Deuxième roman de l'auteur, l'univers de celui-ci reste toujours aussi riche et développé, avec une narration bien plus structurée que dans le premier livre.
J'ai particulièrement apprécié les pages blanches qui suivent la chute dans le vortex aux pages 50-58.
La longueur des chapitres est idéale, l'histoire se lit très vite (en une journée j'avais terminé), et le roman parvient très bien à retranscrire l'innocence et l'aspect enfantin du personnage de Roxxy.
Cependant, j'ai trouvé qu'au début, il manquait un peu d'incises dans les dialogues, ce qui peut rendre la compréhension de l'identité des interlocuteurs un peu difficile.
Aussi, le développement rapide du sentiment amoureux de Deckers pour Roxxy et la remise en question de ses valeurs m'ont semblé un peu trop précipités.
Ayant regardé plusieurs rediffusions de runs de The Orca's IV, j'ai quelques visuels en tête, mais je ressens vraiiiiiment le besoin d'un wiki ou d'une liste de personnage pour mieux appréhender l'univers, les noms de certains personnages et les espèces de certaines créatures. Je sais que l'objectif final est de faire un film, mais en tant que roman, ça manque parfois de description des personnages.
J'ai remarqué que les incises sont occasionnellement en majuscules, peut-être de manière intentionnelle, mais cela peut parfois prêter à confusion.
Je suis peut être con, mais le blanc de la page 465-466 rend la transition confuse (ou justement l'absence de transition me rend confuse, au choix).
Enfin, je trouve qu'il y a troooop de scènes de sexe, même si je comprends que cela est cohérent avec l'univers. Les répétitions des mots "fente" et "mouiller" sont trop fréquentes (omniprésente ?) à mon goût. J'aurais jamais cru lire une scène avec une personne qui se fait masturber de l'intérieur et une autre avec une femme qui est pénétrée si profondément que le sperme ressort par la bouche, c'est... surprenant.
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Et dorénavant, tu ne vivras que pour la protéger, et jusqu'à ta seconde mort, tu la protégeras.
Et ils rentrèrent une fois de plus dans l'œil du diable, attirés par leur propre interprétation du monde qui fut autrefois miens.
Le monde d'un archange, déchu par sa propre volonté de vouloir me défier.
- C'est la voiture de Migwel je la reconnais, je vais le descendre.
- Tu as un escalier ?