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4,4

sur 2425 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Dans ce livre, on suit l'histoire de Léa, 16 ans, passionnée de basket. Selon elle, sa vie est déjà toute tracée. Mais du jour au lendemain, tout va basculer suite au décès d'une personne très proche.

Je lis très rarement de la littérature de jeunesse et je dois avouer que le basket, c'est loin d'être ma tasse de thé et pourtant, j'ai ressenti tellement d'émotions en lisant le syndrome du spaghetti. J'ai lu les 280 pages en moins d'une journée tant c'était prenant.

Marie Vareille nous parle de maladie, de deuil, d'amour, d'amitié, de rêves : toutes ces choses qui font parties de la vie finalement. Je pense qu'on peut tous s'identifier à certains détails de ce roman. Pour moi, ce fut le fait d'accompagner un proche à l'hôpital chaque jour pendant plusieurs mois. Et l'autrice réussit à mettre précisément des mots là-dessus.

Ce que je retiendrai de ce roman, c'est toute sa théorie autour des spaghettis : un magnifique message à découvrir, qui donne envie de réaliser ses rêves, quoi qu'il advienne.

Ce roman ne vous laissera pas indifférent. Il est incroyablement riche et prenant. Alors un conseil, lisez-les et offrez-le à une personne qui compte pour vous !
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Le syndrome du spaghetti de Marie Vareille raconte l'histoire de Léa, une jeune fille qui a le basket dans la peau. En effet, dans sa vie, tout tourne autour de ce sport qu'elle adore plus que tout au monde. Elle a d'ailleurs de très grands projets autour du basket et elle est prête à tout pour y parvenir, n'hésitant pas à s'entraîner dès qu'elle en a l'occasion. Mais alors que tout semble sourire à Léa, un tragique événement va remettre en cause son avenir.

De son côté, Anthony n'a pas une vie facile puisqu'il doit vivre sans son père qui les a abandonné lorsqu'il était enfant mais également avec son frère qui enchaîne les gardes à vues. À la différence de Léa, Anthony a dû entrer très tôt dans le monde des adultes et à cause de ça, n'a plus aucun rêve.

Rien ne pouvait prédire que les deux jeunes gens allaient se rapprocher ni même qu'Anthony serait le seul capable d'aider Léa à remonter la pente lorsque le monde de la jeune fille s'écroulera.

Un roman qui ne pourra pas laisser les lecteurs de marbre. Ces derniers souffriront en compagnie de Léa et d'Anthony et il est même possible que certains lecteurs versent une petite larme durant cette lecture émouvante.
Ils feront la connaissance d'une maladie très peu connue à ce jour mais capable de bouleverser à jamais la vie des personnes qui y sont atteintes.

Ce qui est réellement intéressant avec cet ouvrage, c'est le fait que même les personnages secondaires sont attachants et les lecteurs ne peuvent pas s'empêcher de s'attacher à Armel et Nico, les meilleurs amis de Léa et à Djibril, Roméo et Teddy, les amis d'Anthony.
Cependant, l'un des personnages les plus touchant de ce récit est sans contexte Anaïs, la petite soeur de Léa. Bien qu'elle ne soit qu'un personnage seconde, le lecteur ne pourra qu'être touché par cette jeune fille qui est beaucoup plus forte que ce qu'on pourrait penser.

