Andrea H. Japp

Ce roman se lit très facilement et rapidement. Il peut vraiment s'avérer drôle et j'ai beaucoup apprécié sa lecture. Le bémol, c'est juste que j'ai été assez déçue par la tournure que prennent les événements vers la fin du récit. Je trouve que les réactions de nos héroïnes manquent un peu de réalisme. C'est un peu tiré par les cheveux tout ça : on apprend que derrière les divers meurtres, c'est pas un p'titminiconflit qui se cache mais tout un groupement dangereux et pourtant, nos braves héroïnes s'évertuent à rester immerger là-dedans pour d'obscures raisons qui ne tiennent pas vraiment la route...Mouais, bof. Bon, c'est un livre, ma foi, le but, c'est pas non plus de coller à la réalité...mais quand même, j'étais un peu sceptique. Une lecture amusante oui, mais voilà, il ne faut pas non plus s'attendre à une intrigue policière de malade, ça reste de la chick lit mais je pense que ce genre me plaira mieux sans intrigue policière dedans, ça me semblera sans doute plus cohérent!

Ayant découvert Andrea H. Japp à travers « Les enquêtes de M. de Mortagne, bourreau. », j'ai souhaité lire ses autres romans, et je ne suis pas déçu. Il s'agit d'une enquête policière menée par un mire d'un genre particulier : c'est Heluise Fauvel qui s'est grimée afin d'échapper à l'inquisition.

Dans ce premier volume de la série « Les mystères de Druon de Brévaux», notre mire, qui se fait appeler Druon de Brévaux, fait ses premiers pas dans sa nouvelle vie et il cherche ses marques tout en s'appuyant sur ses capacités de médecin.



L'enquête balance entre superstition, mythe et supercherie.

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Un petit polar qui se déguste avec plaisir, beaucoup de plaisir. C'est rythmé, drôle, les personnages sont attachants. On est loin d'un polar un peu psychologique, on est plus dans l'action mais c'est un vrai bon moment de lecture. Un polar qui a la pêche, quoi !

Andréa H.Japp nous livre ici un roman où se mêlent le suspense d'une enquête policière, le contexte d'une époque se situant en plein coeur du Moyen Âge, où se joue l'avenir des Templiers et où agit l'Inquisition française, et des personnages que l'on retrouve avec bonheur (Cf Aesculapius et Lacrimae) qui se débattent dans leurs différentes quêtes personnelles.

J'ai beaucoup aimé cette façon de nous transporter dans cette époque, de par le langage, les explications qui donnent une image très intéressante de ce monde que l'on dit sombre et violent (qui l'est certes mais qui a eu aussi de très beaux moments!).

Roman très enrichissant et je me tourne de ce pas vers le 4ème volume!

Cette histoire se passe en 1306, grande époque de l'inquisition.Druon de Brevaux, jeune mire ( équivalent du médecin ) est fait prisonnier par un seigneur.Afin d'éviter l'execution et retrouver sa liberté le jeune mire doit élucider un mystère pour le seigneur . Andrea H Japp nous entraîne dans une enquête policière , une histoire de famille à une période dépourvue bien sûr de toutes technologie et où tuout était basé sur l'observation, la réflexion et la déduction avec un pe d' histoire et ça change

c'est un roman qui se lit rapidement mais que ne m'a pas particulièrement intéressé. L'intrigue n'est pas suffisamment captivante.

le passé et le présent qui s'entrecroisent tout au long du roman nous égare un peu. Mais l'histoire est prenante : Léonora n'a connu que la souffrance pendant toute sa vie. Son seul bonheur est sa fille que le destin lui arrache en faisant croire à un suicide. Mais pour Léonora jamais Marie ne se serait suicidée. Malgré la douleur qui l'étreint, Léonora va survivre au manque de Marie et son obstination lui fera découvrir la réalité.

Roman passionnant qui nous entraine dans un monde terrible empli de complots, de noirceur, de méchanceté. Tout est bon pour éliminer l'adversaire même s'il fait partie de la famille, aucune pitiée!!

