Andrea H. Japp

Voilà, je n’avais jamais lu Andrea H. Japp, auteure française de policiers. Aesculpius est la première aventure de Druon de Brévaux, mire itinérant.



En ce début de XIVème siècle, l’inquisition fait rage en France. Un médecin est condamné à la question, car il a détenu une pierre aux puissants pouvoirs. Sa fille, Héluise est contrainte de fuir pour éviter le même sort.



Druon de Brévaux, à cause d’une bévue de son aide Huguelin, qu’il a tiré des griffes d’une aubergiste ventrue, est obligé d’aider la comtesse Béatrice à combattre une bête monstrueuse qui terrorise son comté.



Le récit est magistral, on apprend beaucoup des us et coutumes de l’époque. L’intrigue est assez complexe pour tenir en haleine. Les énigmes s’enchaînent. La vie de cette fin de Moyen-Age est violente, brutale et sans sentiment.



L’avidité du pouvoir rend les hommes veules et lâches.
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Assez long à démarrer et plutôt bavard, le roman s'améliore au fil de l'intrigue pour devenir vraiment pas mal. Tout ça avec des personnages intéressants.

Bonsoir,

Dans le cadre de mon club de lecture, nous avons décidé de choisir au hasard une lettre qui serait celle du début du nom d’un auteur que nous devrions lire pour la prochaine rencontre. Nous sommes tombées sur J et j’ai donc choisi une auteure que j’aime beaucoup Andréa Japp avec « La croix de perdition » au Livre de poche.

Un polar historique qui se déroule dans un couvent, des rapports avec un être qui ressemble au diable, des mystères, des persécutions, bref tout en ensemble de choses qui même si nous ne sommes pas dans le roman de la rose, nous entraine dans une époque révolue mais au combien intéressante. Pour les amateurs de polars historiques c’est parfait !

Ce roman est le premier tome d'une trilogie qui nous plonge dans un complot démoniaque au début du 15ème siècle à l'époque des Templiers, au sein de la monarchie, l'église et l'inquisition.



A la lecture de ce premier tome, j'ai trouvé une intrigue enlevée, bien menée, sombre qui entraîne aussitôt le lecteur dans son univers.

Deuxième tome de la série La malédiction de Gabrielle. À l'ombre du diable est la suite direct du tome précédent. Comme il y avait beaucoup de personnages et que je ne voulais pas perdre le fil, j'ai décidée d'enchainer les deux tome l'un a la suite de l'autre. Habituellement je ne le fais pas car je m'ennuie vite. Et ici, le deuxième tome de cette série est particulièrement morne.

À l'ombre du diable suit encore la mère Musard et la jeune Gabrielle qui tente de monter les échelons mais surtout, de partir le plus loin possible de la peste. En contre poids, l'histoire du dyptique religieux demeure présente et prend de l'importance. Ce tome est pourtant bien terne quand ont le compare au premier de la série. Tout du long je me ne comprenait pas, me disant qu'il fallait régler les histoire pour arriver à la fin avec une histoire terminée. Quand j'ai vue les mots A suivre, j'ai été vraiment déçue. D'autant plus qu'il semble impossible de mettre la main sur le tome 3, si tant est qu'il existe! Moi qui n'avait encore rien a dire contre l'auteure; je risque bien de devoir le faire à partir d'ici.

En bref, un premier tome intéressant, riche et à l'intrigue déjà complexe. Une plongée dans le Moyen-âge aux côtés de l'homme le plus craint de la société !



Je découvre la plume de l'auteure avec ce titre et je suis agréablement surprise. Malgré le contexte historique, elle arrive à nous immerger totalement dans son histoire grâce à un récit fluide et de nombreuses notes de bas de page afin d'expliquer les termes les plus compliqués ou éloignés de notre quotidien contemporain. Ayant lu Maurice Druon, il y a peu de temps, la même époque est relatée de façon bien différente grâce à un choix narratif plus accessible ici.



