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sur 1690 notes
"La Faute de l 'abbé Mouret "est le cinquième roman de la série, consacrée par
Emile Zola aux Rougon-Macquart .IL fait suite au livre précédent, à La conquête de Plassans. Dans ce livre, Zola s 'attaque avec violence au catholicisme et surtout au célibat des prêtres qui est le thème principal du roman.Et à ce sujet,
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Dans la Conquête de Plassans Serge Mouret lors d'une maladie a été veillé par l'abbé Faujas qui en a profité pour l'endoctriner. Guéri, il a demandé à entrer au séminaire.
Ce roman se divise en trois parties
Dans la première Serge est prêtre dans une paroisse pauvre du sud de la France. Ce village est habité par des mécréants beaucoup plus soucieux de leurs plantations et récoltes que du salut de leur âme. Mais il n'en souffre pas, s'efforce de faire de son mieux et s'occupe de sa soeur Désirée, simple d'esprit qui vit au milieu des bêtes. Mais il néglige sa propre santé, reste des heures en prières. Sa foi est exaltée, entièrement tournée vers la Vierge, la fiancée. Jusqu'à la maladie due à l'excès de pratiques religieuses.
Dans la seconde, le docteur Pascal l'a installé pour sa convalescence au Paradou en compagnie d'Aline, sauvageonne qui y vit depuis plusieurs années sous la surveillance très tolérante de l'oncle de la jeune fille. Quand Serge émerge de la fièvre, il ne se souvient plus de sa vie d'avant et l'intimité entre les deux jeunes gens est immédiate. La coupure est totale tant dans son esprit que dans l'espace. le Paradou c'est avant tout un jardin immense et entièrement clos sauf une petite brèche par où Serge sera rappelé au siècle. Car il s'agit d'une sorte de monastère, mais un monastère où c'est la Nature qui est déifiée. Où l'amour même lorsqu'il est charnel est pur, à l'inverse de ceux du village.
Descriptions pléthoriques de plantes, comme dans la serre de la Curée. Cette serre participait aux dérèglements des amours de Renée et son beau-fils Maxime. Ici elles font revivre le Paradis terrestre avant la faute.
Enfin, dans la troisième partie, Serge entrevoit par une brèche du mur, l'extérieur. Il revient à sa paroisse et s'engage dans un combat contre la chair. Entre ce combat et ses devoirs envers ses paroissiens il est sans compassion pour le chagrin d'Albine.
Les personnages de Zola sont souvent indifférents aux conséquences de leurs actes, figés dans ce qu'ils croient être juste.
J'avais lu ce livre vers 20 ans et en avais gardé un excellent souvenir, me promettant de le relire mais retardant toujours afin de trouvera le bon moment. Ce qui m'avait enthousiasmé à l'époque était l'idée de ce jardin sauvage, presque une jungle. Mais je n'y ai pas retrouvé le même plaisir.
Et certains personnages telle la bonne et même Désirée m'ont semblé un peu caricaturaux.
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Sans aucun doute le Rougon-Macquart que j'ai eu le plus de difficulté à lire... tant pour son sujet que pour le style. Habituellement, j'aime bien en général la plume descriptive de Zola, mais là, j'ai eu l'impression qu'il en abusait. de longs paragraphes pour au final nous décrire une plante ou un arbre ou le jardin qui ne servent pas tant l'histoire. Je dois bien avouer que quelques fois, je les ai lu en diagonal. Heureusement que dans ce tome les chapitres sont courts (ce qui change), qui ont donné un peu de rythme à la lecture... Et puis, j'ai trouvé que Zola n'est pas allé au bout de son idée de vouloir faire une critique de la religion... La plume aurait pu être un tantinet plus acerbe, mordante... Mais bon, il est lu... et je peux passer au suivant !!! :)
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"La faute de l'abbé Mouret" est le cinquième volume des Rougon-Macquart, où l'on suit ici Serge Mouret, fils des cousins et époux François Mouret et Marthe Rougon, petit-fils des demi-frère/soeur Pierre Rougon et Ursule Macquart. Dans "La conquête de Plassans", Serge est admis au séminaire et c'est donc curé qu'on le retrouve dans ce volume. À 25 ans, il dirige son ministère dans un petit village du Midi, où il aspire à une vie austère, en toute simplicité, dans la solitude et le recueillement, sans autre plaisir qu'un dévouement total à la Vierge Marie.

Ce livre se découpe en trois parties. La première est monotone et m'a profondément ennuyée. La vie à l'église, Dieu et le catholicisme, les services et rituels religieux, les prières sont décrits comme Zola en a l'habitude, joliment détaillés et de façon très réaliste. Mais ce domaine ne m'attirant pas du tout, je l'ai trouvé d'une longueur...