Les 4 volumes s'enchainent sans aucune lassitude, l'écriture est fluide et agréable. Le tome 4 nous révèle les réponses aux énigmes vécues par les personnages des précédents volumes. Formidable histoire.

Andrea H. JAPP a construit une intrigue savante au travers des 4 tomes de la Dame sans Terre - On est captivé par la qualité des personnages et la description talentueuse de la vie quotidienne dans les diverses sphères de la société féodale.

(Le Figaro Littéraire)

au 14ème siècle, le Vatican s'acharne sur Agnès de Souarcy. Découverte d'une femme juste et de caractère au moyen-age qui résiste à l'inquisition et au pouvoir séculaire des hommes et d'une Eglise puissante.

Histoire passionnante, qu'on lit d'un trait.

Un suspens qui vous tient en haleine tout au long du récit. Dans cette magnifique fresque historique se mèle avec brio et dextérité la maitrise de l'auteur dans son style d'écrit et le genre dans lequel elle excelle.

Un "Polar" d'une qualité littérairetrès rare.

J'avoue avoir eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, qui a un côté brouillon. J'avais l'impression d'un énième bouquin sur les tueurs en série, d'une enquêtrice aussi folle que ceux qu'elle essaie de coincer, bourrée d'addictions et franchement un certain côté déjà vu, déjà lu très dérangeant. Et puis, malgré des passages qui ne m'ont pas convaincues (les visions des assassins par exemple), j'ai eu envie d'aller au bout de cette histoire, sauf que ce titre n'est que la 1ère partie d'une trilogie dont je n'ai pas les autres tomes. C'est rageant ! Il me faudra donc trouver la suite assez rapidement si je ne veux pas tout oublier et devoir tout relire depuis le début.

Deux amies d’enfance décident de s’associer pour monter un magasin de fleurs. L’une parce qu’elle traverse un divorce difficile et l’autre parce qu’elle a de plus en plus de mal à supporter sa profession de dentiste. Tout se passe bien jusqu’à ce qu’elles retrouvent un cadavre dans le magasin.

Je n’ai tout de suite pas accroché avec l’un des personnages principaux. Un peu comme si je la rencontrais dans la réalité en me disant qu’on n’allait pas s’entendre. Je n’étais pas très enthousiaste pour les autres personnages non plus d’ailleurs. C’est une sorte de cosy mystery avec les petites touches d’humour et les situations parfois abracadabrantes, mais je n’ai pas adhéré. Pourtant, j’aime bien ce genre. Là, je n’ai pas du tout été sensible à l’humour de l’auteur, et je ne me suis pas vraiment intéressée à l’enquête un peu cousue de fil blanc. Je ne pense pas poursuivre avec cette auteure.

Je connais bien cette auteure pour avoir lu toutes ses collections de polars médiévaux. Son inspiration autour de ce thème s'étant manifestement épuisée, je me suis tournée vers des polars plus contemporains, ce qui a priori n'est pas mon genre de prédilection, mais auquel je m'ouvre progressivement.



Et j'ai donc découvert Le ventre des lucioles, apparemment le tome 5 d'un cycle lié aux aventures d'une mathématicienne de génie, Gloria Parker-Simmons. Un peu gênant lorsqu'on ne connaît pas les autres tomes, surtout lorsqu'à plusieurs reprises, il y est fait référence.



Bref, tout ça pour vous dire, que j'ai été un peu déçue par ce livre. J'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans. Le style ne m'embarquait pas comme je l'ai été avec ses précédents ouvrages abordant des enquêtes au Moyen-Age. Et puis, il faut attendre près de la moitié du livre pour entrer véritablement dans l'action et commencer à ressentir le frisson propre aux polars. Le tome de trop ?



Le thème est difficilement soutenable, et gore (et cependant tellement réaliste tant la noirceur des hommes est grande). Quel est le lien entre tous ces meurtres de très jeunes filles perpétrés tant en France qu'aux Etats-Unis ? Pourquoi semblent-elles toutes se ressembler ? Les corps pourront-ils parler grâce à l'expertise des médecins légistes (un métier que l'auteure connaît bien, et on le sent bien tant sont précises ses descriptions et explications sur le sujet) ? Telle est l'énigme que devra résoudre une équipe du FBI de Quantico accompagnée par Mme Parker-Simmons.