Le personnage principal, récurrent sur la trilogie, est très intéressant. Sa fonction de bourreau lui donne un statut très particulier dans la société moyenâgeuse et, si j'avais déjà pu découvrir cette fonction dans la saga de Patricia Le Sausse (Honnis, soient-ils ! - Éditions Elixyria), c'est un métier très complexe régi par des codes et des lois bien particulières. Andrea H. Japp aborde ainsi la dualité des sentiments, entre la Justice et la moralité, cette sensation de faire le bien tout en faisant le mal...



L'intrigue y fait d'ailleurs allusion tout au long de ce premier tome puisque tout va commencer à cause de l'exécution d'une femme innocente qui va ensuite hanter les pensées du Bourreau. Cette quête de vérité va prendre une importance capitale pour l'homme et petit à petit, changer la vision de son métier et l'amener dans une enquête qui le dépasse. Le lecteur côtoie ainsi toutes les classes sociales de l'époque, allant du métayer au trône de France.
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C'est l'histoire d'une bande de copines qui s'allie pour sauver l'une d'entre elles. Charlotte, psychiatre, découvre un ancien patient et amant mort enchaîné au volant de sa voiture. Puis , elle est cambriolée, tombe sur un autre mort dans son ascenseur. On lui en veut ! Entre la recherche de l'amour, les voilà mélées dans une affaire d'espionnage qui les dépasse mais à laquelle elles vont montrer leur pugnacité de femmes "qui en ont". Un cosy mystery basée sur des dialogues humoristiques mais plein de clichés. Hélas, on peut se perdre avec tous ces personnages féminins.

Ce roman est le dernier d'une série de quatre tomes des Mystères de Druon de Brévaux, de fait c'est la fin.

Par cette série, j'ai découvert la formidable auteure de romans historiques qu'est Andrea H. Japp. Elle nous fait connaître, à l'aide d'intrigues moyenâgeuses teintées de mystères ésotériques, la belle région du Perche.



Vous visiterai des communes et leur marché, des maisons et leur ameublement, des auberges tout en découvrant leur menu, des églises et des prieurés.

L'auteure nous donne également un aperçu assez exhaustif de la structure sociale, du système de justice, des croyances de l'époque, de la crainte de l'Inquisition, des Templiers et des Druides.

Tout cela avec le concours de personnages d'appoint hauts en couleur et surtout très humains, très attachants. Un régal que je vous dis!

Du coup j'ai soif, je prendrais bien un petit verre à l'auberge du Chat-Borgne avec maîtresse Cécile! Qu'est-ce qu'on mange?



L'auteure captive notre attention au point qu'il est presque impossible d'arrêter notre lecture. Les intrigues et les mises en scène sont très bien ficelées et nos deux héros, Héloïse et Hugolin, prennent beaucoup de consistance tout au long de la série. Bref, des enquêtes qui sont toujours à couper le souffle.

L'auteur prend grand soin de bien nous informer et donc les références en bas de pages sont nombreuses, sans toutefois nous embêter, celles-ci étant une source d'informations très utile et fort bien documentée.



Bon j'avoue que le dernier tome me semble être un peu bâclé, un peu trop de copier-coller et de répétitions à mon avis.

Mais il vous faut surtout pas bouder votre plaisir pour si peu! Cette série est un véritable régal pour ceux qui désirent voyager au moyen-âge.



On ne lit pas cette série on la dévore!

Gabrielle d'Aurillay et Adeline, son amie et servante, ont quitté Paris pour la maison des Loges en Josas appartenant au mari de Gabrielle. Henri d'Aurillay a disparu sans laisser de trace, peut-être est-il mort de la peste qui décime le royaume en cette année 1348. Gabrielle a emporté avec elle un diptyque de facture grossière trouvé dans les affaires d'Henri. Elle ignore que cet objet est recherché par plusieurs personnes dont certaines sont prêtes à tuer pour mettre la main dessus : l'apothicaire Baudry Plantard, qui le perdit au jeu contre Henri d'Aurillay; Geoffroy d'Aurillay, chanoine parent d'Henri qui s'intéresse aux objets d'art et curiosités; Urbano Greco, homme de main de Marthe de Rolittret, laquelle est au service du pape Clément 6. Heureusement Gabrielle est aussi protégée -toujours à son insu- par Bernard, fidèle domestique de Pierre Lentourneau qui rêve d'elle depuis qu'il l'a brièvement croisée. Ca en fait du monde qui tourne autour de notre héroïne!



