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EAN : 9782290013489
157 pages
J'ai lu (03/02/2009)
3.19/5   109 notes
Résumé :
Ces deux là s'écrivent par mail depuis des semaines, et ce soir enfin ils vont se voir. Ceux-là se croisent dans un train, d'un mot leur vie peut changer. Il y a cette femme qui n'embrasse pas, telle autre, insaisissable, qui tient son amant à distance en se cachant derrière un numéro de portable, et cette mère célibataire qui aime sans réveiller son fils. Ou encore cet homme, qui fait défiler comme autant de souvenirs les numéros de son répertoire. Combien de fois ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
3,19

sur 109 notes
Serge Joncour nous offre ici 17 petites ou grandes histoires d'amour, que ce soit l'amour maternel, entre mari et femme ou entre deux amants....
L'amour que donne cette maman à son fils et qui s'arrête de travailler pour pouvoir aller le chercher à la sortie de l'école et qui peut l'attendre impatiemment sous la pluie, adossée à un arbre, trépignant de le voir arriver...
L'amour mis à mal entre deux amants dont l'enfant de la femme dort dans la chambre d'à côté...
L'amour sur internet entre deux personnes dont l'échange incessant de mails aura donné lieu à une rencontre inespérée mais aussi décevante...
L'amour qu'un jeune homme entretient virtuellement avec des femmes grâce à sa webcam...
L'amour que se porte deux malades pendant une vingtaine de jours, dans une chambre d'hôpital ou plus exactement l'attention et l'intérêt que chacun porte à l'autre...
L'amour incertain d'un homme pour sa femme et son enfant, le jour de Noël, attendant impatiemment la réponse de sa maîtresse et dont finalement le coeur va s'illuminer tout autrement...
L'amour d'un vieux couple divorcé aujourd'hui réuni à cause de la maladie de l'un d'eux...

Serge Joncour dissèque, analyse, étudie l'amour sous toutes ses formes parce qu'il n'y a pas qu'une seule façon d'aimer. C'est tendre, touchant, incongru, émouvant, plein d'espoir, mélancolique, drôle, réconfortant, incertain, maladroit, conquérant, pathétique... autant de qualificatifs pour dire comment on aime, combien on peut aimer. Tout en finesse, calme et poésie, il nous raconte ces petits riens qui font le bonheur au quotidien, ces petits détails qui nous rapprochent de l'autre et nous raccrochent à l'autre, aveuglément, passionnément, follement ou tendrement. C'est tout en justesse et volupté.

Combien de fois je t'aime... seul mon coeur le sait...
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Au demeurant, je n'aime pas les nouvelles.
Je les considère comme des aquarelles à comparer avec des oeuvres à l'huile.
C'est immédiat, trop léger, urgent, un déjeuner de soleil, un jet, trop vite oublié.
L'absence de profondeur l'emporte sur les glacis de mots pénétrants auxquels m'a habitué Serge Joncour dans les tableaux de vie de ses romans luxuriants.
Toutefois, il m'apprend qu'une nouvelle peut être plaisante comme un Beaujolais ou un Sancerre sur le fruit, vive, débordante de fraîcheur, courte mais éclatante.
J'en accepte l'augure, il a tellement écrit de bons romans sonnant comme des Bourgognes capiteux avec des accents giboyeux, aussi concentrés que puissants, qu'il doit pouvoir élaborer de bonnes nouvelles.

Au rendez-vous, 17 historiettes de quelques pages que je vais tenter de résumer en peu de mots ciblés façon petit rébus :
L'amour moderne : Un cliché, pas une photo. A peine cliqué qu'il est déjà parti.
La goutte de sang : La séduction, la morsure de l'amour, la pointe de sang sur les lèvres.
Toute une vie sur un portable : Solitude cellulaire,
de A à Z, réper-exutoire.
Son môme dans la chambre d'à côté : Prendre son corps comme un jouet et détaler.
S'aimer jusqu'à se voir : « A croire que s'aimer, c'est ne plus s'écrire. »
L'amour de loin : Loin de l'amour, Chalon-sur-Saône Net-blues.
S'aimer un jour sur trois : le manque deux jours sur trois, mode d'emploi.
N'avoir pas eu l'enfant : Des hauts et débats, vie de combats, résultat, pas papa.
Se perdre c'est déjà ça : La perte de soi comme une réussite, l'alcool comme une fuite.
L'amour est tout ce qui nous sépare : Passion dans la tourmente, tu as vingt, j'ai quarante.
Si c'est pas de l'amour : Ça peut-être de la compassion. L'un s'en sort, l'autre pas. Pas d'égo.
Demain on sera jeune : Refuser le temps qui passe comme une fusée. Opération séduction.
Joyeux Noël : Un téléphone qui vibre peut-être le plus beau des cadeaux.
Ce soir je rentre : Pour une fois, je préfère être seul à deux.
La passagère du siège en face : Rêveries du voyageur solitaire.
Dix mois après ce 10 mai là, 81 : Dis-moi, après que
fait-on ? Jeunes tranches de vies à deux.
Cette main de moi qui tremblait : C'est bon d'être entouré quand le vent tourne.

