Quand Takagi me taquine, tome 1

Nishikata est un jeune collégien assis à côté de Takagi, une fille plutôt taquine. Elle l'embête souvent pour le déstabiliser pourtant elle a l'air si gentille ! Il se promet à chaque fois de ne pas se laisser avoir mais elle est bien maligne et lui, parfois assez naïf.
Assez drôle même si on plaint ce Nishikata, ça donne un peu à la répétition par moments. Takagi envoie quelques signaux mais il ne sait pas si c'est de la taquinerie, un signe d'intérêt ou autre chose... Curieuse de lire la suite en espérant que ça se diversifie un peu.

En cette période de rentrée, j'avais envie d'essayer un titre frais et léger et Quand Takagi me taquine avec son autocollant "Le manga le plus drôle de la rentrée !" me semblait tout désigné ^^

Son auteur, Soichiro Yamamoto est un adepte des petites comédies romantiques en milieu scolaire mais c'est ici son premier titre chez nous. Celui s'annonce long tout de même avec déjà 11 tomes parus au Japon sans que la fin semble poindre le bout de son nez. Ça veut dire que là-bas le concept plait.

De mon côté, j'ai trouvé amusant au début de suivre les petites taquineries de Takagi envers son voisin de classe, Nishikata. Dès les premières pages, ça m'a furieusement rappelé Séki - Mon voisin de classe paru chez Akata et dont j'avais bien aimé le premier tome l'an passé (ma chronique). Les deux séries reposent sur le même concept : deux jeunes adolescents côte à côte en classe, dont l'un ou plutôt l'une aime taquiner l'autre pour le faire remarquer par le prof et surtout pour son plaisir personnel, ce qui donne lieu à plein de scénettes très amusantes. J'ai donc passé un bon moment à suivre Takagi et Nishikata.

Cependant le revers de la médaille de ce genre de concept, c'est qu'il n'y a aucun fil narratif un tant soit peu riche, c'est très plat et les chapitres deviennent vite redondants au fond. On voit à chaque fois Takagi tendre un piège ou faire une blague à Nishikata qui essaie de l'éviter ou de se venger mais échoue. Alors oui, c'est amusant, ça fleure bon les années collèges, les personnages sont mignons et c'est rigolo de se dire que s'ils se taquinent c'est parce que ça cache quelque chose, mais au fond c'est assez vain. C'est donc sympa à lire une fois en passant, mais c'est tout pour moi.

En plus, il n'y a pas de vrai atout charme du côté des dessins contrairement à ce que je croyais en voyant la couverture. J'avais beaucoup aimé les couleurs de celle-ci et le décor pluvieux en arrière-plan, mais dans le volume les décors sont rarement présents et se cantonnent le plus souvent au milieu scolaire, voire à la classe même. le dessin des personnages est très simple également et je ne suis pas fan des yeux à ce point démesurés surtout que leurs expressions sont un peu toujours les mêmes. Ce n'est donc pas un point à retenir pour moi malheureusement.

Pour conclure, je ne pense pas aller plus loin avec ce titre. J'ai passé un bon moment en le lisant, je l'ai trouvé amusant mais je pense que je m'en lasserai vite parce que je trouve déjà les chapitres courts et redondants. Ce n'est donc pas une lecture pour moi malheureusement et je suis la première à le regretter parce que j'aimais beaucoup les couvertures et qu'elles me vendaient du rêve.
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Les filles sont parfois assez gentillement taquines. C'est ce qu'on aime chez les femmes. Pour autant, c'est surtout à l'adolescence que ce genre de jeux se révèlent à l'éveil de la puberté. On aura véritablement plaisir à suivre le duo comique Takagi et Nishikata entre deux espiègleries.

L'auteur souhaite nous montrer les premières relations amicales et les premiers émois amoureux ayant pour cadre l'école et ses rencontres. J'ai bien aimé car c'est frais et aéré tout comme le graphisme qui m'a particulièrement séduit. Il est vrai qu'il ne faudra pas trop tirer sur la corde avec ce concept particulier car sinon la lassitude peut vite arriver.

Au Japon, ce titre est devenu en très peu de temps un véritable best-seller car il a rencontré son public. Je ne sais vraiment pas ce que cela donnera en France. En tout cas, c'est drôle et agréable à lire.

Quand Takagi me taquine... un petit titre shônen ou shojo , voir les deux tout simplement fort malicieux et plutôt réussi qui ravira les amateurs d'humour tendre et de dessins mignons sans malice . J'ai été plutôt ravi par la lecture de ce titre que je vois vraiment comme un titre plutôt en mode détente, une petite bulle d'air que vous aimez respirez à la suite d'une journée éreintante... Paisible et malicieux, Quand Takagi me taquine risque de ne pas plaire à tout le monde en raison de son histoire plutôt simple qui se résume en une succession de légers gags dans lesquelles une jeune collégienne du nom de Takagi adore taquiner et piéger son camarade de classe le naïf Nishikata à travers une suite de farces et attrapes !
Bien, évidemment, derrière ces chamailleries se cache certains sentiments.

Ce premier volume est pratiquement un manga à sketchs et je pense que les volumes suivants seront dans la même trempe donc ne vous attendez pas non plus à titre véritablement étoffé.
Le graphisme simple et mignon s'avère plutôt accrocheur, notamment grâce à une mise en case efficace et parfaitement lisible. Encore une fois, que ce soit au niveau du fond ou de la forme, nous ne sommes pas là pour se prendre la tête mais plutôt pour s'amuser avec complicité des taquineries de Takagi envers le pauvre Nishitaka.
Un premier volume malicieux, sur un petit fond amoureux, que je conseillerais à celle et ceux qui recherche un petit shônen/shojo curatif et ce sans prise de tête !

J'avais déjà entendu parler de cette série qui appartement marche très bien au Japon et j'étais vraiment curieuse de la découvrir.
Alors pour le dire franchement, pour moi c'est une déception. Je n'ai adhéré ni à l'histoire ni au format.


Nishikata est un collégien tourmenté par sa voisine de classe Takagi. Elle le fait tourner en bourrique à la moindre occasion, et n'en rate pas une pour se moquer (gentiment) de lui. Il a beau essayé de lui rendre la monnaie de sa pièce, il tombe dans tous les panneaux qu'elle tend.


Les chapitres sont indépendants les uns des autres et racontent chacun une petite histoire où invariablement Takagi prend le dessus sur Nishikata. C'est extrêmement répétitif et lassant.


On sent poindre à l'horizon qu'il y aura sans doute un rapprochement romantique entre les deux, mais pour ma part, je m'arrête à ce tome 1.