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4,29

sur 1102 notes
On découvre dans ce livre la première partie de l'histoire d'un des pays célèbres maîtres du sabre du Japon médiéval.
Fils d'un noble samouraï, le jeune Takezo est une tête brûlée, qui entraîne toujours son meilleur ami dans ses mauvaises idées.
Après avoir survécu à leur première bataille, chacun prend un autre chemin.
Celui de Takezo, le conduira vers une mauvaise voie, guidé par sa colère et son incapacité à se contrôler... mais il fera la rencontre entre autre, d'un moine rusé, et un peu particulier, qui lui ouvrira les yeux, et lui ouvrira les yeux, lui offrant une nouvelle vue, une nouvelle naissance.
Devenu Myamoto Musashi, il commencera sa nouvelle vie à travers la quête de ka perfection dans la voie du sabre.
Ce Ronin développera sa propre technique, et rencontrera nombre de personnes qui auront une influence importante dans sa vie , tels que Sasaki Kojiro...
Ce livre est une version romancée de sa vie.
On trouve l'autre moitié de son Histoire, dans le roman " la parfaite lumière"
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Acheté à la sortie de l'exposition "l'Arc et le Sabre" au musée Guimet, voici un roman qui a parfaitement prolongé mes impressions et alimenté mon imaginaire sur les samouraïs. Son titre original est Musashi, du nom du célèbre samouraï, personnage historique qui vécut de 1584 à 1645 et devint de son vivant une figure de légende chez les japonais. Sa popularité n'a jamais décru et fut entretenue dans les années 30 par Eiji Yoshikawa qui romança sa vie dans ce long récit publié en feuilleton de 1935 à 1939.

Le roman débute en 1600 sur le champ de bataille de Sekigahara, quand Takezō et son ami Matahachi reprennent conscience, allongés au milieu des innombrables cadavres : ils ont échappé par miracle au massacre et ne sont que blessés. Matahachi et Takezō sont désormais des rōnins, samouraïs sans maître. Tandis que Matahachi décide de ne ne pas retourner dans son village et d'abandonner ainsi sa mère et sa fiancée la vertueuse Otsü pour se livrer à une vie dissolue, Takezō choisit d'y retourner. Mais il est rejeté par les villageois qui se souviennent de ses nombreuses frasques : les choses tournent mal et Takezō doit s'enfuir...

Après avoir changé de nom, Takezō-Musashi chemine seul, en quête de la Voie du Samouraï, pour élever son âme et approfondir son art : entre deux duels ou combats sanglants avec les disciples de l'école de Yoshioka, il se soumet à une discipline de fer et à des expériences spirituelles pour affermir sa force mentale et ses techniques de combat au sabre. Musashi développe son propre style de combat, très empirique, sans vraiment suivre les courants des différentes écoles de sabre de l'époque. Mais la voie du Sabre exige une telle discipline qu'elle n'est pas compatible avec l'amour : ainsi, tout au long du roman, l'on voit la pauvre Otsü lui courir après et le pleurer.

Autour de Musashi gravitent de nombreux personnages qu'il ne cessera de croiser tout au long de sa quête : son ancien meilleur ami Matahachi et sa féroce mère Osugi, la jeune Akemi qui sera malmenée tout au long du roman, des moines plus ou moins facétieux, son jeune disciple Jōtarō...

J'ai beaucoup apprécié de découvrir comment vivaient les japonais à l'époque féodale, quand s'ouvre l'ère d'Edo : on croise ainsi les petits artisans et commerçants comme les fabricants de sandales de paille, les loueurs de vaches, les aubergistes mais aussi les hommes d'arme, les seigneurs, daimyōs, shōguns, les moines, les geishas...
La forme feuilletonnesque du récit explique les brusques et fréquents changements de lieux et de personnages et nous permet de parcourir en compagnie de Musashi de nombreuses contrées d'un Japon en pleine mutation, avec châteaux en reconstruction et une paix très relative qui règne entre les principaux shōguns...