Certaines nouvelles sont délicates et sensibles, d'autres sont mordantes mais toutes ont le goût du vécu. Elles sont aiguisées de sentiments les plus purs comme les plus sombres, l'auteur manie avec précision les méandres de l'âme humaine, ses mots ne sont jamais les mêmes et peuvent clairement exprimer ce qu'est le blues de la vie. Toute la musique des nuances que j'aime.

Que ce soit des romans, que ce soit des nouvelles, j'apprécie tes prouesses.
Joncour, toujours tu m'intéresses.

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Ce petit livre est un ensemble de nouvelles sur l'amour, sous plusieurs formes.
Homme, recherche amour, désespérément...
Dans la plupart des histoires, il s'agit d'un célibataire sans enfant ( heureusement ).
Toinou est malade, complètement malade....
C'est un mendiant de l'amour...
.
C'est très bien écrit, d'une écriture orale ; Serge Joncour se met très bien dans la peau de Toinou, et de sa partenaire aussi, je pense.
Cependant, je ne crois pas que ce soit son meilleur livre.
Et cela me rappelle trop ma période "patachon" qui me rend triste.
J'étais moi aussi, un mendiant de l'amour...jusqu'à ce qu'en 2005, je trouve ma Princesse Charmante.
Les nuits fauves, de Cyril Collard, sont une version à mon avis plus hard de ce livre, période que j'ai vécue aussi dans cette malheureuse période patachon :)

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Serge Joncour Combien de fois je t'aime
En poche : J'ai lu et broché chez Flammarion

Serge Joncour signe un recueil dans la lignée de Situations délicates dont le fil rouge
est l'amour. Dans les 17 courts récits qui composent Combien de fois je t'aime ,
l'auteur radiographie la vie à deux. Il ausculte les relations amoureuses à l'ère du virtuel, du portable. Il montre comment les nouvelles technologies influent sur nos relations affectives et nos comportements: difficulté de communiquer et d'aimer, d'atteindre harmonie et bonheur. Il met l'accent sur le paradoxe de la solitude dans le couple ou au sein d'un groupe, ce qui n'est pas sans rappeler des dessins de Sempé.
Serge Joncour dépeint des situations courantes sur un ton facétieux et nous réserve
des chutes cocasses et du suspense. le lecteur y croisera des femmes et des hommes
cabossés de la vie, attachants, sympathiques dont le quotidien a été métamorphosé par le net, les textos, les courriels. Difficiles de ne pas reconnaître nos semblables dans tous ces « je » qui décident d'une nouvelle vie.
Ridicules, ces accros du portable, déconnectés du réel, tel le gendre qui guette ses messages, indifférent au spectacle féerique déclenché par son beau-père à Noël. Désespéré, cet homme dont le portable reste muet, qui fait défiler une ribambelle de noms sans trouver l'ami à joindre.
Attendrissant,ce couple qui, après des années de galère, se résout à vivre sans enfant.
Lucide, cet enfant élevé par une mère célibataire,qui se sent de trop, souffre de désamour, et dont le rêve une fois adulte sera de retrouver le père déserteur.
Maladroits, ces deux invités qui se rencontrent lors d'un anniversaire et que le champagne désinhibe.
Insolite et choquant, cet homme qui aime une gamine d'une façon trop démonstrative.
Fusionnelles, les étreintes de deux amoureux interrompues par un gosse braillard.
Frustrant, la vue du gâteau au chocolat oublié par la maîtresse du logis et qui sera dévoré par le môme « dont les dents auront poussé ».
Pathétiques, ces couples, réfugiés dans le silence, qui assistent, passifs, au délitement de leur amour, leurs moments heureux portant l'amertume de leurs fins.
Peu enthousiastes, ces deux internautes qui ont décidé de se rencontrer.
Émouvants, ces deux patients, le moral en partance, ressemblant à des marionnettes qui se soutiennent et ironisent sur leur sort.
Poignant, ce couple divorcé que la maladie rapproche et qui sait dire merci à la vie.
Optimiste, ce couple décidé à rajeunir, à coups de bistouri, avant des vacances à la plage. « Demain on sera jeunes » confient-ils en se tenant par la main. Leurs gestes de tendresse ont remplacé la passion.
Intimidé, le passager du Corail qui fantasme sur l'inconnue endormie. Burlesque, la scène de son réveil venant contrarier les plans de son séducteur, gauche avec son bouquet. Imprévisible et plein d'espoir, le rendez-vous donné à la dernière seconde.

