Cet avant dernier tome est à l'image du reste de la série, sympa, mais très perfectible.
Le fan service prend encore le pas ici, et ça devient presque écoeurant. C'est très mal placé, toujours au moment inadéquat.
Quelques révélations émaillent le tome, sans que ce ne soit renversant. La série ronronne tranquillement.
Les adolescents sont tous amoureux les uns des autres, ça en devient ridicule. Certes, c'est un vase clos, mais l'auteur n'a pas fait d'efforts scénaristique de ce côté. Les combats sont peu lisibles, et on saute parfois du coq à l'âne.
Les dessins sont toujours très fluides et beaux, ce qui sauve un peu l'ensemble, qui est plutôt manichéen.
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Il paraît qu'on appelle ces oiseaux des "pihis".
Ils ne possedent qu'une seule aile... mâles et femelles ne peuvent voler qu'en se serrant l'un contre l'autre.
En somme, ce sont des êtres imparfaits.
Mais bizarrement, je trouvais cette manière de vivre réellement sublime.