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sur 3001 notes
Je n'avais pas relu de Zola depuis le lycée, et je n'avais gardé aucun souvenir de ceux que j'ai lu, ni en bien ni en mal. du coup j'ai eu l'impression de totalement découvrir l'auteur, et la conclusion est très positive. Même si on peut lire les tomes de la saga Rougon-Maquart dans le désordre, j'ai voulu commencer par le 1er pour avoir un aperçu général de la famille dont il est question.
Et quel aperçu! Sublimé par l'ironie de l'auteur, on ne sait trop si l'on doit rire ou pleurer! L'orgueil et la superficialité, le poids du qu'en dira-t-on, la méchanceté gratuite et l'amertume provoquée par la vie, le tout accentué par les événements historiques entourant le coup d'état qui donnera naissance au Second Empire... A travers ses personnages Zola nous décrit un XIXème siècle déprimant mais aussi très moderne dans ses manigances que l'on retrouve encore aujourd'hui dans toutes les couches de la société et qui sont propres à l'Humain quelle que soit l'époque.
J'ai trouvé les descriptions magnifiques, la narration poétique, je ne me suis jamais ennuyée même si certains passages trop politiques m'ont un peu perdue d'où ma note. Je suis ravie d'avoir redécouvert cet auteur qui méritait une seconde chance dans mon CV littéraire et j'ai hâte de découvrir d'autres volumes de cette saga dans le futur même s'il n'est pas immédiat.
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Je me demande pourquoi j'ai attendu aussi longtemps pour découvrir les romans de Zola. Et en même temps je me dis que si je les avais lus plus tôt, je n'aurais probablement pas su les apprécier à leur juste valeur comme cela a été le cas pour Thérèse Raquin, lu au lycée et dont je ne garde pas un très bon souvenir (promis un jour je le relirai !).
Il y a un peu plus d'un an j'ai découvert Au bonheur des dames et j'ai eu un vrai coup de coeur pour ce roman. J'ai donc décidé de me lancer dans la série complète des Rougon-Macquart et après avoir trop longtemps reporté cette lecture (peut-être de peur d'être déçue), j'ai enfin commencé. Tout cela pour dire que j'ai adoré ce premier tome.

Zola sait magnifiquement décrire l'environnement dans lequel son histoire commence. Peut-être que certains seront rebutés par ses longues descriptions de la ville et de la nature mais je trouve qu'il sait les rendre intéressantes et plaisantes pour nous donner l'impression de nous promener dans Plassans ou dans la campagne environnante du sud-est de la France.

Mais surtout Zola excelle dans les portraits qu'il fait de ses personnages. S'il est difficile de s'attacher à la majorité d'entre eux, on ne peut contester leur réalisme brut. A travers cette famille des Rougon-Macquart, Zola dépeint l'âme humaine dans ce qu'elle a de plus sombre et de plus vil. Au coeur de la révolution de 1851 et dans les années qui précèdent, Pierre Rougon et sa femme Félicité, bien que d'origine modeste, sont prêts à tout pour arriver au statut social et à la fortune qu'ils considèrent mériter. Quant à Antoine Macquart, le demi-frère de Pierre, son comportement vis-à-vis de sa famille est tout simplement des plus abominables. Dans un contexte historique mouvementé, chacun espère tirer son épingle du jeu même (et surtout) au dépend des autres. Seul Silvère, par sa jeunesse, son innocence et sa naïveté, s'oppose aux caractères des autres membres de sa famille. Je ne vous en dis pas plus et je vous laisse le plaisir de les découvrir !

Qu'adviendra-t-il de tous ces personnages ? Si le sort de certains est déjà scellé, je suis impatiente de découvrir la destin des autres en lisant La Curée.
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Lire l'intégralité des Rougon-Macquart au rythme de deux tomes par an minimum est l'un de mes souhaits depuis longtemps. Je me suis donc attaquée dans cette relecture du premier volume – découvert pour la première fois il y a un bon moment, il va sans dire que je n'en avais aucun souvenir… – avec plaisir. Et je confirme, c'était TRES BIEN !
(Petit aparté : le plaisir tenait déjà simplement dans le fait d'ouvrir le livre. J'adore mes livres de Zola. L'épaisseur des pages, leur texture un peu gaufrée. Les creux des caractères d'imprimerie puissamment pressés contre la page. Les découpes inégales des pages en question. Leur odeur de vieux livres. Des éditions de 1927 dont le charme tactile vient s'ajouter au bonheur de la lecture. Bref, je les aime beaucoup. (Voilà, ça n'a rien à voir avec l'oeuvre elle-même, mais c'est un aspect si intimement lié à ma lecture que je ne pouvais en faire abstraction.))

