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EAN : 9782818016589
256 pages
P.O.L. (22/08/2012)
3/5   37 notes
Résumé :
Millefeuille, c’est le portrait d’un vieux monsieur qui sait qu’il va vers la mort et qui se débat avec ça. Et d’un humaniste, qui est à la fois affecté par tout en surface, et profondément indifférent. C’est aussi un livre sur les rapports entre générations, un vieux et des jeunes.
Un vieux monsieur, donc, aimable, ouvert aux autres et au monde, et en même temps, toujours dans une certaine distance, sans intérêt véritable, guetté par l’ennui. Tout l’intéress... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Jean-Pierre Millefeuille est un homme à la retraite. « Un vieux Monsieur, grand, bien mis, portant beau comme on dit dans Balzac, souvent là en train de lire son journal, de rêver. Pas timide, plutôt bavard. Conservation, échanges. Et tout de suite, étonnement, de part et d'autre. » le personnage qui dit je est une jeune femme qui tombe sous le charme de ce professeur à la retraite, un veuf qui ne demande que ça : « rencontrer des jeunes, se poser des questions avec eux, les écouter » : apparemment l'histoire démarre bien.
Il y a des personnages secondaires plutôt sympathiques : Sammy, livreur pour un magasin de location de DVD fréquenté par Millefeuille, Zoé, l'amie du personnage principal, Léo l'ami de Zoé qui se targue d'écrire et qui va demander l'avis de Millefeuille (mais cela va lui poser problème pendant tout l'été), son fils Jean, avec qui il échange peu sur le fond, Charles l'africain, Micheline, l'amie fidèle, mais aussi Joseph : un ami d'enfance de Millefeuille, professeur en même temps que lui, mais qui est devenu SDF. Et le malaise de Millefeuille (ou sa lâcheté à son égard) nous met mal à l'aise aussi, nous lecteurs. Ou Ernest - clochard ou fou ? –une sorte de « loser » qui dit pourtant des choses au travers de sa folie – que Millefeuille préfère ne pas entendre.

Assez rapidement ce personnage de Millefeuille devient plutôt agaçant. Il écrit un essai sur les rois anglais et se pose lui-même la question « Who is it that can tell me who I am ? ». Mais sa pensée bute, comme elle peut le faire parfois pour chacun d'entre nous, et ce processus, regardé à la loupe par l'auteure, est « intéressant » pour reprendre un mot très souvent utilisé par Millefeuille

Leslie Kaplan nous fait vivre dans la tête de Millefeuille pendant plusieurs jours au mois d'août, elle nous livre ses états d'âme au jour le jour et en définitive apparaît un vieux bonhomme plutôt égoïste, concentré sur ses petits problèmes, et qui vit une histoire plutôt pénible avec deux SDF qu'il croit pouvoir sauver … mais qu'il abandonne ou fuit au moment le plus important. Avec un grand sentiment de culpabilité ? Un sentiment très irritant pour le lecteur en tout cas. Un homme plein de paradoxes, somme toute.

Et l'irritation va croissante, au fur et à mesure que le mois d'août passe, que ce vieux bonhomme s'interroge sur la mort prochaine, et se demande qui pensera à lui quand il sera parti – personne vraiment sans doute ? – et qui freine l'identification au personnage. Avec des longueurs qui gâchent un peu la bonne impression du début. Dommage.

Leslie Kaplan écrivait en 1999 un livre, « le Psychanalyste ». Ce roman, construit comme le quotidien d'un psychanalyste ou comme une succession de consultations, où les patients venaient tour à tour se livrer, fantasmer, se raconter – très réussi à l'époque - annonçait déjà ce personnage de Millefeuille et ses sautes d'humeur, racontée d'une minute à l'autre, ponctuée de ses nuits et des ses rêves – où l'auteure démontre la puissance de l'inconscient dans la pensée quotidienne.

Elle traite dans ce livre la question de la transmission, de la solitude, du processus de décision (Millefeuille n'y parvient pas bien), de la vieillesse et du rapport au temps, à l'approche de la mort. Qui est-on quand on n'est pas roi ? se demande Leslie Kaplan, qui interroge notre rapport au monde – pour un homme sans pouvoir. Représentatif d'un certain tragique contemporain ? dit Leslie Kaplan, un tragique qui ignore le vrai tragique d'aujourd'hui quand on a les moyens de vivre de sa retraite paisiblement.