Un roman porteur d'un message qui indique que même lorsque tout semble s'être écroulé, il suffit d'un petit quelque chose pour retrouver une étincelle d'espoir. À découvrir peu importe l'âge du lecteur.
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J'ai adoré ce roman 246 pages se lit vite on rentre vite dans l'histoire c'est émouvant meme si c'est l histoire d une ado de 16 ans on se sent concerné y'a une belle morale une belle histoire la famille l amour la maladie le deuil les amis bref Tout est là ni trop ni pas passé bref j'ai passé un super moment avec ce bouquin
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Marie Vareilles est l'autrice de la série dystopique, Elia la passeuse d'âmes. Elle est par ailleurs autrice de romans de chicklit' pour adultes. Elia la passeuse d'âmes a reçu de nombreux prix, le prix du meilleur roman pour la jeunesse le Parisien 2016, le prix Pierre Bottero 2017, le grand prix des lecteurs de la fédération des Parents d'élèves de l'enseignement public 2017 et le prix des Dévoreurs 2017.
Lea Martin a 16 ans, elle est en seconde au lycée privé Charlemagne et elle est folle amoureuse de Nicolas Roussel, son meilleur ami qui enchaîne les conquêtes mais ne pense jamais amoureusement ni à Léa ni à la meilleure amie de celle-ci, Amel Zaoui. Elle vit avec ses parents et sa petite soeur Anaïs à Tarny-sur-Seine où elle joue dans l'équipe de basket des hommes car elle rêve d'intégrer l'institut national du sport, de l'expertise et de la performance (INSEP) et un jour d'entrer dans la Woman National Basketball Association (WNBA). Elle a vingt heures d'entraînement par semaine en plus de ses cours au lycée et sa mère lui met beaucoup de pression afin qu'elle ait de bonnes notes. Elle va souvent chez son amie Amel qui habite la cité de Val-Fleuri. Elle y fait la connaissance de quatre jeunes du quartier qui jouent au basket au pied des tours, Djibril, Roméo, Teddy et surtout Anthony Edou dit Teddy qui ne la laisse pas indifférente.
Son père meurt brutalement d'un déchirement de l'aorte. Il s'avère qu'il était atteint du syndrome de Marfan, une maladie génétique rare qui touche les tissus conjonctifs. Après des examens au centre de référence maladies rares pour le syndrome de Marfan à l'hôpital Bichat-Claude Bernard, le diagnostic tombe, Léa et sa soeur Anaïs sont toutes les deux atteintes de ce syndrome. Léa ne peut donc plus jouer au basket, tout son monde s'effondre.
Nous commençons à lire ce roman et nous pensons tout d'abord à un nouveau roman de sicklit' et peu à peu, toutes nos habitudes de lecture de romans sentimentaux s'effacent. Marie Vareille nous entraîne dans une histoire bien plus profonde. Oui, le roman aborde la passion adolescente, ici le basket avec tous les rêves d'une jeune fille qui se projette dans une vie rêvée et d'autant plus espérée que celle-ci correspond aux désirs de son père tant admiré. Oui, le roman aborde la maladie, ici une maladie génétique rare, le syndrome de Marfan mais elle nous bouleverse par les réactions différentes des protagonistes, le déni de l'héroïne, l'acceptation et l'observance de sa petite soeur gravement atteinte et la bonté de la mère - elle organise, elle gère les rendez-vous, elle est attentive à chacune de ses filles alors qu'elle apparaissait aux yeux de la narratrice - l'héroïne - comme une femme d'affaires froide et ambitieuse. Oui, le roman aborde le deuil mais l'héroïne ne sombre pas dans la tristesse, elle est en colère et elle garde intacte toute sa rage. Oui, c'est un roman sentimental mais quelle histoire d'amour ! Une jeune fille de famille aisée est amoureuse depuis toujours de son ami d'enfance qui ne partage pas ses sentiments et elle découvre l'amour avec un garçon des cités alors que tout semblait les séparer - leur statut social, leur histoire familiale, leurs conditions de vie, leur scolarité et leurs fréquentations. Mais le brio de ce roman, c'est bien l'écriture de Marie Vareilles qui choisit de raconter cette histoire à la hauteur de l'héroïne, plongée dans son seul malheur et qui perd de vue toute l'affection de sa famille, de ses amis et de son entourage. de l'égoïsme de sa réaction si naturelle face au déluge de malheurs qui lui sont assenés, c'est justement dans l'amour et l'amitié qu'elle va se sauver. Une superbe leçon d'humanité avec de magnifiques passages de philosophie toute simple sur la vie et le bonheur. Nous admirons toute la délicatesse des vibrations du coeur dans ce roman français bouleversant.
Coup de coeur.
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Un réel coup de coeur ❤ ! Une pépite ce roman jeunesse !

D'abord j'ai vite été attiré par la couverture et son résumé. Ensuite, quand j'ai vu les nombreux retours positifs je n'ai plus eu d'hésitation.