Je retrouve sans déplaisir, mais sans enthousiasme majeur non plus, le suite de La malédiction de Gabrielle dont je croyais qu'elle mettait fin à cette histoire. Mais je découvre un (à suivre) en dernière page. Ce tome est en un entre-deux où l'action se languit un peu. Comme les deux premiers sont parus en 2015 et 2016 la parution de la suite me paraît compromise. Tant pis.
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Chloé et Louise sont amies d'enfance et ont décidé d'ouvrir un magasin de fleurs. Lorsqu'elles découvrent un cadavre dans leur serre, les ennuis commencent même si les policiers ne les incriminent pas. le côté "grande gueule" de Chloé, son côté virago et mégère m'ont refroidi. Les dialogues revanchards, agressifs, les jongleries de langue, les jeux de mots à n'en plus finir finissent par lasser au détriment de l'intrigue et d'un suspens inexistant Décevant

Je ne suis absolument pas rentré dans ce roman. Une histoire principale alambiquée mettant en cause le décès suspect d'un notable. Des personnages principaux insipides et caricaturaux. Des histoires secondaires multiples parallèles dont on ne saisit pas le lien avec l'histoire principale. Des personnages secondaires trop nombreux avec des pseudos, qui rend le tout confus. Certains passages se limitent à une succession d'énonciation de faits divers sordides, dont on ne comprend pas l'intérêt. Tout cela mixé rend un roman confus et éparpillé dont je me suis lassé au bout de 250 pages, abandonnant la lecture de ce roman. A vite oublier.

Première fois que je lis un livre de cette auteur et surement la dernière. Je n'ai pas accroché au style d'écriture, des pages et des pages de description à n'en plus finir sur des sujets qui ne font pas avancer l'histoire. Des personnages aux traits de caractères poussés à l'extrême et peu attachants.

J'ai continué difficilement ma lecture pour l'intrigue - en lisant entre les lignes - et sans surprise la fin est à la hauteur du reste... un coupable évident depuis le début.

La seule chose que j'ai aimé dans ce livre est le titre et ca s'arrête là.

2 amies pour la vie, Chloé et Louise ont décidé de se lancer dans l'ouverture d'une boutique de fleurs. La première est déterminée, un brin railleuse, dentiste de son état (bien que pétrie de honte dès qu'un patient a mal!), la deuxième est une dilettante positive et adorable, aux petits soins pour son énorme Terre-Neuve (qui a bien saisi la faille et nous en fait profiter!) et séparée de son mari, médecin légiste, qu'elle juge parfait mais ennuyeux. Après des débuts prometteurs, tout bascule, un matin, où elles découvrent, dans leur jolie boutique parfumée, le cadavre d'un homme égorgé!

Si l'intrigue n'a rien d'extraordinaire (d'ailleurs il n'y en a pas vraiment), les personnages sont cocasses et désopilants!

La lecture est facile, la plume affutée (dans le sarcasme et l'humour) et le récit ponctué d'expressions loufoques, de citations largement commentées par l'auteure... On passe un moment plaisant, divertissant (et enrichissant).

Mais que m’a fait encore là Andréa H Japp ? On la connaissait auteur de roman policier, roman noir, polar fantastique aussi polar historique, polar psychologique. Mais là elle nous propose de la "Chick lit" policière. Non vraiment je ne l’attendais pas dans ce domaine. Un sacré écart entre son premier polar « La bostonienne » et « ces cinq filles ». Pour moi Andréa H Japp c’est une écriture au scalpel qui tranche dans le vif de l'humanité, là où ça fait mal. C’est des histoires de haine et de désespoir, de révolte…Alors là , de la littérature pour poulette comme le dise les anglo-saxon, vraiment j’ai cru à un canulard

Mais au fait de quoi ça parle les « Cinq filles, trois cadavres, mais plus de volant » c’est une tranche de vie, c’est l’histoire de Cinq copines. Cinq copines face à un cadavre qui apparaît, puis disparaît pour réapparaître. Affolées, ce gang de copines tente de protéger l'une des leurs. En fait elles ne font qu'envenimer une situation déjà complexe. D'autant qu'elles s'attirent les foudres d'un commissaire divisionnaire de la criminelle. Et que, pas de chance pour elle, deux autres cadavres vont suivre.