J'ai aussi été bluffée par les combats avec les disciples de l'école de Yoshioka qui sont racontés avec un art de l'ellipse incroyable ! Ne craignez pas les détails crus : les combats sont dépeints en quelques traits foudroyants évoquant la vitesse quasi magique des déplacements du héros avec son sabre qui tranche et prend chaque vie en un éclair : dans de nombreuses scènes, il faut relire les quelques phrases du combat pour comprendre que tout est déjà fini ! Musashi s'en est sorti bien sûr mais ses adversaires sont tous morts ! Je suppose que le roman d'Eiji Yoshikawa a du beaucoup inspirer toute cette mystique autour des samouraïs en leur conférant les pouvoirs presque surnaturels qui sont désormais leur apanage dans de nombreux films d'arts martiaux. Une exception toutefois à ce style lapidaire à double titre : le célèbre combat (complètement historique !) que Musashi mène seul contre des dizaines de Yoshiokas au Pin Parasol est décrit avec sauvagerie et férocité, et illustre la technique de combat à deux sabres, encore inconnue des hommes d'épée à l'époque.

C'est à la fois un roman d'aventures (avec un soupçon de farce par moments), un roman d'arts martiaux, une quête de soi, qui n'a pas vraiment d'équivalent dans la littérature française. Les Trois Mousquetaires sont peut-être ce qui s'en rapproche sans doute le plus, et encore... D'Artagnan avait des amis prêts à mourir pour lui, contrairement à Musashi qui voyage la plupart du temps en loup solitaire, de temps à autre rejoint par son très jeune disciple Jōtarō. Enfin, un mot sur le style, fluide et souvent poétique, il ajoute aux attraits de ce voyage dans le temps.

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Le Moyen-Âge au Japon n'avait pas l'air spécialement facile à vivre!
Déjà, tout commence dans le sang, à la fin d'une bataille perdue, où deux des vaincus, deux jeunes ambitieux sans grande jugeote se retrouvent, meurtris mais vivants, dans le camp des vaincus. de là partira tout pour eux: le choix d'une voie difficile d'un côté, avec quelques erreurs de parcours, et le choix d'une pente savonneuse en se laissant aller aux plaisirs faciles de l'autre. Vendetta, amours contrariées, vieux sages et vieille casse-pied, il se passe plein de choses, et on croise plein de monde, dans ce roman foisonnant et plutôt entraînant.
J'avoue que cependant, j'ai mis un temps fou à finir ce roman de kimono et de sabre, sans savoir trop dire pourquoi. L'écriture est fluide et élégante, l'histoire intéressante et les personnages aussi, c'est très dépaysant....Peut-être que c'est mon manque d'habitude du Japon moyenâgeux dans mon régime de livres habituel, voire de Japon tout court, j'avais parfois bien du mal à m'y retrouver dans les personnages secondaires et cela ne m'a pas aidé à m'accrocher.
J'ai aimé ce livre, je lirais sans doute un jour la suite....mais pas tout de suite!
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Revenant de la bataille perdue de Sekigahara, Takezo et son ami Matahachi, blessés, sont recueillis par la sévère Oko et sa fille Akemi, qui vivent seules de butins glanés sur les cadavres des champs de bataille, activité licencieuse mais nécessaire aux deux femmes pour survivre en ces temps de troubles et de conflits armés. Après avoir lentement pensés leurs blessures, Takezo se décide à partir retrouver sa soeur et son village alors que Matahachi ne peut se résoudre à quitter Oko avec qui il commence à nouer une relation. Lorsqu'il arrive chez lui, c'est une grande déception qui l'attend : la mère de Matahachi, qui a fiancé son fils à la très belle Otsu est sûre que Takezo est revenu pour le déshonneur de son fils mais aussi du village tout entier. Attaché et laissé pendu à un arbre pour mourir par le drôle de prêtre Takuan, Takezo sera finalement secouru par Otsu avec qui il fuira, commençant ainsi ses célèbres aventures.