Dans ce recueil, les couples se retrouvent ou s'éloignent. Les amours se délitent ou naissent sous la plume drôle et juste de Serge Joncour. En fin observateur, il pointe nos failles, nos échecs et se livre à une riche exploration dans l'incertitude des sentiments et les multiples facettes de l'amour. Il aborde la question de la séduction, du désir, de la liberté, des rencontres éphémères qui laissent des empreintes pour toujours, sans se départir de son humour. L'auteur maîtrise parfaitement l'art de la chute, sait rendre attachants ses personnages anonymes, ces coeurs solitaires, victimes d'une société en phase de déshumanisation, dans laquelle on fait « l'économie de nos sentiments ». L'amour serait-il surestimé ? Comme le chante Dominique A. Ne manquez pas ce rendez-vous avec l 'amour, car AIMER, écrit Serge Joncour, « c'est aussi une partition de soliste, c'est un mouvement de l'intérieur, c'est vivre des tas de petites chose rien que pour soi, c'est rayonner de l'éclat intime d'une lumière qu'on s'invente à deux, et qui est là même s'il n'y a que soi ».


Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore Serge Joncour, lisez ses deux derniers romans : L'amour sans le faire et L'écrivain national. L'amour y est aussi au rendez-vous. Laissez-vous « Joncouriser » !
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Merci aux lectrices et lecteurs, qui, sur Babelio, par leurs critiques enthousiastes, m'ont donné envie de découvrir cet auteur que je ne connaissais que de nom.

J'ai voulu commencer tout doucement, par petites touches, à travers ces dix sept nouvelles autour du thème de l'amour ...ou du non-amour.

Parmi ces histoires, certaines m'ont particulièrement plu, comme " S'aimer jusqu'à se voir" ,où le virtuel rencontre une réalité décevante, " S'aimer un jour sur trois" qui distille le poison de l'absence, " L'amour est tout ce qui nous sépare", pointant les différences générationnelles. Mais je n'ai pas envie de dévoiler trop de choses sur ces variations amoureuses, je vous laisse les découvrir...

Voilà mon ressenti :

Amours de pacotille, sur écran, amours dérisoires, comiques et amères à la fois.
Amours qui doutent, qui s'interrogent, amour du manque et de l'absence.Amour folie.
Amours rêvées, vide du réel, amours de gare en gare,amour hagard.
Amour ou non-amour, vertige de la solitude.

J'ai aimé l'univers souvent douloureux, gris et désabusé de l'auteur, ses phrases qui se précipitent comme des vagues d'émotions qui submergeraient les personnages, j'ai aimé surtout l'humanité qui se dégage de chaque phrase et les formules très justes, au détour des pages.

Une belle découverte, je vais lire ensuite " L'amour sans le faire", l'amour encore et toujours...
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Citations et extraits (57) Voir plus Ajouter une citation
[ Incipit ]

L'amour moderne.

Elle avait toujours un bon quart d'heure d'avance, non pas vraiment par impatience, ni par trop vive envie de me voir, mais pour une simple question d'horaire. Sa coupure commençait vers seize heures ou dans ces eaux-là, pour elle ça n'avait pas de sens de repasser d'abord par la maison, et d'en ressortir dix minutes après pour venir me prendre. Alors elle se plantait là, dans cette rue sans boutique, elle m'attendait parfois salement, je pense aux jours de pluie, ou à tous ceux où il faisait froid. Je ne m'en rends compte que maintenant, pourtant j'aurais dû songer au dévouement que ça représente, surtout l'hiver, ce long quart d'heure qu'elle passait seule sur ce bout de trottoir, sans le moindre abri. À ce que j'en sais elle ne bougeait pas, elle s'adossait à l'arbre mince qu'il y avait là, juste en face de la sortie, elle fumait une cigarette ou deux, en pensant à quoi, à moi sans doute, à ce que serait sa vie si je n'étais pas là. À cause de ce travail qu'elle reprendrait tout à l'heure, jusqu'à très tard le soir, elle était habillée très femme, une jupe noire lui arrivait juste au-dessus des genoux, elle portait des collants chair, des chaussures élégantes à talons, un chemisier blanc en général, un simple manteau par-dessus en hiver, de toute façon elle n'avait jamais froid, jamais d'écharpe, le cou nu toujours offert, sans même une perle bas de gamme. Elle restait là sans se mélanger aux autres, son caractère l'amenait à ça, à être un peu en marge, on la disait de son époque, moins pour l'atteindre que pour la résumer. Tout autour les temps changeaient, jupes courtes et voitures à angle droit, Renault 12 et Barbarella, mais d'élever seule son enfant, sans que ça ait valeur d'emblème, ça lui valait des commentaires, on trouvait ça pas trop normal, un peu bizarre, on se disait bien que ce devait être ça, l'amour moderne.
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Avec elle on fait l'amour pour ne faire que ça, on ne se désire que pour ce désir-là, qui s'épuise par l'effet d'on ne sait quelle fatigue, après quoi on reste un temps sans se parler, rincés, comblés, piégés dans une mutuelle reconnaissance, les corps détachés, on fait juste l'effort de ramener un pan de drap sur soi, sur l'autre aussi, à nouveau on sent qu'on pourrait prendre froid, à nouveau on est fragile, humain, rien que ça, on pourrait presque être bien si c'était vraiment ce qu'on voulait. (P.54)

