut être lu à tout âge et qui fait passer un message important et puissant. Un récit sur l'amour, la résilience, la déception, la perte, l'amitié, l'espoir et surtout le courage de tout recommencer.🥺
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Les mots de fin de Marie Vareille m'ont bouleversé tout autant que l'histoire. C'est un roman au final assez personnel, doux et bouleversant. Merci pour cette pépite ! ❤
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Un récit que je recommande à tous ! 🥰
Lien : https://www.instagram.com/le..

Quel plaisir de retrouver la plume de cette autrice que j'adore!
Je ne suis pas surprise d'avoir à nouveau autant appréciée ma lecture qui m'a fait ressentir un bon nombre d'émotions avec cette justesse et finesse que j'aime tant.

Léa est une adolescente talentueuse pratiquant le basket. Une passion commune partagée avec son père qui est également son coach. Mais lorsque son monde s'effondre et qu'elle ne désire qu'une chose, s'accrocher à son rêve, leur rêve, elle va être contrainte d'y renoncer.

Se relever face aux épreuves et se reconstruire… Garder espoir…Se reconstruire…Pas facile… Et pourtant… Cette phrase fait résonance : « Tu peux en faire ton excuse ou tu peux en faire ton histoire. »

Léa, tu es un sacré personnage que je n'oublierai pas de si tôt! Ta détermination et ta force me rendent admirative. J'ai aimé faire ta rencontre et celle des autres personnages. Anthony, toi aussi tu casses les codes, les représentations qu'on peut facilement avoir si on ne cherche pas à voir au delà des apparences.

Espoir, amour, deuil et passion sont au coeur de ce roman qu'il est difficile de lâcher lorsqu'on le débute. Une histoire qui invite à réfléchir et qui est à lire jusqu'au bout. Vous découvrirez comment est né ce récit, ce qui le rend à mon sens encore plus touchant.

Je ne regarderais plus les spaghettis de la même manière.

Léa est une ado géniale : fille d'un entraîneur de basket, elle a touché un ballon dès qu'elle a su marcher. Depuis lors, elle mange, elle respire et dort basket, à tel point qu'elle veut en faire son métier. Et pour cela, elle ne manque ni de talent, ni d'envie ni de mordant, mais ses plans vont voler en éclat lorsque son père meurt d'une crise cardiaque.

Comment dépasser ce traumatisme ? Comment continuer à avancer alors que la vie s'évertue à nous cracher son venin ?

En persévérant, en changeant de « map », en s'adaptant.

Voilà ce que nous dit cette histoire.

Vous l'aurez deviné : j'ai beaucoup aimé ce roman parce qu'il aborde plusieurs thématiques, dont le deuil.

Qui plus est, l'écriture imite très bien la manière de penser des ados, ce qui rend la lecture fluide et agréable, même pour ceux qui éprouvent des difficultés de compréhension de la langue.

Et puis, si cela ne suffit pas à vous convaincre, sachez que la protagoniste est "badasse" : elle nous émeut autant qu'elle force le respect. Cette dernière excelle au basket mais peine à avoir la moyenne dans toutes les matières, car elle se consacre corps et âmes au sport jusqu'à l'arrivée d'Anthony, dont la situation sociale est beaucoup plus précaire que la sienne ; mais cette barrière invisible ne va pas les empêcher de construire un lien par l'intermédiaire du basket.

Aux côtés de Léa, j'ai appris la résilience et la persévérance. Aux mêmes titres que les personnages du roman, j'ai été contaminée par sa jovialité et par la force qu'elle dégage.

Pour moi, Marie Vareille a réussi son pari : à savoir écrire un roman profond qui traite de plusieurs sujets importants, tels que la maladie et le deuil, sans oublier le public vers lequel elle s'adresse.

Et puis, on sent que ce roman détient une place particulière chez l'autrice, qu'il n'a pas été écrit par hasard puisqu'elle évoque le syndrome de Marfan, une maladie héréditaire rare qui peut entraîner des crises cardiaques, si elle n'est pas traitée et diagnostiquée à ses débuts.

Petit bémol : j'aurais aimé que la différence de statut social entre Léa et Anthony soit davantage mis en avant et exploité, mais en dehors de ce léger désagrément, j'ai été happée tout le long par l'histoire de Léa, dont la trajectoire de vie me rappelle celle de Pauline, mon amie férue de basket (coucou Pauline, si tu passes par là).

En bref, si vous aimez le sport et que les sujets graves ne vous rebutent pas, foncez !

**roman lu dans le cadre des Prix des lecteurs Pocket 2024**

J'ai lu ce roman dans le cadre du prix des lecteurs Pocket 2024 et c'est une lecture que j'appréhendais. En effet, je suis une grande fan de la plume de Marie Vareille, mais le roman étant paru initialement chez Pocket jeunesse, je craignais de me sentir trop éloignée des problématiques des protagonistes du fait de mon grand âge (bientôt la trentaine mon dieu). Inquiétudes infondées, l'autrice a su me convaincre encore une fois : j'ai adoré !