Qu'est ce que j'aurais aimé adolescente lire une histoire comme celle là ! Cela m'aurait réellement boosté et peut être que j'aurais pris un autre chemin.

Je n'ai jamais ressenti autant d'émotion en lisant de la littérature jeunesse !

Merci à Mme Vareille de vous être livré ainsi !

A lire de toute urgence et à faire lire à tout les ados !!!!
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Avis de lecture pour le syndrome du spaghetti de @marie_vareille :

J'avais déjà beaucoup aimé son dernier livre mais là je n'ai pas été déçue ! J'ai lu ce roman jeunesse en une nuit, non pas car il est court mais car il est passionnant ! Il est édité en secteur jeunesse mais c'est une lecture pour tous !

C'est une histoire de coeur ce livre, une histoire qui prend au coeur quand l'héroïne va vivre des épreuves très difficiles et va chercher de l'aide, pas auprès de ses proches mais auprès d'Anthony, ce jeune homme aux antipodes de sa vie et qui va lui permettre de reprendre souffle...

🏀La passion de Léa c'est le basket et même pour une non sportive comme moi, l'écriture est tellement immersive que l'on vit avec Léa sa relation à ce sport transmise par son père.

🏀Le résumé insiste sur la relation entre Léa et Anthony mais je trouve que ce roman est surtout une tranche de vie éprouvante mais qui en même temps ne fait jamais sombrer totalement l'héroïne. Malgré les coups durs, elle garde une sorte de combativité très justement décrite. Et pour autant, l'auteur n'en fait pas une femme parfaite, mais une femme vulnérable.

🏀Avec ce livre, j'ai pleuré de nombreuses fois mais je voulais aussi toujours plus connaître la vie de Léa. L'écriture est belle, sans fioritures excessives mais très juste dans tout ce qui est décrit des évolutions émotionnelles des personnages.

🏀Un livre à mettre dans les mains de ceux qui se sentent submergés par les difficultés et qui n'arrivent plus à voir la lumière. C'est un livre d'une espérance réaliste.

🏀Marie Vareille est vraiment très douée pour produire des romans haletants et tellement bien écrit au niveau du scénario.

🏀Vous l'aurez compris, c'est un coup de coeur que je recommande chaudement !

Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Nous rencontrons ici, Léa, une ados de 16 ans.
Elle vit avec ces parents et sa soeur.
Elle est fan de basket et son père est coach dans l'équipe de basket du lycée.
Au début de l'histoire, on se dit, c'est encore l'histoire d'une ados comme les autres.
Une ados qui va tomber amoureuse aura le coeur brisé, etc., etc.
Comme dans les livres qu'on a l'habitude de lire et qui deviennent vite des clichés à nos yeux.
Mais franchement, je peux vous assurer que ce livre n'as rien d'un cliché.
Il m'a fait passer par toutes les émotions possibles, mais j'ai surtout beaucoup pleuré.
J'ai vécu un peu la même chose que Léa, (je ne peux pas en dire plus pour éviter les spoils.) mais du coup cette histoire m'as touché encore plus. J'ai vraiment eu le coeur brisé en mille morceaux.
Franchement un énorme bravo à l'autrice pour ce livre qui est totalement réussi à mes yeux.
Je ne peux que vous conseiller de le lire, mais prévoyez les mouchoirs.
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Voici un roman qui a chamboulé mon petit coeur. Il fait partie des livres qui resteront gravés en moi. Que d'émotions dans la plume de Marie Vareille!
Ce roman apparaît dans la catégorie jeunesse/ado mais ne vous y trompez pas, cette lecture est parfaite à tout âge.
Tout est bouleversant dans cette histoire: ce syndrome que je ne connaissais pas, les rêves brisés d'une jeune fille, une famille mise à l'épreuve de la vie... Vous êtes prévenus, ouvrir ce roman c'est prendre le risque de ne pas pouvoir le refermer avant la toute fin.
Léa, adolescente, va être confrontée à la dureté de la vie et va devoir apprendre à vivre avec. Pas facile, à ce moment charnière de la vie, d'accepter de se décentrer et de prendre du recul sur soi. On a parfois envie de lui ouvrir les yeux sur ce qui se passe autour mais elle doit apprendre par elle-même. Et c'est tellement bien écrit que les émotions affluent tout au long de la lecture.
Un magnifique roman sur la résilience qui nous rappelle que la vie est précieuse. Il est toujours bon de se rappeler qu'on a une chance extraordinaire d'être en bonne santé.
N'oublions pas les petits bonheurs de chaque jour et sachons profiter de la vie. Un grand courage à tous ceux qui vivent avec ce syndrome ou bien d'autres !
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Un livre, pris au hasard.
Pas ma came mais parfait pour attendre mon kiné 2 fois par semaine.
Sauf que le hasard n'existe que dans "les séries américaines avec un happy end à la con."