Leslie Kaplan écrit dans un style très « nouveau roman » et publie chez P.O.L.. Son personnage principal fait aussi penser au personnage de Plume du poète Henri Michaux. Millefeuille, un nom sans doute à tiroir, avec des « couches » de pensée, Millefeuille : "comme les feuilles de papier sur le bureau, il y a un petit courant d'air qui (le) traverse tout le temps".

Peut-être faut-il le lire avec « une lecture flottante », un peu comme un analyste qui ne s'intéresserait pas tellement au personnage, mais plutôt aux thèmes traités et au style de l'auteur. Quoi qu'il en soit, si ce « Millefeuille « laisse un goût d'irritation dans la gorge (trop long peut-être ?) et n'est peut-être pas son meilleur cru, cette auteure mérite qu'on lui prête attention. Un projet un peu loupé à mon sens, mais qui est « intéressant » (pour reprendre un terme souvent utilisé par Millefeuille) par sa capacité à se loger dans la tête de ses personnages – qu'ils nous soient sympathiques ou antipathiques comme celui-ci.

Lien : https://www.biblioblog.fr/po..
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Il y a un âge pour apprécier certains livres, pour Millefeuille il faut un âge certain. La retraite, ce mouvement ultime et redouté, qui n'a de but que la survie et dont on sort immanquablement défait, émousse une à une toutes les fausses certitudes des jeunes années. La retraite, de défaites en défaites et de futures défaites en futures défaites, plus que la solitude, c'est elle qui mine Jean-Pierre Millefeuille ancien professeur de littérature à la retraite.

A l'endroit des inconnus, des inconnues surtout, des jeunes beaucoup, Millefeuille sait se montrer affable. Il aime à couper sa journée par quelques rencontres de quartier, les courses, le bistro, le resto, le musée, le ciné autant d'occasions de s'évader, de se lier, de s'illusionner, encore, un peu. Et pourtant, ses proches s'en rendent-ils seulement compte, sous cette belle façade, c'est tout l'intérieur qui peu à peu, de plus en plus, se lézarde et, au soleil du mois d'août, Millefeuille se prélasse mais déjà se sent froid.

A l'envers, il se répète Shakespeare, « age is unnecessary » « Who is it that can tell me who I am ? » et, en boucle et à l'envi, « tomorrow and tomorrow and tomorrow ». Sans raison, sans raison encore, se plaint de son sort, ressassant la mort. Mais par dessus tout la peur qu'on l'oublie...

Il ne se passe donc rien dans ces journées trop peu remplies, quelques parlottes, quelques fou rires, quelques fureurs, et puis dormir, de plus en plus il dort, de plus en plus souvent il dort car il s'ennuie . Et paradoxe, je ne me suis nullement ennuyé avec ce Millefeuille qui s'ennuie. Que du contraire, je me suis pris à tourner les pages avec envie de ce quotidien dont je n'attendais rien, juste par plaisir. Ce qui fut fait.
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Un ancien professeur à la retraite Jean-Pierre Millefeuille, habite seul dans un joli appartement, rue Bourdelle, à Paris dans un quartier chic et agréable de la capitale.Il sait s'entourer de jeunesse, lie facilement connaissance au cours de ses promenades et fréquente des personnes issues de tous les milieux sans distinction de race ni de couleur de peau ni de statut social.
Passant ses journées plongé dans l'oeuvre de Shakespeare ,il ne sort de chez lui que pour faire quelques courses , diner à la brasserie du coin ou Au sélect, restaurant de renom.Bref une existence que pourrait envier bon nombre de gens par les temps qui courent.En somme il n' a aucun problème de santé, vit très à l'aise financièrement , et essaye de s'entourer de jeunes gens , de garder le contact avec le monde d'aujourd'hui ...
L kaplan nous dresse là un portrait précis pointilleux de cet homme entré dans l'âge de la vieillesse , âge qu'il récuse, et nous décrit par le menu ses journées à Paris, plus isolé qu'à son ordinaire, car c'est l'exode du mois d'août.
L'idée au départ était séduisante ,c'est un sujet qui ne doit pas, selon moi,rester tabou et je salue l'Kaplan de s'y être attelé.Mais voilà au bout d'une centaine de pages j'ai pris Millefeuille en grippe allez savoir pourquoi!
Il m' a agacé, énervé, je pense sérieusement qu'il aurait eu besoin d'un médecin et que c'était criminel de le laisser s'enfoncer dans cette état dépressif .Est-là ce que veut dénoncer l'Kaplan?Et montrer que même si les moyens financiers et intellectuels sont présents, la descente dans l'enfer de la dépression pour la personne âgée peut être brutale et rapide.
au final, une lecture qui m'a dérangée, agacée et que j'étais ravie d'achever!!!
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Millefeuille est un professeur de lettres à la retraite. Il est érudit, fanatique de William Shakespeare, sociable, ouvert à autrui, il a des projets littéraires, il habite un appartement cossu en plein Paris, entouré par les brasseries les plus agréables, les marchés les mieux fournis, les épiceries fines et il a les moyens de les fréquenter.
Il a des amis fidèles qui accourent quand il a besoin d'eux, un fils, des occupations : l'heureux homme !

