Le miroir de Cassandre

Le livre de trop. J'aimais Bernard Werber et je ne le nie pas. Mais il semble que bien malgré moi, en grandissant, le charme n'opère plus. Et j'ai retrouvé dans le miroir de Cassandre comme démultipliés tous les défauts que j'avais pu apercevoir dans les autres livres de Werber. Est-il nécessaire que l'auteur veuille à tout prix, et le plus souvent avec peu de subtilité, faire passer des messages pseudo-philosophiques, dépeindre des personnages faussement torturés, jouer une provocation chic et nous assommer de considérations mille fois entendues ?
Benard Werber est un formidable raconteur d'histoire, et le merveilleux opère parfois comme dans le papillon des étoiles. Mais il est dommage qu'il joue au philosophe, même à son corps défendant car il n'en possède pas les qualités.
Le livre se lit bien certes, mais on préfère l'oublier vite.

Ce fut long !

Une adolescente qui peut prévoir le futur alors qu'elle a tout oublié de son passé antérieur à ses 13 ans.
Werber pose un décor atypique : une énorme décharge dans laquelle vivent, en tribus, des gitans, des libanais et des 4 SDF. Une vie comme au temps de la préhistoire où le mot d'ordre est : survivre
C'est une grande ode aux odeurs !!!! Pas au point du livre le Parfum , mais on a tout de même l'impression de sentir en même temps que Cassandre les odeurs pestilentielles qui accompagneront nos personnages tout au long du roman
En ce qui concerne la trame, pas de grand changement, Werber distille peu à peu ses éléments surnaturels, mais toujours de façon à faire prendre la sauce par des références scientifiques, on a envie (ou pas envie selon les personnalités plus ou moins sceptiques) d'y croire.

Pour ma part, j'ai trouvé original d'intégrer à son roman des éléments de quelques une de ses autres romans comme le Papillon des Etoiles, (trouvé dans la décharge, dans un état tellement lamentable qu'on ne peut distinguer le titre, sic !) et l'Arbre des Possibles que les protagonistes recréent.
Original mais aussi un peu décevant car on a une impression de déjà vu, les possibilités du futur, l'ange qui creuse en la touchant de son doigt la gouttière sous le nez du nourrisson afin qu'il oublie ses vies antérieures, cela devient d'autant plus redondant que ce dernier aspect est de + en + repris par d'autres auteurs, tel Marc Lévy dans son dernier roman.
En somme un livre qui se lit bien mais mon avis reste mitigé néanmoins.

A peine les premières pages ouvertes, je me suis tout de suite plongée dans l'histoire.
J'étais impatiente de reprendre ma lecture pour savoir la suite des aventures de Cassandre.
Mais petit à petit mon enthousiasme est vite retombé... j'ai trouvé l'histoire longue, répétitive et finalement sans intérêts... et cela jusqu'à la fin du livre.
Dommage car l'idée était bonne...

Voilà une lecture ambivalente. J'ai aimé le concept global de l'histoire, les personnages (Il est rare que des héros des livres soient des SDF), la description très vivante des dépotoirs. La critique de notre façon de cacher la misère et de laisser s'amonceler nos problèmes et nos déchets, même si c'est moins original.

Intéressant aussi l'idée que les prémonitions se réalisent, parce qu'inconsciemment, on ferait en sorte que ça soit le cas. (même si dans les faits, si on me dit quand et comment je vais mourir, à priori je vais tenter de déjouer le "destin". )

Après, certains passages sont tirés par les cheveux, et ne m'ont pas donné envie de me laisser prendre au jeu...

Bref, j'avais un meilleur souvenir de son livre "Les fourmis". Ce qui ne m'empêche pas d'avoir su trouver des qualités à celui ci pour aller jusqu'à la dernière page.

Le bilan de ma lecture est très mitigé. J'ai comme toujours aimé le message qu'il essaie de faire passer, mais à force de toujours utiliser les mêmes ficelles, on les use. le style est moyen, malgré des personnages plutôt intéressants et atypiques. le roman abuse de facilités scénaristiques, en particulier pendant les révélations. Je pense que Werber et moi, c'est, hélas, définitivement fini. Sans rancune, je garde dans mon coeur certains de ses romans qui m'ont aidée à réfléchir sur le monde quand j'étais adolescente.
Lien : https://lirelafolie.wordpres..

J'ai trouvé qu'au départ il y avait de bonnes idées mais le roman tourne hélas très vite en rond et tout devient prévisible...