Néanmoins, la seconde partie se laisse lire sans déplaisir (enfin, plaisir confronté à l'horreur). La traque s'accélère, l'étau se resserre autour des coupables... Le FBI arrivera-t-il à temps pour sortir Gloria du piège dans lequel elle s'est fourrée ?



Ma recommandation, si vous voulez lire ce livre, serait de lire préalablement les quatre tomes précédents... Car, à de nombreuses reprises, il est question de références au passé (qui manifestement ont influencé la personnalité et le comportement du personnage principal), références qu'il est difficile de décoder et de comprendre si l'on n'a pas lu les précédents opus :

T1 : La parabole du tueur

T2 : Le sacrifice du papillon

T3 : Dans l'œil de l'ange

T4 : La raison des femmes

Très court roman noir qui navigue dans les eaux du paranormal, adapté au format de la collection Librio (les livres à 10 francs d’une centaine de pages).

Du coup, quand c’est court, il faut être efficace. L’intrigue démarre bien, un accident traumatisant, une journaliste célèbre assassinée, un cauchemar inexplicable, une héroïne énergique qui se sent missionnée pour comprendre ce qu’il lui est arrivé, un partenaire très précieux. Mais finalement ça va un peu trop vite, les étapes sont brulées (sans mauvais jeu de mot avec un élément de l’histoire), le fil conducteur paranormal est un peu trop facile, la fin est totalement parachutée, je reste sur ma faim. Dommage.

Pour changer c'est un bourreau qui mène l'enquête. Ça nous permet de découvrir un peu cette fonction.

J'ai pris plaisir à cette lecture, le sujet est intéressant et j'aime beaucoup cette auteur.

On peut faire un rapprochement avec "Au nom de la rose" d'Umberto Eco.

Je recommande ce très bon policier historique.

Pourquoi a-t-on tué Jehan de Fauvel, cet extraordinaire guérisseur ? Et surtout, pourquoi a-t-il été trahi par l’évèque Foulques de Sevrin et condamné par l’Inquisition ? C’est pour le savoir que le mire Druon de Brevaux poursuit sa quête. Car derrière cet homme aux pouvoirs de guérisseurs, flanqué d’un jeune apprenti, se cache en réalité une femme travestie. Héloïse Fauvel, la fille du malheureux, elle-même désormais traquée.



Mais le chemin d’Héloise, pardon de Druon, est pavé de mystères à résoudre. A Tiron, les meurtres sordides se multiplient. Cela a commencé avec celui du mercier Borée. Il l’avait bien cherché, ce sinistre vaurien prêt à toutes les bassesses. Mais bientôt, on retrouve aussi le corps du moine Etienne, qui n’aurait pas fait de mal à une mouche. Et même celui de Nicol, un simplet ! Qui poignarde ainsi ces hommes et leur tranche la main comme s’ils n’étaient que de vulgaires voleurs ?



Druon décide de s’en mêler. Il mène une enquête qui lui fera cotoyer d’étranges personnages. Au château de Saint-Deni-d’Authou par exemple, l’on cache bien des mystères. Un passé trouble qui refait surface, des rivalités amoureuses, des dessins meurtris. Et une femme, très belle, mais peut-être pas si innocente…



Ailleurs, il y a aussi la tonitruante maîtresse Borgne avec son cortège d’émotions et sa langue bien pendue. Ou encore la magicienne Igraine et ses prophètes. Partout, l’on poursuit ses propres desseins et on commet ses petits larcins…



Plutôt que de nous raconter l’histoire, l’auteur choisit de nous la faire vivre, aux côtés mêmes des protagonistes. Les interrogations et les doutes de l’enquêteur, les scrupules et les remords des criminels… nous saurons tout de ce que pense chacun.



Ce tome 2 de la série peut se lire en soi, même sans avoir lu le premier opus. Il nous plonge ainsi dans une intrigue complexe qu’Héloïse tentera de démêler à la faveur de l’observation et de la déduction.