Ainsi il ira à travers forêts et champs vers les châteaux, où il sera enfermé pendant fort longtemps avec des livres comme seuls compagnons. Là, le jeune homme fougueux et sanguin se transformera progressivement en un être sage et discipliné, avide de connaissances et de perfection. Puis vers Kyoto, capitale de l'époque, où se concentrent les meilleures hommes d'épée, à la renommée dépassant les frontières des nombreux daimyo. Son chemin croisera de nombreux obstacles, notamment l'école Yoshioka avec laquelle une querelle longue et sanglante éclatera. Alors qu'Otsu vagabonde seule elle aussi, à la recherche de Takezo devenu Musashi en jouant avec la façon d'écrire son nom, d'autres personnages viendront se greffer à leur petit groupe, qui viennent et partent aux grès du samouraï : Jotaro l'insolent élève de Musashi ou encore Koetsu qui fera comprendre beaucoup de choses à notre héros, à travers une visite dans une maison close ou lors d'une cérémonie du thé.

Le roman d'Eiji Yoshikawa est particulièrement long et La Pierre et le Sabre n'en est que la première moitié ! À travers ces quelques 850 pages, ce ne sont pas uniquement des combats de sabre qui sont décrits, mais l'auteur a pris le temps de raconter une époque, un monde et les gens qui le peuplent. On rencontre beaucoup de samouraïs, mais aussi des femmes, des enfants et d'autres badauds. On découvre ainsi les ouvriers attelés à la naissance d'Edo, la future Tokyo et capitale, les geisha et leurs cérémonies, les bains et nombres de petites gens. Il s'agit là de la grande force d'Eiji Yoshikawa et son roman : proposer un univers, nous y entraîner et nous y perdre, parfois.

Alors que la quête de perfection de Musashi avance, on suit aussi les personnages secondaires que sont Matahachi, Otsu, Akemi, le ronin Kojiro ou encore la vengeresse mère de l'ami d'enfance de Musashi : Osugi. Tous sont en quête de notre héros avec des raisons différentes. Ils se rencontrent puis se quittent avant de se retrouver. Les chemins mènent toujours à Musashi mais ceux-ci, dans leurs diversités et leurs difficultés rendent ce livre grand et fort. Malgré tout, parfois les dialogues et les scènes prennent un temps fou à se résoudre et on aimera bien que le récit avance alors qu'on a l'impression de stagner. Pourtant, on espère avec Otsu qu'enfin son Takezo la retrouvera et qu'ensemble ils puissent être heureux.

