Ce livre et moi, c'est l'histoire d'une rupture et d'un abandon, donc cette chronique sera courte… Attention spoil !
L'intrigue de ce roman se passe trente-trois ans après les événements du tome 1 jusque là tout va bien…
C'est l'histoire d'un seigneur japonais dont on vient de tuer femme et enfants – classique – parce que l'empereur veut sa maîtresse trop vachement belle – classique – le seigneur refuse et se tient prêt à la bataille tout en prenant le temps de passer son temps à forniquer avec elle – moi, perso, je me concentrerai plus sur la défense mais, soit, on n'a pas tous les mêmes priorités dans la vie…
L'ennemi attaque, le seigneur et ses gens sont confinés et commencent à mourir de soif – classique… et prévisible fallait p'tet moins forniquer – tout le monde est aux portes de la mort mais eux forniquent – peu classique mais admettons qu'à l'aube de sa mort on veuille s'abreuver au corps de l'autre de façon insatiable…
La maîtresse finie par sacrifier sa vie pour sauver son seigneur et maître – ah enfin de l'originalité ! non je rigole… tellement classique ! – son corps est investi par un démon qui va aider le seigneur a obtenir vengeance…
Sa maîtresse est morte mais il tant qu'il continu à b*****, non pardon à honorer quotidiennement ce corps vide de son âme – moralité mesdames ça sert à rien d'avoir de l'esprit du moment que vous faites le trou, comment ça je suis polémique ??? Voilà, ça dure des pages et des pages comme ça…
Donc, je vais encore passer pour l'emmerdeuse de service mais j'ai stoppé ma lecture à la page 116 sans retrouver la motivation de reprendre… pardon mais ce roman a été écrit en 2003, c'est trop récent pour que je lui trouve des excuses… Mais comme d'habitude, j'ai beau lire d'autres chroniques, a priori je suis une des rares à être choquée par ce genre de choses… c'est ça que je trouve le plus terrifiant…
En conclusion donc, je crois que
Thomas Day et moi ne sommes pas fait pour nous entendre… On dira que c'est un rendez-vous raté avec cet écrivain mais je trouve ça regrettable, en deux romans, il m'a découragé de lire le reste de son oeuvre… ou dans très, très, très, très longtemps…