La seconde partie est, en revanche, magnifique. On assiste à la renaissance de Serge et on le voit grandir jusqu'à atteindre l'âge adulte dans un milieu superbement bien décrit, dans un panel de couleurs et de senteurs que l'on perçoit sans difficulté. Si la femme et la nature sont représentées comme l'enfer et la damnation dans la première partie, on les perçoit maintenant comme la félicité. Zola dépeint l'histoire de Serge et d'Albine comme l'histoire d'Adam et Ève de manière flagrante et fulgurante. On ne peut s'empêcher de voir en Albine l'incarnation d'Ève (parfois même de la Vierge Marie), et de voir le parc du Paradou comme le jardin d'Eden. Une fois n'est pas coutume chez l'auteur, je me suis attachée à ses personnages principaux, à Albine surtout. Cette seconde partie m'a beaucoup touchée. C'est ici que l'abbé commet sa faute, on sent donc le drame se préparer (c'est du Zola, ne l'oublions pas !), mais c'est très beau.

Et c'est dans la troisième partie que tout bascule. C'est également à partir de là que Serge retrouve la mémoire et qu'il est tiraillé entre ses deux amours. le dénouement est dramatique, mais pas autant que ce que j'avais imaginé, l'auteur m'ayant habituée à bien plus tragique.

Dans l'ensemble, malgré une première partie plutôt laborieuse, j'ai apprécié ma lecture. J'ai découvert un Zola aux tendances poétiques et lyriques, romantiques et sensuelles.

Une terrible mais très belle histoire d'amour.
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La Faute de l'abbé Mouret n'est pas le plus connu ni le plus apprécié d3 la série des Rougon Macquart , et pourtant...

Ce roman se divise en trois livres: le livre premier nous présente l'abbé Mouret dans sa petite commune de les Artaud près de Plassans. Dans ce coin perdu qu'il a choisi pour sa tranquillité il vit sa passion pour la Vierge Marie. Cette dévotion, cette adoration, cette passion le dévore et est au centre de sa vocation. Zola nous décrit d'une façon sublime cette vénération, jamais je n'ai lu quelque chose d'aussi beau et d'aussi intense pour décrire une dévotion. Mais en même temps on sent bien que cette fixation à quelque chose de malsain et d'exagere, cette continuelle vénération confine à l'idolatrie et elle est très bien rendue par l'auteur. Elle conduira l'abbé à la maladie et au dérèglement nerveux.

Dans le livre deuxième on retrouve l'abbé Mouret au Paradou domaine à l'extérieur des Artaud où il a été amené pour y faire sa convalescence. Il y rencontre Albine, 16 ans, belle comme une madone dans un environnement qui ressemble en tout point au Paradis Terrestre, d'ailleurs le nom de Paradou n'a sûrement pas été choisi au hasard. Zola nous fait une description incroyable de cet endroit: il nous décrit la flore en énumérant tout ce qu'on catalogue d'horticulteur peut contenir de fleurs, de plantes et autres végétaux. Zola est reconnu pour ses descriptions interminables et dans ce c livre deuxième il ne renie pas sa réputation. On y voit Albine et Serge Mouret y vivre une histoire d'amour qui conduira Serge ( qui a oublié qu'il était pretre) à la faute qui donne son titre au roman. Cette histoire est une transposition de l'histoire d'Adam et Eve au Paradis Terrestre. C'est romantique en diable et C'est même poétique. Cette romance dure jusqu'à ce que les deux amoureux sortent fortuitement du Paradou et Sege voie les Artaud et son clocher ce qui le saisit et lui rappelle qu'il est curé.

le livre troisième est la suite de la faute, le retour de l'abbé aux Artaud et la prise de conscience de sa faute et toute la culpabilité qui s'ensuit ainsi que le combat entre sa foi, sa vocation de prêtre et son désir d'être avec Albine. Tout ça ne peut que se terminer de façon tragique.