Léa est une adolescente passionnée de sport dont l'avenir semble radieux. Pourtant, son équilibre va voler en éclat. Comment se relever quand on a 16 ans et que nos rêves sont anéantis du jour au lendemain ? A travers l'histoire de l'adolescente, Marie Vareille nous conte une belle histoire de résilience, de reconstruction, et d'espoir.

Contre toute attente, je me suis énormément attachée à Léa que j'ai trouvée très authentique, parfois agaçante, mais finalement très forte malgré les épreuves. Un vrai personnage bien pensé, imparfait, et surtout très humain. J'ai également beaucoup apprécié les personnages qui gravitent autour de Léa : sa petite soeur que l'on découvre au fil des pages, Nico et Amel, les amis fidèles, Anthony et ce bel attachement qui défie les barrières des classes sociales …

Comme toujours avec l'autrice, la plume est extrêmement fluide et poétique, et bonus, elle ne manque pas d'humour ! Des thématiques lourdes qui se mêlent à un humour léger dont je suis une grande adepte.
« - J'ai rien coincé dans les dents ?
- Un morceau de salade, mais comme c'est depuis hier midi, je pensais que c'était ton nouveau style. »

Petite anecdote : après la lecture de ce roman, je me suis rendu compte que mon amoureux avait une belle phalange de son pouce dépassant de sa paume fermée … Au delà de la belle histoire pleine d'émotions contée par Marie Vareille, ce roman est aussi une mine d'informations sur un syndrome trop méconnu.

Léa Martin, à 16 ans, voue sa vie au basket depuis son plus jeune âge, coachée par son père. Ses grands rêves et toute son énergie sont dédiés à cette passion. Cependant, lorsque son père décède tragiquement et qu'elle doit renoncer à son admission à l'INSEP pour des raisons médicales, tout son monde s'effondre. Et si refuser d'accepter la réalité était, sinon la solution, le début du chemin ?

L'autrice aborde ici le thème poignant du deuil et de l'adversité, mettant en scène une héroïne aussi forte que fragile, traversée par les épreuves de la vie.

On est témoin de son déni et de sa colère qui camouflent sa peine, perturbant son discernement au point de l'éloigner de ses proches et de se mentir à elle-même. Elle s'étourdit dans sa rencontre avec Anthony, avec qui elle brave les interdictions, continuant à jouer et à vivre pour le basket. Leur relation, inattendue et séductrice, est teintée de contrastes, suscitant l'adhésion du lecteur pour leurs différences et leurs rapprochements.

Cette citation poignante révèle la profonde connexion émotionnelle de Léa avec le basket, soulignant l'importance de cette passion dans son processus de guérison et de reconstruction après la perte de son père.

L'écriture fluide et émouvante permet de resserrer des liens qui auraient pu être ébranlés. Léa peut compter sur la sincérité de ses amis, qui ne mâchent pas leurs mots et se soucient réellement d'elle. Si la relation avec sa famille est complexe, l'amour n'y est pas à démontrer. Les douloureuses épreuves rétablissent les vérités, démontrant qu'à force de convictions et de résilience, les rêves ne s'éteignent pas lorsqu'ils semblent impossibles ; ils grandissent avec le coeur et se transforment.

Ce récit témoigne d'une belle sensibilité associée à un sens aigu de la combativité. À lire absolument !
Lien : https://www.sophiesonge.com/..

C'est fascinant de constater dès les premières pages du livre combien l'autrice a la faculté de créer des personnages profondément humains. Son plus grand talent est d'écrire des dialogues fluides et naturels. Les héros ont des conversations qu'on pourrait tous avoir au quotidien (et cela ne passe pas obligatoirement pas des abréviations ou des surnoms répétitifs comme j'en vois beaucoup trop souvent en littérature pour adolescents…). Bref, j'ai rapidement aimé la famille lambda de Léa, avec la mère qui n'a aucune notion d'intimité ou le père aux références musicales dépassées. le drame qui percute la jeune fille de plein fouet n'en est que plus terrible pour nous, lecteurs simples spectateurs.

L'histoire est racontée en point de vue interne; celui de Léa. Nous n'avons pas accès aux pensées et émotions d'Anthony. Ils sont deux êtres que tout oppose, hormis la pratique du basketball. C'est un sport qui est peu mis en lumière en littérature (et pourtant, j'ai pas mal de demandes là-dessus en magasin). Marie Vareille maîtrise son sujet et casse en plus les codes en permettant à une héroïne de le pratiquer; stop les sports de ballon pour les garçons et la danse/l'équitation pour les filles !
Le rapprochement des protagonistes se fait, encore une fois, naturellement. Ce n'est pas un coup de foudre ni un énième ennemies to lovers : c'est une romance vraie et saine. Anthony a des défauts, évidemment, mais il n'est ni manipulateur ni violent ni séducteur… Quand on voit tant de (trop) jeunes lectrices fantasmer sur la dark romance, cela fait du bien de trouver de belles histoires d'amour bien écrites et qui démontrent qu‘il n'y a pas besoin d'entrer dans un système de souffrance ou de soumission pour vivre des émotions fortes. C'est vrai, Léa est en souffrance pendant une grande partie de l'histoire mais Anthony n'est pas en cause.