Nous sommes là véritablement dans la comédie policière. Et Andréa Japp m’a totalement surprise voire désappointée. Elle qui aime le cynisme et l’ironie, elle manie ici l’humour, noir bien sûr, avec une dextérité sans pareil. Elle nous dresse cinq magnifiques portraits de femme bien dans leur temps et toute tellement différentes. Mais pourtant une chose les relie, c’est l’amitié indéfectible qu’elles se portent mutuellement. Avec elles nous va rire, on va paniquer, on va trembler. On va suivre leur déboire, leur déconvenue et leur désappointement tout comme on va aimer leur joie, leur enthousiasme à toute épreuve et même leur exaltation. C’est frais, pétillant, c’est rythmé, ça fait du bien. C’est même recommandé dans cette morosité ambiante et ça rebooste entre deux polar sombre voire très noir. Bref un vraiment bon moment de lecture très agréable.


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Aussi distrayant que le premier volet. On en ressort au faîte de la gastronomie du moyen-âge, roborative pour ceux sui ne meurent pas de faim. La concurrence y est rude avec la peste. Le vocabulaire utilisé constitue, en prime, une belle leçon d’étymologie des mots français et des expressions encore utilisés de nos jours avec éventuellement quelques glissements de sens. L’intrigue, des plus tortueuses, se lit comme une métaphore des mœurs de l’époque. Violence et plus si affinités..

L’action se déroule au cours de l’épidémie de peste noire qui s’abattit sur l’Europe et fit des millions de morts. Premier volet de la saga dans le Paris aux prises avec les victimes du “fléau de Dieuˮ et de quelques autres pour lesquels Dieu n’y est pas pour grand-chose, quoique !

Je me rejouissais de lire un cosy crime français, quelle déception. Les héroïnes caricaturales, absolument pas sympathiques ni crédibles.

L'intrigue, inintéressante.

Le dénouement, absolument improbable (Je ne sais pas si j'en ai déjà lu un autant tiré par les cheveux)

Début du XIVe siècle, en France. Les Venelle sont une famille de bourreaux officiant à Mortagne. Hardouin, le cadet, doit reprendre la charge à la mort de son frère. Devenu M. Justice de Mortagne, il ne ressent aucune contrainte de son office, et n'en retire aucune satisfaction. Mais le cas de Marie, condamnée au bûcher pour avoir accusé un noble de viol, va le faire douter...

Une nouvelle série historico-policière d’Andrea H. Japp qu’on ne présente plus. On est tout de suite plongé dans la XIVe siècle. Avoir choisi un bourreau pour héros est plus qu’original. Et en plus l’écriture de Andrea H. Japp est savoureuse. Elle recrée avec brio le langage de l’époque. Bref c'est truculent. Encore un coup de maitre de l'auteur


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Les trois tomes sont un seule et même histoire qui cependant intègre une nouvelle enquête dans le tome trois. Le tome un est bon, le tome deux aussi, et le tome trois également, cependant à partir du troisième ça commence à être long, comme un roman qui se sait pas finir. Et j'ai eu justement du mal à terminer le T3 que j'ai lu en biais à partir de la moitié, tellement à force d'accumulation cette histoire bien ficelée, et par certains aspects plutôt originale, devient convenue.

J'aime les romans policiers et ce que j'ai aimé dans ce roman c'est clairement la touche humour en plus. Nos deux suspectes sont aussi nos deux victimes et on se demande qui peut autant leur en vouloir pour les faire accuser de la sorte. Avec Pas de pissenlits pour le cadavre , on passera un bon moment de lecture et on mènera cette enquête avec plaisir.



j'ai passé un bon moment de lecture avec cette enquête policière qui saura nous donner le sourire malgré les circonstances. Je découvre la plume d'André H Japp et je me suis régalée avec les moments cocasses de nos héroïnes et de la pléiade de personnages qui va les accompagner.



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