Nous reconnaissons que ce dialogue inattendu d'
Ovide et
Sollers, que
Pierre Marlière initie, est aussi agréable que revigorant.
Philippe Sollers qui aime à parcourir, dans la vaste bibliothèque, les textes des auteurs de l'Antiquité, répète volontiers : « J'ai été très bon en latin, le dictionnaire m'a donné mon nom d'écrivain. » Il ne s'est guère référé à
Ovide, à notre connaissance. Alors, il est curieux de constater comment l'un contamine l'autre, et l'un plaide, en somme, le procès de l'autre, et réciproquement.
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