Mais surtout, les quelques romans de Zola que j'ai pu lire (sachant qu'ils se comptent sur les doigts d'une main) m'ont toujours séduite. Je n'ai rien contre les longues descriptions, précises à l'extrême, et je suis fascinée par ses portraits. Portraits pas toujours flatteurs en réalité. Disons que ses personnages, du moins dans La fortune des Rougon, sont à la fois fascinants et repoussants. Je suppose que c'est simplement parce qu'ils sont parfaitement humains… Difficile par conséquent de les apprécier purement et simplement.
Premier épisode d'un récit à la fois social et historique, ce tome raconte les origines de la dynastie des Rougon-Macquart, la genèse de cette « Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire », les racines de l'arbre généalogique de cette famille. Bâties sur une histoire de frères, tels des Abel et Caïn du XIXe siècle, elle présente déjà plusieurs personnages que l'on retrouvera – eux ou leurs descendant·es – dans les dix-neuf volumes suivants. Je suis particulièrement intriguée par le docteur Pascal qui donne son titre au dernier tome de cette grande fresque (autant dire que je vais devoir prendre mon mal en patience).
Au fil des pages – tantôt bucoliques, tragiques, grandioses ou bouleversantes –, Zola raconte les appétits insatiables des membres de cette famille. Leurs lâchetés, leurs infamies aussi. Leurs caractères parfois si différents malgré leur sang commun. Coups bas, arnaques, appétit de s'en mettre plein les fouilles, zeste de folie arrosé par chez certains par un peu d'alcoolisme, jalousie fraternelle… pas moyen de s'ennuyer avec les Rougon-Macquart, rassurez-vous. A l'avidité et à la trahison, se mêle toutefois l'amour de Silvère et Miette qui donne lieu à de jolies scènes – celle du puits ou celle de la tante Dide se remémorant tous ses souvenirs à la vue d'une porte ouverte par exemple – même si je dois dire qu'ils ne sont pas mes personnages favoris – du coup, en monstre que je suis, j'ai aimé la fin… –.
Mais La fortune des Rougon retrace également, vus de Plassans – ville fictive du sud de la France –, les événements de 1851 : le coup d'État de Louis-Napoléon Bonaparte, les insurgés qui tentèrent vainement de défendre la République, le massacre qui suivit la répression de cette rébellion… Bon, je ne vais pas faire semblant de prétendre que je connais tout ça sur le bout des doigts – c'est quand même une période que l'on n'étudie pas vraiment et que l'on ne croise pas forcément souvent dans les bouquins – mais ça ne m'a pas ralenti. Surtout qu'entre les idéalistes, les opportunistes, les conservateurs, les indécis, les peureux, c'est encore une fois toute une galerie de façon de vivre des temps politiquement agités qui se dessine sous les mots de Zola.