Ce que je retiens de ce roman C'est la mise en scène du combat de l'homme d'Eglise qu'on obligé à rester célibataire contre toute logique. En effet si Dieu nous avait voulus purs esprits pourquoi nous a-t-il donne un corps? Au début on voit l'abbé Mouret vivre une vie complètement désincarnée présent seulement à ses dévotion et adoration dans le livre deuxième on le voit récupérer sa masculinité, vivre une vie incarnée d'un homme qui aime une femme dans son âme et dans son corps. Et quand il retourne à sa vie sacerdotale il retombe malade, coupé qu'il est de sa virilité et de sa vie d'homme et d'ailleurs Albine ne manque pas de lui en faire reproche. C'est le roman de Zola où il y a le moins de personnages mais chacun a son rôle bien défini le Frère Archangias étant le type même de ecclésiastique qui n'a aucune compréhension de l'âme humaine, qui hait le sexe et hait la femme et dans cette haine on sent la peur des femmes. Il hait ce qui lui fait peur et qu'il ne peut avoir. La soeur de Serge, Désirée, est une jeune femme un peu simplette qui représente toute l'innocence de l'enfance et des êtres qui n'ont aucune malice.
La faute de l'abbé Mouret est pour moi un grand roman qui dénonce le mysticisme qui frise la folie et l'hypocrisie de certaines religions qui demonisent les femmes et le sexe.
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Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas aimé ce Zola que j'ai trouvé très lourd dans la prose, les descriptions sur le désir qui embrase les coeurs et les corps d'un prêtre et d'une jeune fille. Donc, à poursuivre la lecture des autres volumes de cette belle série des Rougon-Macquart.
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Soit on aime Zola, et alors on aime La Faute de l'Abbé Mouret ; soit on ne l'aime pas, et alors on n'aime pas la Faute de l'Abbé Mouret. Car La Faute de l'Abbé Mouret, c'est tout Zola : sa puissance descriptive, sa précision dans les détails, ses hautes capacités artistiques et évidemment l'ambition du naturalisme ( Je ne dis pas le naturalisme, car Zola n'est pas toujours, dans toutes les parties de ces livres, un naturaliste, et lorsqu'il est ne l'est que partiellement ). Cette fois-ci, Zola a choisi de traiter un sujet d'art, et non de faire une étude sociale. Et, tant mieux, du coup, cela fait plaisir ! La puissance de ce texte, hautement symbolique, en est en effet plus forte. Et le texte est plus personnel. Il y a même dans le texte des parties qui respirent un génie, qui vient naturellement. Ce sont des traits de génie-il y a des gens comme cet écrivain laborieux qu'était Zola, qui ne sont pas des génies, mais qui ont quelquefois, par moments, des traits de génie.
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La faute de l'abbé Mouret est le cinquième roman de la saga des Rougon-Macquart, où Zola continue de creuser l'idée du déterminisme génétique sur une famille. le roman est clairement scindé en trois grandes parties.

Dans la première, le lecteur fait connaissance avec Serge, jeune abbé, mystique et dévoué à Marie, la mère du Christ. Assez rapidement, on perçoit un décalage entre la quasi-sainteté de Serge, et son environnement rustique.
Au cours de la seconde, Serge fait la connaissance d'une jeune fille élevée librement. Orpheline recueillie par son oncle, Albine est presque une enfant sauvage, quoiqu'elle soit intelligente et lettrée. Par excès de ferveur chrétienne, Serge tombe malade et est soigné par Albine. Sans que ce soit expliqué à ce stade du roman, les deux jeunes gens restent seuls, livrés à eux-mêmes. Ils vont connaître l'amour au sein du "Paradou", vaste jardin clos parcouru de quatre ruisseaux, représentation évidente de l'Éden avant la faute d'Adam et Eve.
La troisième est consacrée au repentir de Serge et à son retour au sein de l'Église, tandis qu'Albine, enceinte, abandonnée à son destin, meurt (se suicide ?)

L'essentiel de l'histoire se joue au Paradou, lieu et temps de la nature luxuriante, des animaux sauvages et de l'innocence. Au grand risque de lasser le lecteur, Zola multiplie les descriptions de l'éden et de l'éveil amoureux des deux "enfants", Albine (la blanche, l'innocente) et Serge (le serviteur zélé). Pour autant, le message est clair : le dogme religieux, dit et représenté par le Frère Archangias est la négation de la vie ; l'acceptation d'une castration symbolique conduit à la frustration et à la haine. Et Serge, après avoir connu la félicité, accablé de remords se repend "je nie la vie, je la refuse, je crache sur elle". Terribles paroles. le héros a manqué sa vie et provoqué la mort d'autrui.

Le naturalisme de Zola s'inscrit donc bien dans le domaine des idées (La religion de Zola : naturalisme et déchristianisation" de Sophie Guermes).


Lien : http://www.revue-interrogati..
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Dans ce cinquième roman des Rougon-Macquart, Serge Mouret, fils des personnages principaux de la Conquête de Plassans, vient d'être ordonné prêtre et a demandé à être envoyé dans la plus petite et la plus misérable paroisse des environs : les Artauds (Le Tholonet, à côté d'Aix-en-Provence, charmante petite ville que j'ai visité !). Il y fait la connaissance de personnages hauts en couleur, et en particulier de la jolie Albine, une jeune fille sauvage qui vit avec son père, athée convaincu, dans un grand parc non loin des Artauds. Alors que Serge est sûr de ses sentiments religieux, la maladie puis l'amour va mettre à mal toutes ses certitudes.