Mouais…. Bon, je viens de finir ce livre de Bernard Werber. Je n'avais encore jamais lu de livre de cet auteur… Je ne suis pas sûre d'en lire un autre. Je suis relativement partagée quant à ce bouquin. J'ai beaucoup aimé le début. Certaines scènes m'ont vraiment marqué… D'autres m'ont vraiment saoulé. le thème de l'avenir m'a parlé dans le sens où les questions que le livre pose sont celles que je me suis souvent posée, mais ça m'a laissé une sensations de superficialité, il manque un truc que j'arrive pas à déterminer, peut-être le fait que l'histoire se passe dans un endroit marginal, ce qui fait qu'on en sent moins les conséquences et les implications pour la majorité d'entre nous. le thème de l'autisme aussi m'a bien plut, même si son hypothèse m'a semblé un peu gros, mais pourquoi pas. Après, honnêtement, je ne vois pas l'intérêt de ce livre pour moi. Peut-être que pour d'autres, cela leur ouvre la porte au questionnement sur l'avenir et les générations futures… ça n'a pas été mon cas. Un point positif mais mitigé malgré tout, je n'ai pas vraiment eu l'impression de perdre mon temps, mais pas l'impression non plus d'avoir gagné quelque chose dans cette lecture. Point négatif: l'histoire tourne en rond, on sait comment elle commence, et on sait très bien comment elle finit dès le début, c'est dommage, un sujet difficile à traiter, une problématique posée dès le commencement et qui n'a aucune chance de se régler par la suite. L'Arbre des Possibilités… Une douce utopie qui n'avance à rien!
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..

Une adolescente qui peut prévoir le futur alors qu'elle a tout oublié de son passé antérieur à ses 13 ans.
Werber pose un décor atypique : une énorme décharge dans laquelle vivent, en tribus, des gitans, des libanais et des 4 SDF. Une vie comme au temps de la préhistoire où le mot d'ordre est : survivre
C'est une grande ode aux odeurs !!!! Pas au point du livre le Parfum , mais on a tout de même l'impression de sentir en même temps que Cassandre les odeurs pestilentielles qui accompagneront nos personnages tout au long du roman
En ce qui concerne la trame, pas de grand changement, Werber distille peu à peu ses éléments surnaturels, mais toujours de façon à faire prendre la sauce par des références scientifiques, on a envie (ou pas envie selon les personnalités plus ou moins sceptiques) d'y croire.

Pour ma part, j'ai trouvé original d'intégrer à son roman des éléments de quelques une de ses autres romans comme le Papillon des Etoiles, (trouvé dans la décharge, dans un état tellement lamentable qu'on ne peut distinguer le titre, sic !) et l'Arbre des Possibles que les protagonistes recréent.
Original mais aussi un peu décevant car on a une impression de déjà vu, les possibilités du futur, l'ange qui creuse en la touchant de son doigt la gouttière sous le nez du nourrisson afin qu'il oublie ses vies antérieures, cela devient d'autant plus redondant que ce dernier aspect est de + en + repris par d'autres auteurs, tel Marc Lévy dans son dernier roman.
En somme un livre qui se lit bien mais mon avis reste mitigé néanmoins.

J'ai toujours du mal à me replonger dans l'écriture de Bernard Werber qui est selon moi reconnaissable entre milles autres mais parfois trop tordue. J'avais plutôt apprécié les Fourmis et c'est donc pour cela que j'avais décidé d'acheter un nouveau roman de cet auteur.
Je l'ai lu en été, je cherchais une lecture prenante mais qui me permettrait quand même de pouvoir poser ce livre et le reprendre quelques jours après si il le fallait, pas trop complexe en somme.
J'ai bien aimé cette histoire, elle n'est pas trop " J'ai 17 ans je sauve le monde de tous ses malheurs " et pas non plus trop scientifique comme on peut s'y attendre avec certaines oeuvres de Werber.
Le sujet en lui-même...pourquoi pas ? A vrai dire je n'avais pas de préjugés mais j'attendais quand même un petit "facteur x" pour trouver ça original et extrêmement bien traité... Ce que je n'ai pas vraiment eu, même si certains aspects de l'histoire (notamment l'imaginaire autour de la communauté de SDF qui m'a vraiment emballée car elle paraît centrale à la vie urbaine parisienne et en même temps c'est comme si le monde passait à coté sans la voir, comme si elle était protégée par une sorte de sortilège d'invisibilité) m'ont relativement bien plu.
Cette lecture n'a pas été transcendante, je ne me suis pas vraiment attachée à l'héroïne, ni même à ses compagnons : j'en déduis que cela à été pour moi une bonne lecture de transition.