Comme en toile de fond de ce polar médiéval, la politique n’est jamais loin. Le roi Philippe le Bel a mandaté Guillaume de Nogaret pour récupérer une étrange pierre rouge qui donne tous les espoirs. Et le Roi veut aussi en finir avec l’ordre des Templiers ! Malgré tout, cette intrigue politique reste suffisamment discrète pour ne pas détourner l’attention de l’intrigue.



Ici, les destins s’entrecroisent et chaque protagoniste nous entraîne dans les méandres d’une histoire dense et captivante. L’ouvrage est très bien écrit et donne même l’envie d’enrichir notre propre vocabulaire !

J'ai adoré certes c'est un "cosy crime" il faut aimer ce genre, mais entre deux romans noirs ou Thrillers ça change et fait du bien, l'humour dedans est excellent ! Ce que je trouve bizarre c'est que certaines personnes ne s'inscrivent que pour noter un seul livre de 1 étoile d'ailleurs, comme pour "masques"de barnaby ! C'est pour ça qu'il vaut mieux se faire sa propre "opinion" on a pas tous les mêmes goûts, c'est pour ça aussi que je lis parfois ceux mal notés ou injustement notés ! Parfois on peut être surpris ! Je testerai une autre fois cette auteure

Mais que me refait encore là Andréa H Japp ? Un second tome, la suite de « Cinq Filles, trois cadavres, mais plus de volant », on ne l’arrêt plus Moi qui la connaissais comme auteur de romans policiers, de romans noirs, de polars fantastiques mais aussi de polars historiques et autres polars psychologiques. La voilà qui nous propose de la "Chick lit" policière. Non vraiment je ne l'attendais pas dans ce domaine. Un sacré écart entre son premier polar « La bostonienne » et « ces cinq filles ». Pour moi Andréa H Japp c'est une écriture au scalpel qui tranche dans le vif de l'humanité, là où ça fait mal. C'est des histoires de haine et de désespoir, de révolte…Alors là , de la littérature pour poulette comme le dise les anglo-saxon, vraiment j'ai cru à un canulard

Mais que nous raconte « Les cadavres n'ont pas froid aux yeux »

Hélène et ses copines sont de nouveau confrontées à une affaire de meurtres. Surtout lorsque la tête d'un des collègues de celle-ci est déposée au beau milieu de sa table de travail. Ça fait désordre surtout quand l’inspecteur dévolu à cette sombre affaire vous a dans le collimateur. Il va falloir une nouvelle fois qu les cinq copines résolvent ensemble cette drôle d’affaire surtout qu’Hélène la tête chercheuse n’avait pas d’atomes crochus avec le cadavre et que si elle n’avait pas été impliquée la disparition de cet imbécile ne lui aurait fait ni chaud ni froid.



Vous l’aurez compris nous sommes là véritablement dans la comédie policière. Et Andréa Japp m'a totalement surprise voire désappointée. Elle qui aime le cynisme et l'ironie, elle manie ici l'humour, noir bien sûr, avec une dextérité sans pareil. Elle nous dresse cinq magnifiques portraits de femme bien dans leur temps et toute tellement différentes. Mais pourtant une chose les relie, c'est l'amitié indéfectible qu'elles se portent mutuellement. Avec elles nous va rire, on va paniquer, on va trembler. On va suivre leur déboire, leur déconvenue et leur désappointement tout comme on va aimer leur joie, leur enthousiasme à toute épreuve et même leur exaltation. C'est frais, pétillant, c'est rythmé, ça fait du bien. C'est même recommandé dans cette morosité ambiante et ça rebooste entre deux polar sombre voire très noir. Bref un vraiment bon moment de lecture très agréable.



Quand la reine du crime s'attaque à la chick lit, autant dire qu'on s'amuse drôlement et qu'on tourne les pages aussi vite qu'on engloutit un macaron !




Lien : https://collectifpolar.com/

Rien de tel pour se changer les idées qu’un polar historique.

Vous saurez tout sur les bourreaux à la fin de ce livre.

J’ai beaucoup aimé tous les passages sur les états d’âmes du bourreau.

Le livre est truffé de références historiques et d’explications.

Il s’agit d’enquêter sur des meurtres d’enfants pauvres dont personne ne s’occupe.