Avec le Docteur Pascal et La Joie de Vivre, La Faute de l'abbé Mouret est l'un des trois romans des Rougon-Macquart à connaître une influence très autobiographique. En particulier dans la description de la typhoïde de Serge, que Zola décrit très précisément dans son Journal d'un convalescent. de même, en ce qui concerne la question de la religion, il y met beaucoup de lui-même, considérant le catholicisme comme une erreur, la négation même de la vie. La preuve en est donnée lors de l'évocation de l'éducation religieuse de Serge, jeune homme assoiffé de savoirs, à qui l'on fait remarquer que : “les plus savants ne sont pas les plus saints”. du coup, Serge abandonne et décide de “rester ignorant, afin de garder l'humilité de sa foi”

Tout le roman est donc construit autour d'une opposition radicale entre la nature, magnifique, voluptueuse, qui incite à l'amour; et la religion qui refuse la vie, qui n'ait qu'une fuite. On ne peut pas ignorer la position de Zola en lisant ce roman …

La deuxième problématique essentielle, avec la religion, est celle de la sexualité, lentement éveillée en Serge et Albine durant leur séjour au Paradou, le paradis sur terre (clairement évoqué : “ne vois-tu pas que nous sommes nus ? alors ils eurent honte” …) Ce dernier est d'ailleurs pratiquement un personnage à part entière du roman, comme le remarque le narrateur au moment de l'apogée de l'amour entre les deux jeunes gens : “C'était une victoire pour les bêtes, les plantes, les choses, qui avaient voulu l'entrée de ces deux enfants dans l'éternité de la vie. le parc applaudissait formidablement.”

J'ai particulièrement apprécié les descriptions d'une nature luxuriante, généreuse, magnifique (même si au bout d'un moment elles finissent par être un petit peu lassantes, Zola se laissant un peu trop entraîner par son côté naturaliste, à mon goût !).

Et puis j'ai été secouée par des scènes extrêmement puissantes dans ce roman finalement à part dans les Rougon-Macquart, pratiquement un des seuls à se passer entièrement à la campagne, et même plus qu'à la campagne : dans une nature sauvage, qui ne se laisse pas dompter par l'homme. L'amour d'Albine, les doutes et faiblesses de Serge, le désespoir du Docteur Pascal qui voit le malheur se profiler, l'extrémisme de l'autre prêtre du village. Tout ça en fait presque un roman presque violent, psychologiquement (comme tous les autres de Zola par ailleurs), qui fait vaciller toutes les croyances et entraîne les personnages dans les désordres du monde. Ce qu'un personnage faible comme Serge ne supporte pas : “Ah la mort, la mort de tout, avec le ciel béant pour recevoir nos âmes, au-dessus des débris abominables du monde.” On tremble avec lui, on l'encourage, on le pousse à se secouer. Et finalement, on abandonne quand à la fin, il déclame : “Je nie la vie, je la refuse, je crache sur elle.”

Au final, dans ce roman, la religion semble avoir été la plus forte … Mais ce n'est pas l'avis de tout le monde :

Conclusion du Docteur Pascal, à propos de Serge et Désirée Mouret : “ça a bien tourné pour la fille, qui est aussi heureuse que sa vache. ça a mal tourné pour le garçon, qui agonise dans sa soutane. [...] On manque sa vie. de vrais Rougons et de vrais Macquart ces enfants là, la queue de la bande, la dégénérescence finale”.

On en revient donc encore et toujours à la génétique maudite des Rougon-Macquart …
Lien : http://missbouquinaix.wordpr..
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Petite déception je dois l'avouer pour ce cinquième tome des Rougon-Macquart.
Après avoir laissé la maison en feu des parents Mouret le mois dernier dans le quatrième volet de cette saga, nous retrouvons à présent l'aîné des fils, l'abbé Mouret, devenu prêtre.

Ce jeune prêtre de 26 ans voue un culte total et dévoué à la vierge Marie. Chaste et très pieux, il vit dans une totale dévotion à Dieu ; au sein d'une petite commune de campagne où tout le monde se connaît et où les commérages vont bon train.

Entouré de sa soeur Désirée ayant quelques déficiences mentales et de sa bonne à tout faire, "la Teuse", rien ne laisse penser que l'abbé Mouret va connaître des tourments au sein de cette petite vie paisible, et pourtant...

Lorsqu'il fait la connaissance d'Albine, une belle blonde sauvage de dix ans de moins que lui, tout est remis en cause. Grâce à son oncle médecin, un Rougeon que l'on recroise ici, il se retrouve en convalescence dans une maison entourée d'un merveilleux jardin mais également avec, à son chevet, cette fameuse Albine.

Bien que l'histoire en tant que telle aurait pu m'intéresser sur le fait de céder ou non à la tentation pour un prêtre, j'ai trouvé ce roman très long dans ses descriptions. Je dois avouer que j'ai parfois lu certains passages sans vraiment y prêter attention...
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