Avec mes récits, dit István Örkény (1912-1979) dans la préface de l'édition hongroise des Minimythes, économie de temps assurée. Le temps de cuire un śuf, d'attendre un numéro au téléphone, on en a la un. On peut les avaler assis, debout, dans les rafales, sous la pluie et męme dans l'autobus bondé. On peut également les lire en marchant ŕ pied.
Ces contes courts jouent ŕ s'y méprendre les apparences de la réalité. Örkény connaît la vie et la ville, des étage...
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