La Pierre et le Sabre est un roman épique, et justement comparé parfois à Gone With The Wind : amours, guerre, combats et aventures jonchent les chemins tortueux de nos héros. Avec par-dessus tout cela une dimension morale japonaise parfois exotique mais qu'on se prend rapidement à comprendre et à apprivoiser. Alors que certains personnages jouent les retors, on s'énerve et lorsque Musashi reste droit, humble et honnête l'on a envie de l'applaudir. Ce roman est une réussite, mais néanmoins parfois dur à digérer tant il y a de scènes, de dialogues, de parcours. Il faut avoir l'estomac accroché avant de suivre le périple du jeune ronin, mais lorsqu'on est plongé au coeur de l'action, le récit coule comme une fraîche source de montagne, on l'on s'y désaltère avec plaisir !
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très bon livre saga qui suit les pérégrinations de Musashi et de beaucoup d'autres personnages (amis, disciples, ennemis). C'est très riche, très développé (en 2 volumes, avec la suite : La Parfaite Lumière), j'ai beaucoup appris sur le Japon du début du 17e siècle. Histoire, géographie, flore, art militaire, coutumes, etc. J'ai manqué de suivre le livre avec une carte du Japon pour situer tous les lieux cités. Attention : il vaut mieux prendre des notes sur les nombreux personnages, car je me suis fait souvent avoir, à ne plus savoir où j'en étais, en mélangeant les noms et les moments de rencontres. Mais c'est vraiment très beau et passionnant !
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A mon grand dam (parce que j'ai aussi un grand dam), les littératures orientales sont encore trop peu représentées dans ma bibliothèque : aucun chinois, (la honte !) et à peine deux japonais (la honte derechef !), fort estimables certes (La femme des sables de Kobo Abe et Musashi – La pierre et le sabre suivi de la parfaite lumière – de EijiYoshikawa) mais rien de Akutagawa, Soseki, Tanizaki, Inoué, Kawabata, Mishima… Promis, il faudra que je m'y mette. Mes amis (et amies) Babélionautes m'y aideront, je n'en doute pas.
Le diptyque de Musashi est l'oeuvre principale – et le chef-d'oeuvre de EijiYoshikama (1893-1962). Il retrace, de façon romancée, la carrière du samouraï Miyamoto Musashi, artiste et philosophe, mais surtout escrimeur émérite, véritable légende et héros national.
Si vous avez lu l'incontournable Shogun de James Clavell, vous ne serez pas dépaysé par Musashi. Il s'agit de la même époque (fin du XVIème siècle et début du XVIIème), la bataille de Sekigahara (1600) se situe à la fin de Shogun et au début de Musashi.
C'est justement le lendemain de cette bataille que deux jeunes garçons, Takezo et Matahachi, survivants au massacre, vont entamer leur épopée. Takezo, d'humble extraction, est un jeune blanc-bec, indiscipliné et arrogant. Matahachi, lui est issu d'une famille bourgeoise dominée par sa mère Osugi. Matahachi, d'un naturel plutôt volage, délaisse la douce Otsu qui lui était promise au village pour la belle Akémi. Takezo rentre donc seul, affrontant deux dangers, les soldats de Tokugawa (le Toranaga de Shogun), et Osugi, qui le rend responsable, ainsi qu'Otsu, de la mort de son fils.
Tel est la situation de départ de ce roman-feuilleton foisonnant, échevelé et captivant de bout en bout. Car nos héros ne vont cesser de se poursuivre, par amour ou par haine, sur des centaines de pages, accumulant des séquences dramatiques et des scènes plus calmes, parfois même comiques, faisant des rencontres insolites, passant de duels épiques à de tendres moments d'intimité… Takezo s'assagira, deviendra un escrimeur de première force et prendra le nom de Musashi. La Voie du sabre qu'il a choisie est tout au tant mystique que martiale.
Evidemment, Musashi est un pavé.(près de 700 pages pour chaque partie). Mais le jeu en vaut la chandelle. Mettez-y le doigt, la main y passera, et tout le bras, et tout le corps et tout l'esprit. Si vous ne vous laissez pas impressionner par le foisonnement des personnages, la technicité des scènes de bataille ou de duels, le laïus métaphysique qui accompagne certaines digressions, vous serez emballé par ce maelström romanesque qui tient à la fois à la tradition orientale, au roman picaresque, au roman d'aventures historiques à la Dumas, et même à l'épopée homérique.

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Ce roman d'apprentissage n'est pas qu'un moyen de plonger dans le Japon médiéval, c'est aussi l'histoire fascinante d'un samouraï qui a existé au 17ème siècle, soit la période médiévale japonaise, qui passe de l'inconscience et l'égoïsme à l'âge adulte et réfléchi.

Cet homme a laissé sa marque sur les arts martiaux et les techniques guerrières. Bien que n'étant pas une passionnée de ces derniers, j'ai toujours été curieuse d'en connaître le sens dans la culture nippone. J'avais donc entendu parler de lui comme d'un fanatique de l'auto-discipline et voulais comprendre ce qui l'avait amené jusque là.

