Il apparaît ainsi que l'athérosclérose, par l'atteinte des artères qu'elle provoque et par ses facteurs de risque, peut avoir un retentissement non seulement sur le coeur, mais également sur beaucoup d'autres organes, comme le cerveau, les yeux, les reins, les membres inférieurs, pour ne citer que les principaux.
En cinquante ans, la mortalité cardio-vasculaire a diminué de moitié, soit environ 1 % en moyenne chaque année. Malgré cela, les maladies cardio-vasculaires représentent la deuxième cause de décès en France après le cancer mais restent la première cause de mortalité dans de nombreux pays occidentaux. Quand on parle de maladies cardio-vasculaires, on pense infarctus du myocarde et accident vasculaire cérébral. Leur nombre a cependant considérablement baissé.