L'histoire d'une ado, têtue comme une mule, qui ne supporte pas de voir son rêve de devenir joueuse pro de basket, s'écrouler.
Une ado classique.
Une histoire plus complexe que ça en a l'air.
Qui parle de deuil.
De ces foutues étapes à traverser.
De la douleur indicible qui absorbe et laisse KO.
Qui parle aussi d'une maladie génétique, le syndrome de Marfan.
S'il n'est pas pris à temps, il mène à la mort.
Que personne ne connaît tant qu'un des proches n'en est pas gravement atteint. Je ne vous le souhaite pas.

C'est l'histoire d'une ado et c'est bien plus que cela.
Tout est juste, criant de vérité.
Je peux vous l'assurer.
Mon père est décédé de ce syndrome.
Je commençais ma vie d adulte.
Mon frère en est atteint.
Quand je disais que le hasard n'existe pas.

Je vous conseille ce livre, qui est beaucoup plus qu'un livre de salle d'attente.
Merci @marie_vareille de ce roman lumineux et d'avoir mis la lumière sur ce syndrome, que tout le monde devrait connaître avant qu'il ne soit trop tard.
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Mais quelle jolie surprise que ce roman de Marie Vareille. Classé ado, il peut pourtant se lire à tout âge. J'imagine que les ados s'attacheront peut-être plus à Léa ou Anthony... mais moi j'ai été touchée par tous les personnages et par les thèmes que ce roman aborde : la construction de soi, le rapport aux autres, l'adversité de la vie, la maladie, le deuil, la résilience...

Comment faire quand la passion et les rêves qui nous bercent depuis notre plus tendre enfance se trouvent mis à mal par les épreuves de la vie ? Comment se reconstruire alors même que notre première construction identitaire n'est pas achevée ? Comment se relever quand notre pilier n'est plus ? Ces questions, Léa va y être confrontée. Et même si elle aura l'impression d'être seule face à l'injustice de la vie, c'est finalement accompagnée de ses proches qu'elle pourra évoluer et passer les étapes du deuil qui jalonnent ce roman. Elle apprendra d'eux, mais aussi de leurs propres épreuves de vie, car Léa, même si elle l'oublie parfois, n'est pas la seule à souffrir, à douter, à avoir peur.

La maman que je suis a été très touchée par la mère de Léa, la douleur et le désarroi qu'elle essaie de cacher pour soutenir ses filles, les changements qu'elle opère dans sa vie pour revenir à ce que justement la vie lui a appris. J'ai aimé aussi les autres liens tissés dans ce roman : la relation entre les deux soeurs, avec toute l'ambivalence qu'elle peut contenir, les relations amicales, et le lien particulier à ces amis d'enfance qui nous connaissent par coeur, mais aussi l'amour naissant, et à travers lui la découverte de l'autre mais aussi la découverte de soi...

Ce roman, je dirais que c'est un livre sur le courage : oser rêver, oser se battre, oser (se) dire, oser (se) montrer, oser espérer, oser continuer d'espérer, oser aimer... oser vivre, tout simplement ! Un roman très touchant qui nous rappelle à quel point la vie est fragile mais qui nous rappelle aussi à quel point nous pouvons être forts et résilients. Il y aura des obstacles et des épreuves... « Tu peux en faire ton excuse ou tu peux en faire ton histoire ».
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