Mais Millefeuille se sent de plus en plus angoissé : son fils l'agace, il supporte mal les contraintes, qui l'irritent au-delà du raisonnable. Il voudrait venir en aide à d'anciens amis en difficulté au point de penser à eux de façon obsessionnelle, mais renonce au dernier moment : il n'y parvient pas. Egoïsme, pudeur, peur de renoncer à sa liberté ? le jeune couple en perdition dont il commençait à s'occuper commet un atroce forfait et trouve la mort. Millefeuille est bouleversé, taraudé par le remords.

Millefeuille s'ennuie seul, il s'ennuie en société. Il est sujet à des accès de colère irrépressibles, il a des insomnies, des cauchemars récurrents dans lesquels des rois shakespeariens couverts de sang viennent le visiter. Parfois il croit voir les ombres de ceux qu'il n'a pas su aider se faufiler dans son immeuble : mais ce ne sont pas eux.

Millefeuille expérimente l'expérience la plus gratifiante qui soit : une vie sans obligation. Millefeuille expérimente l'expérience la plus terrible qui soit : une vie sans obligation. Une vie livrée au facultatif.

Millefeuille vieillit, il a peur du gouffre qui s'ouvre devant lui, de la vacance, de la mort.

Millefeuille voudrait être un pharaon pour qu'on ne l'oublie pas.

Leslie Kaplan, a eu l'excellente idée de placer son personnage dans les conditions de vie les plus favorables, afin de mieux exprimer les questionnements sans réponses qui forment la trame de l'existence humaine : l'aisance matérielle, la culture n'en protègent pas. Il apparaît en creux que l'univers dans lequel il évolue est un univers sans Dieu : Millefeuille ne pense jamais à Dieu, Il n'est pas dans son programme. C'est un athée ou un agnostique dont le seul panthéon est littéraire. Or, comme le formula un de ses anciens maîtres, "la littérature ne sauve pas, elle ne fait que consoler".

Millefeuille continuera ainsi, de joies en joies, d'affres en affres, jusqu'à la fin de sa vie. Sa misère est inséparable de la condition humaine.

Le style de Leslie Kaplan est un style simple. Il semble un peu relâché à la lecture, mais sculpte une matière qui se révèle de plus en plus dense en sens au fil de la progression.

"Millefeuille" de Leslie Kaplan est un livre qui peut paraître insignifiant si on n'y prête pas garde. C'est ce que m'ont confirmé les avis de certains amis babéliotes qui semblent s'être ennuyés à sa lecture alors que je n'ai pas pu le lâcher avant la fin.

Je tiens Leslie Kaplan pour une grande écrivaine qui ne paie pas de mine... ou qui ne "parle" pas à tout le monde. Car, comme l'a écrit Krout dans son commentaire : "Il y a un âge pour apprécier certains livres, pour Millefeuille il faut un âge certain."


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Un roman qui arrive à point dans ma vie pour de multiples raisons. Déjà une réussite en soi.
Le commentaire de Darkanny est déjà complet il est difficile d'ajouter quelque chose de pertinent.
Ce livre nous laisse toujours en suspens, dans l'attente de quelque chose, d'une explication comme s'il y avait besoin d'une explication.
J'ai d'abord cru à une folie du héros dont on ne dit pas le nom, une maladie de vieillesse tellement actuelle, un isolement complet faisant intervenir des hallucinations tant le personnage présente deux facettes antagonistes, personnage joyeux, charismatique, altruiste et curieux d'un côté, mesquin, égoïste, peureux et triste de l'autre.
Un personnage cultivé pour discourir de Shakespeare mais ignare pour donner son avis sur le chapitre écrit par un ami. La dualité est très contrastée et le mystère demeure très longtemps dans le récit.
Pour le reste, le dénouement je ne dis rien.
Le style est agréable, on ne peut pas dire qu'il soit simpliste, mais épuré, fluide, pas de chichi, j'ai personnellement apprécié que la narration soit à la troisième personne (tellement de livres narrés à la première à notre époque).
Le rythme des phrases est assez rapide même si l'auteur prend son temps pour des descriptions utiles. On reconnaît bien l'atmosphère particulière de Paris.
Un petit bémol pour le chapitrage, les chapitres sont à mon avis trop nombreux et courts, cela rend le récit saccadé, cela a son utilité pour exprimer l'humeur oppressé du héros ainsi que la dualité entre les deux personnalités si je puis dire qui l'habitent mais un chapitrage un peu moins découpé aurait pu être plus agréable. Je chipote ceci dit.

