Dans ce livre, vous aurez droit à :
Des répétitions grotesques : 2 malfrats arrêtés de la même façon par les mêmes personnes, finissant de la même manière. / Des affirmations devenant vérités que tous les personnages répètent en choeur comme si tous les persos n'en était qu'un seul / 9 coffres forts tous bien dissimulés dans neuf maisons du comté. Tout le monde a des coffres, ça fait plein de sens / Des sbires interchangeables, venant tous de la même place, facilement identifiable via une photo et identifié de manière tellement cavalière.
D'ailleurs, ces dites répétitions ne concernent EN RIEN l'intrigue principale.
Des personnages vides : nouvel aubergiste, nouvel adjuvant en
Chateaubriand, nouvel enquêteur et 2 nouveaux policiers dont on se fout éperdument. Qui veut un âne?
Intrigue boiteuse : Sapristi, c'était tellement prévisible et télégraphié. Qui plus est, les liens alambiqués et les dernières paroles des victimes à demi-mot juste avant la mort et les liens avec les mots bretons. Wtf did I just read.
Réutilisation d'ancien contenu : un autre critique l'a pointé, mais oui c'est du gros remâché.
Des personnages vides prise 2 : Adamsberg ne se ressemble pas. Retancourt n'a qu'une capacité. Mercadet dort. I mean. C'est redondant que le maudit.
Que des dialogues : que des dialogues. On ne veut pas le savoir, on veut le voir.
On finit le livre écoeuré, avec de sérieux doutes sur qui l'a vraiment écrit. Hard pass. Même pour les futurs aventures. Je mettrai un gros point d'interrogation avant de lire.