(...) quelle misère que d'être tombé si bas dans le silence de l'autre, suspendu à rien. (P.91)

(...) le passé est une fatigue qu'on ne finit pas de creuser, alors je polissais des souvenirs pour m'y voir plus brillant. (P.124)
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Ce que l'on cherche dans la vie, c'est pas vraiment l'apothéose des découvreurs de continents, non, en cherchant l'âme soeur tout ce qu'on veut dans le fond c'est être tranquille, avoir quelqu'un à soi le soir quand il s'agit de rentrer, une présence qui tienne au corps comme un vêtement, une idée de l'autre qu'est là à trotter toute la journée, ce qu'on veut c'est expier le sentiment d'abandon, aimer pour se sentir moins seul.
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Alors c'est promis, si un jour vous passez par Chalon ...Non, Barbara, comme vous y allez ,Chalon-sur-Saône seulement , pas en Champagne , Chalon-sur-Saône ...Mais c'est juré , si un jour vous venez, pour marquer le coup j'achèterai une petite bouteille de champagne ,oui, Barbara, vous aurez droit à votre petite coupe, c'est promis, allez, grosses bises... Mon Dieu, Frida, depuis le temps qu'on se croise, depuis le temps que je vois votre photo sur le site, merci de m'envoyer une request... On s'était perdu de vue tous les deux, ben oui, c'est dommage, parfois on se met à parler avec quelqu'un, et après hop, il disparaît".On en était où tous les deux? Moi je vous aime bien en tout cas. Vous étiez partie où depuis tout ce temps, pardon , on se tutoyait? Ah très bien.[ ]Dis-moi, tu as changé de webcam, ça se voit tout de suite,
ah oui, le modèle que tu avais avant arrondissait tout,elle écrasait un peu, je peux te le dire maintenant que tu ne l'as plus,mais quand tu t'approchais trop près de l'objectif ça faisait un drôle d'effet, on avait l'impression d'une carpe au travers d'un aquarium...[...] mais, Frida, ne coupe pas la connexion comme ça,[...] Frida,attends, reviens....Ah tiens, Isa, Isa qui me relance. Mais c'est qui déjà cette Isa ...En plus elle m'appelle Toinou, c'est qu'elle me connaît bien sûrement, pour savoir le petit nom que me donnaient mes parents... Oui,Isa, bon sang,Isa, oui, Isa, bonsoir ma belle, bonjour pardon, mais ça alors quelle surprise. Mais comment, mais bien sûr que ça me fait plaisir que tu me recontactes. Je m'inquiétais un peu, et pourtant Dieu sait que je ne suis pas d'un naturel inquiet.[...] Pourtant tu m'avais bien dit que t'avais des enfants, ah oui tu as raison, en fait je vois en relisant ton profil que tu voulais des enfants, tu veux en avoir en fait, pardon, j'ai mélangé. Mais je le sais bien que tu n'as pas d'enfants voyons c'était juste une formule, comment va ta petite famille, une formule quoi. Mais pourquoi tu le prends mal? Il n'y a vraiment pas de quoi. Bon c'est ça, à une autre fois, c'est ça, je révise mes fiches, t'as raison...
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C'est toujours comme ça, il y a toujours une première fois, un premier appel auquel on ne répond pas, je voyais son prénom qui insistait sur l'écran, mais je n'ai pas décroché, mesurant bien l'effet que ça devait produire, là-bas à l'autre bout du fil, pas de doute que ça l'inquiétait, à la limite ça lui faisait mal. Elle a rappelé une deuxième fois, puis une troisième un peu plus tard, au point que je me suis demandé si elle cherchait vraiment à me joindre ou à reproduire ce mal.
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