Une peinture historique et sociale qui jamais n'ennuie mais au contraire, passionnant par la force de ses portraits. Comment dire, si le côté classique est du genre à vous effrayer, tentez le coup tout de même : passée la description initiale, ce livre devient une sorte de page-turner indémodable. Vivement ma lecture du suivant.
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« L'hérédité a ses lois , comme la pesanteur » ainsi Zola annonçait-il dans sa préface, en 1871 la portée de sa plus grande oeuvre littéraire que sera «  Les Rougon-Macquart ». « L'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire ». Hérédité de corps et d'esprit,.. hérédité sociale, historique et politique.
De quoi nos sociétés, nos concordes familiales, sociales, nos alliances sont-elles faites ? de quelles opportunités ont elles jaillies ? de quelles crimes, de quels rêves, de quel ambitions, de quelle légitimité ? Quel est l'odeur qui imprègnent les fondations de nos empires ?
Voici le premier acte : Les Origines, la fortune des Rougon.
Nous voici dans le Sud de la France, à Plassans. Ville imaginaire, en pays varois, où Aix en Provence , ville de l'enfance de Zola, filigrane le récit.
Petite ville fortifiée de Province. Les voici les Rougon les voilà les Macquart, Les Lantier, et les voilà tous, ce pays, cette province, ce creuset qui donnera âme au corps reconstitué d'une Capitale qui voudra toujours faire oublier, corriger effacer ses origines.
Les voilà donc, ce tout « Qui compte et cache, ses sous, qui rêve de pouvoir, et bientôt de monter à Paris ». On rêve de titre, de nom, de gloire, on veut la fortune, on ne veut surtout pas partager !
Voilà la rumeur, voici l'alcool, voici la terre, voici l'égoïsme, l'avarice, la lâcheté, la délation, voilà les petites affaires qui se trament et se cache derrière les portes et les volets.
L'argent ! L'apprêté du gain ! , quitte à renier les siens , quitte à les battre, quitte à leur faire les poches, quitte à tout rafler, à comploter, à espionner, à se méfier, à déporter, à faire fusiller .
Sans honneur et avec haine !
Les origines sont bien sombres, si basses, sous le soleil de midi. La petitesse s'injecte et se transmet. le vers est dans le fruit alors l'encre se déverse sur la page…
Oh, il y a bien chez Zola toujours l'exception qui confirme la règle..Il y a le docteur Pascal, il y a Miette, il y a Silvère...Ces aberrations familiales…L'amour et la bonté personnifiées. Et puis il y a tous ces portraits que Zola sait si bien dessiner, croquer, épingler. Et toutes ces images comme celle où Miette et Sylvère se parlent dans le reflet d'un puits, puisque les autres les condamnent à se cacher. Miette, de Zola, c'est la petite soeur de Gavroche d'Hugo. L'innocence assassinée.
Plassans, l'aire de St-Mittre, c'est là que tout a commencé. Sur un charnier, « ce sol gras , dans lequel les fossoyeurs ne pouvaient plus donner un coup de bêche sans arracher quelque lambeau humain,, eut une fertilité formidable ». Quelle terrible force contenue dans cette image ! Archéologie du drame ! Mais Plassans s'éloigne déjà.. Paris sera bientôt bon à dépecer, mais ceci est une autre histoire que « la Curée » saura prochainement nous conter.
Astrid Shriqui Garain
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Quel superbe roman !
Zola nous dresse le portrait d'une famille entière, minée par la cupidité, l'avidité, l'opportunisme, et autres vices. Les ambitions personnelles, l'égoïsme et la jalousie l'emportent sur la famille et la vertu.
Tous, ou presque, seraient prêts à vendre leur propre mère pour pouvoir ne serait-ce qu'atteindre ce pour quoi ils vivent et supportent leur famille depuis si longtemps, et assouvir leurs rêves de domination.
Incroyable et inquiétant à la fois, Emile Zola nous narre l'histoire d'une famille dégénérée avec toute la verve dont il est capable.
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Ce fut un grand moment de plaisir de me plonger dans le premier opus de la saga des Rougon-Macquart où Zola fait preuve d'un extraordinaire talent pour mêler la grande Histoire (ici la première moitié du XIXe siècle jusqu'au coup d'état de Napoléon III) et l'histoire personnelle des premiers rejetons de cette famille des Rougon-Macquart, originaire de Plassans, une ville pour laquelle Aix-en-Provence a servi de modèle. Un régal !
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Quelle surprenante et merveilleuse façon de me réconcilier avec Zola. Cet auteur dont j'avais été traumatisée au lycée et dont je ne voulais plus jamais entendre parler. J'étais sûre qu'il était tel que je l'avais gardé dans mon souvenir et je ne lui ai laissé aucune seconde chance durant des années, et puis au détour du confinement une petite voix dans ma tête m'a persuadé de me lancer dans une tentative.
Mais il faut dire j'ai eu une très longue hésitation ne sachant pas quel livre choisir parmi le grand catalogue de Zola. Au bonheur des dames ? Germinal ?, cherchant volontairement le plus "facile" à lire. Et puis j'ai pensé pourquoi choisir un tome au hasard au milieu de la saga alors que commencer par le commencement semble le choix le plus logique ?

C'est ainsi que j'ai commencé la Fortune des Rougon.
Et quel coup de coeur. Quel oeuvre. J'ai été délesté de tous les traumatismes et les souvenirs erronés de lycée, et j'ai entrevue un trésor : récit maîtrisé, descriptions chirurgicales, atmosphère hypnotique, rythme entraînant, histoire fascinante et brillante plongée au coeur des travers humains.

Assister aux prémices des Rougon, des Macquart et des Mouret, suivre l'exposé de leurs origines, découvrir la personnalité de chaque membre, observer les éléments qui nous permettront de comprendre le reste de l'hérédité ; fut absolument passionnant. Chacun des personnages m'a fasciné. Mais en plus de planter le décor familial, Zola place commencement de sa saga au commencement de l'Empire, ici le coup d'état de décembre 1851, évènement autour duquel les habitants de Plassans vont se déchirer. Une opposition entre Républicains et Bonapartiste qui forme la trame de ce roman, et sur cette évènement que la branche des Rougon va fonder sa fortune et son élévation sociale.

Et puis l'atmosphère de ce midi enchanteur qui m'a envouté. Vivre au rythme de la petite ville de Plassans fut tellement doux et agréable.
Mais j'ai aussi été surprise et bouleversée par la merveilleuse histoire d'amour de Miette et Silvère. Surprise que Zola puisse peindre l'amour de manière si pur et poétique, et bouleversée par ces deux enfants eux-mêmes qui ont rendu, pour moi, ce roman d'autant plus marquant.

