Il tourne son visage vers moi. Je peux voir une larme rouler sur sa joue. Pourtant, c’est d’une voix neutre qu’il lance :
– Je sors faire un tour. Prépare tes affaires, j’appelle Gary pour qu’il s’occupe du reste. Rentre à Paris ce soir, Louisa. Oublie-moi, trouve un homme qui sera un peu plus capable que moi de te donner ce que tu mérites.
– Et qu’est-ce que je mérite, exactement ?
– Tout. Absolument tout ce qu’un être humain peut être en mesure de donner à un autre.