Ce roman est étonnant, captivant dès les premières lignes. On retrouve dans "La Pierre et le sabre" toutes les choses qui font la beauté de l'ancien Japon et le style fluide et facile à lire

Je le conseille aux amoureux de la culture nippone comme à ceux qui veulent la découvrir
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Pour les amateurs de romans épiques, de ceux auxquels on consacre de nombreuses heures et dont nous avons grande hâte de retrouver les héros. Pour les amateurs du Pays du Soleil Levant, des samouraïs et de leur honneur, des combats au sabre et de la sérénité qui émane du bouddhisme et des haïkus. Pour ceux qui aiment lire les grands classiques, de ceux que l'on n'oublie pas, de ceux dont on parlera forcément autour de soi. La pierre et le sabre est tout cela et bien plus encore : une plume aérienne et poétique, des personnages attachants au caractère marqué, des hommes, des femmes, des enfants, des héros de tous âges, beaucoup de saké et un long périple exaltant, pour une plongée saisissante dans le Japon féodal du XVIIème siècle.

Voilà bien longtemps que je ne m'étais pas lancée dans un pavé classique et héroïque. Parfois cela me fait beaucoup de bien ! Quel plaisir de suivre des personnages pendant des centaines de pages au travers d'aventures palpitantes, comme un monde qui nous semble familier et que l'on peut rejoindre dès qu'un petit moment de libre apparaît. A l'automne je m'étais plongée dans la rétrospective des films de Kenji Mizoguchi sur Arte – bien m'en a pris, une très belle découverte – et j'avais notamment regardé Les contes de la Lune vague après la pluie. Cela m'a permis de rentrer avec force et réalisme dans le roman d'Eiji Yoshikawa car l'atmosphère et l'époque m'ont paru très semblables. J'apprécie lorsqu'un thème m'inspire pouvoir croiser différents auteurs et différents types d'oeuvre pour en avoir une vision composite et variée. Pour en revenir à notre roman, je dois avouer que je me suis parfois perdue dans les nombreux personnages, certains noms sont similaires et l'auteur passe aisément d'une scène à l'autre. Mais cela demande au moins d'être attentif à la lecture ! Les héros ont des caractères forts et de multiples facettes. Certains me sont restés très énigmatiques comme le moine Takuan. Matahachi et sa mère sont parfois exaspérants, l'un dans sa couardise, l'autre dans sa quête obsédante de vengeance. J'ai adoré le personnage d'Otsu, qui loin de rester l'amante éplorée attendant passivement le retour de son bien-aimé ne manque pas de prendre la route et d'affronter les dangers. Et bien entendu Musashi, un personnage tout en ambiguïté, dont les doutes, les convictions et les actes font passablement réfléchir le lecteur. Eiji Yoshikawa a su me faire rentrer dans un sublime univers, mêlant savamment la violence des rônins et de la vie sur le routes, à la douceur et au flegme japonais. Les scènes chez Kōetsu notamment sont d'une grande spiritualité et d'une infinie délicatesse. Un classique du genre que j'ai eu grand plaisir à lire et que vous ne devez pas manquer si vous aimez le Japon, les lames aiguisées et les cerisiers en fleurs, si l'honneur et la ténacité sont des valeurs qui vous parlent et si vous êtes prêts à passer quelques semaines dans un grand roman captivant !
Lien : https://levonslencre.com/202..
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L'immortelle histoire de Musashi, le barbare qui deviendra le meilleur samouraï du pays, et également un artiste spécialisé dans les aquarelles. Ce premier roman raconte la jeunesse du personnage, le second volet racontant son affrontement avec un autre samouraï célèbre.
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Superbe roman ! Ce livre se dévore si aisément que l'on regrette d'arriver si vite à la fin. Un classique de la féodalité japonaise, une destinée incroyable qui nous fait comprendre l'abnégation, le travail et la vie d'un héros autodidacte dans laquelle on se glisse avec plaisir.
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