Je ne peux croire que je me sois privée de cela pendant plus d'une décennie, mais enfin mieux vaut tard que jamais non ? Je compte évidemment poursuivre la saga de cette famille qui à présent me fascine tant. J'ai hâte de découvrir les autres tomes, mais avant de le faire j'ai la sensation que ce premier tome restera particulier à mes yeux pour longtemps. Un coup de coeur total. Intégral.
Maintenant, à nous la Curée !
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Quand j'ai décidé, à l'exemple d'autres lecteurs Babeliotes, de me lancer dans l'intégrale des Rougon-Macquart, je craignais de rencontrer quelques difficultés, et que ce soit une tâche rendue ardue par l'évolution de la langue et des styles. Mais j'ai vite été rassuré, puis conquis : quel romancier que ce Zola, c'est un des plus grands maîtres ! Jamais d'ennui dans ces pages, que ce soit dans la description des lieux, des ambiances, et la peinture des personnages.
Le récit varie admirablement les techniques, en alternant les scènes intimes, les grands panoramas, les scènes d'action. Quant aux personnages, ils sont dépeints de façon si exacte qu'on a l'impression de les voir de l'intérieur, le lecteur est amené à penser comme eux : il est simple et pur comme Miette et Silvère, arriviste et retors comme Félicité, ambitieux et égoïste comme Pierre Rougon.
Outre la description de caractères qu'on retrouve de tous temps dans la société française, le roman présente un grand intérêt historique. Dans ce premier épisode de la saga, j'ai appris beaucoup de choses sur l'arrivée au pouvoir du futur Napoléon III, avec la répression sanglante qui a suivi son coup d'état.
Le premier chapitre se termine avec la description de Miette drapée dans sa cape rouge, marchant à la tête des insurgés, scène qui rappelle beaucoup le tableau de Delacroix "La Liberté guidant le peuple".
En définitive, ce roman n'a pas vieilli du tout, il est passionnant de bout en bout. J'en recommande la lecture à tous, et je vais me lancer dès que possible dans le second volume, "La Curée".
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Difficile pour moi de critiquer Émile Zola, auteur que j'ai longtemps boudé en raison de mauvais souvenirs de lycée.
J'ai décidé de m'attaquer à son oeuvre par le commencement, le livre introductif à la saga des Rougon-Macquart.
Et bien j'ai été réellement bluffée car la lecture a coulé de source, l'écriture de l'auteur étant recherchée mais malgré tout fluide et aisée à comprendre pour un lecteur de notre époque.
Le récit est savamment maîtrisé et les descriptions foisonnantes, longues, mais pas le moins du monde ennuyeuses.
Les personnages sont pour la plupart détestables, à commencer par la famille Rougon, mais extrêmement bien brossés, et l'on finit par s'attacher tout de même à leurs aventures.
Ce n'est pas un texte optimiste, mais réaliste, un premier tome déjà subversif pour l'époque.
Je pense avoir aujourd'hui la maturité nécessaire à l'appréciation de l'oeuvre de Monsieur Zola, maturité que je n'avais pas à l'adolescence.
Je conseille donc à tous de tenter l'expérience, lorsque le bon moment sera venu pour vous...
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J'ai toujours rêvé de pouvoir dire un jour : j'ai lu tous les Rougon-Macquart ! Oui, bon, j'en ai lu quelques-uns, en vrac, les plus connus, j'ai toujours aimé, le naturalisme, l'oeil social et humain, tout ça. Mais bon, quitte à (re)lire la série, autant (re)recommencer par le début, me suis-je dit...
Et quel début ! Ce tome initial de la grande saga de Zola (que je n'avais jamais lu...) contient en fait en germe l'intégralité de la série. On s'intéresse ici aux deux voire trois premières générations de Rougon et de Macquart, et c'est proprement passionnant de voir comment Zola a construit et échafaudé cette famille, ses branches, ses folies, ses secrets, ses bassesses.
Ici, c'est surtout Pierre Rougon, fils aîné de la fondatrice de la lignée, Adélaïde Fouque, qui nous intéresse, de comment il va chercher à passer de commerçant raté à bourgeois reconnu et ventripotent. Bassesses de province, violences familiales, heurts sociaux, bêtise à tous les étages. L'avidité, la stupidité, la naïveté sont presque des personnages à part entière ! Et, surtout, on se délecte de voir s'agiter les ancêtres des personnages que l'on connaît si bien, les Lantier, les Gervaise, les Mouret...
Un premier tome absolument formidable, qui donne envie de continuer... et dans l'ordre s'il-vous-plaît !
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