Léa est une adolescente fière et têtue qui souhaite s'en sortir seule malgré le soutien de sa famille et ses amis. Beaucoup de lecteurs se reconnaîtront en elle. Ce qui lui arrive est profondément injuste mais il est impossible de revenir en arrière. Elle va passer par les différentes étapes du deuil et certaines vont être très dures à passer. Elle ose de nouvelles choses mais elle fait aussi pas mal d'erreurs. Bref, comme je le disais au début, elle est humaine.

Cela faisait pas mal de temps que je n'étais pas tombée sur un roman aussi impossible à lâcher. J'aime énormément la plume de Marie Vareille et les histoires qu'elle raconte. Elle maîtrise les sujets qu'elle évoque et ça se sent. Je suis légèrement tatillonne avec la fin un poil trop happy end mais ce fut un plaisir immense de vivre la reconstruction de Léa à ses côtés. C'est un personnage qui m'a appris beaucoup de choses.

Lien : https://bullesetchapitres.wo..

Alerte coup de coeur

Léa , 16 ans est passionnée par le Basket. Elle a chopé le virus toute petite, son papa coach lui a mis un ballon dans les main très jeune.

Très douée et bosseuse, 20h d'entraînements par semaines payent puisqu'elle est sélectionné à l'Insep et espère intégrer plus tard la WNBA!

Mais le monde de Léa s'écroule un jour d'avril et elle sombre.

Malgré le soutien de ses amis Amel et Nicolas, Léa reste plongé dans le déni et la souffrance.

Elle fera la connaissance de Antony, jeune homme de la cité voisine et passionné également de basket et cette rencontre va petit à petit aider Léa à se sentir mieux.
Malgré tout , Léa s'enfonce dans ses secrets et n'ose pas s'ouvrir complètement malgré les sentiments forts qu'elle ressent m.

Comment la relation entre elle et Antony évoluera?
Se détournera-tel-elle de sa famille et de ses amis ?

Trois ans après tout booskta, je découvre enfin ce livre qui avait pourtant fait pas mal de bruits à sa sortie. le résumé ne me tentait pas plus que ça. Mais j'ai tout de même laissé sa chance à ce livre. Et honnêtement? J'ai bien fait parce que ce fut presque un coup de coeur !
J'ai beaucoup aimé la plume de Marie Vareille, je la découvre avec ce livre et je dois avouer qu'elle est assez addictive. J'ai beaucoup aimé le personnage de Léa et je me suis parfois reconnue en elle (d'une certaine manière, contrairement à elle, je détestais le sport à l'école). Des sujets importants sont abordés dans ce livre : contraception & premiers amours, mort, maladie (syndrome de Marfan) etc, avec une petite touche d'humour et d'amitié pour faire passer le tout. J'ai été convaincue par la romance, et les relations entre les différents personnages, qui sont tous très humains (ce qui est plutôt rare à mon goût).
Le seul point qui m'a déplu et qui fait que cette lecture n'est pas un coup de coeur, c'est le côté beaucoup trop cliché des cités et des personnes qui y vivent. Ça manquait clairement de réalisme et de nuances et cela m'a dérangée. C'était vraiment maladroit à vrai dire, il aurait été judicieux de faire appel à des sensitive readers.
Voila, hormis ce point, non négligeable, j'ai vraiment apprécié cette lecture. Elle m'a d'ailleurs donné envie de découvrir d'autres livres de l'autrice. D'ailleurs si vous souhaitez m'en conseiller, je vous écoute :)

La jeune adolescente Léa,1m79 joue au basket, passion de sa vie. Elle vit dans les beaux quartiers, est proche de son père qui l'entraîne et sa vie se déroule sans gros soucis. Cependant, après la mort brutale de son père sur un terrain de basket, on découvre qu'il était atteint du syndrome de Marfan qui peut entraîner des problèmes graves de coeur ou d'aorte. Cette maladie étant génétique, Léa découvre qu'elle est elle-même atteinte ainsi que sa soeur Anais. Les sports de contact lui étant fortement déconseillés, elle est exclue de son club : trop de risques ! Léa ne peut l'accepter et continue de jouer en cachette avec Anthony sur le terrain d'une cité proche où elle n'est pas connue. Elle doit peu à peu affronter le réel et comme dans un processus de deuil après le choc, la colère, le déni vient l'acceptation et la reconstruction, l'ouverture aux autres.
Un très beau roman sur la maladie, le deuil, l'amour, l'amitié, la jeunesse.

belle découverte et apprentissage de maladie rare

Ouvrage dévoré en 3 jours. le syndrome de Marfan m'étant inconnu j'ai apprécié en apprendre à travers l'histoire de Léa et sa famille. le deuil est propre à chacun.

Merci à l'auteure de nous permettre d'apprendre par son roman des maladies rares.

Je le recommande