J'ai aimé, cela m'a changé de mes habitudes de lecture, comme toute lecture réussie change son lecteur cela m'a changé aussi en ce sens.
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critiques presse (3)
LeMonde
07 novembre 2012
Le charme opère, grâce à la succession de saynètes tantôt absurdes, tantôt burlesques et au talent de Leslie Kaplan qui capte à la source un flot de réflexions ordinaires où l'incongru se marie au trivial, où la logique se dérègle.
Lire la critique sur le site : LeMonde
Telerama
31 octobre 2012
Ce livre porte bien son nom. Il se coupe difficilement, mieux vaut l'avaler d'une traite. Et il laisse des miettes partout, d'infimes particules dont on ne mesure pas tout de suite la portée, mais qui sont précieuses et tenaces.
Lire la critique sur le site : Telerama
Lhumanite
22 octobre 2012
Leslie Kaplan a choisi l’imparfait et le passé simple pour dessiner le vieil homme déjà sorti du présent. Entre autres hanté par la figure du roi Lear, le souverain shakespearien qui avait trouvé dans la folie une façon 
de mourir au monde. Un réseau de sens ainsi se tisse, 
qui donne à ce texte sur l’absence dernière 
une formidable dimension humaniste.
Lire la critique sur le site : Lhumanite
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Millefeuille voyait le poème sur la page, les vers se détachaient, Baudelaire parlait des vices,
"Il en est un plus laid, plus méchant, plus immonde !"
Millefeuille souriait intérieurement et continuait
"Et dans un bâillement avalerait le monde :"
C'est l'ennui ! ...
Incroyable que Baudelaire ait trouvé que l'ennui était un vice, une erreur, une faute très grave, un péché, pas un malheur, on éprouve pourtant comme un malheur de s'ennuyer, moi en tout cas, je l'éprouve comme un malheur
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Il est traversé par une pensée vraiment bizarre, il se dit C’est vraiment bizarre de penser ça, pourquoi je pense ça, l’idée de rester là devant le tableau pour toujours.
Un point c’est tout.
Pour toujours.
Je reste là pour toujours.
Pourquoi je pense ça, se demanda Millefeuille. C’est bizarre.
Et non. C’est une idée simple, normale.
C’est ridicule, se dit Millefeuille, complètement ridicule.
Je m’en vais, il dit à voix haute, fort même.
(…) J’y retourne, dit Millefeuille, après un temps, j’y retourne. Je ne peux pas ne pas y retourner. Il se leva, il était quand même fatigué, mais il revint sur ses pas, et se planta de nouveau devant l’autoportrait. Il attendit un peu.
Au bout d’un moment, il entendit distinctement, Ça suffit l’agitation.
Il regarda autour de lui, personne. Évidemment, c’était le tableau.
Il soupira. Ensuite il dit, Je sais, je sais. Il avait envie de pleurer.
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Je me traîne, je suis fatigué avant de commencer la journée, je deviens vieux, se disait Millefeuille. Il dit la phrase sans y penser, ensuite il la considéra, la retourna dans tous les sens, elle n'en avait pas réellement, de sens, c'était clair, je deviens vieux, c'est clair.
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"On vit, on meurt, à chaque instant, quel sens ça a. En même temps faire le tour de la terre dans le sens du soleil, ou faire le tour de la terre sans regarder le soleil, bien sûr la terre est ronde , on arrivera tous au même point, mais ce n'est pas la même chose. Le problème, mon problème, le problème, c'est que j'ai peur de tomber dans un trou. On avance, on recule, on tombe dans un trou." (p. 232, éditions Folio)
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"Quand le poids de la haine a attaqué un coeur, c'est une double souffrance pour celui qui la porte en soi, il sent le poids de ses prorpres malheurs et gémit au spectacle du bonheur d'autrui."
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Videos de Leslie Kaplan (34) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Leslie Kaplan
Leslie Kaplan - L'Assassin du dimanche - éditions P.O.L - où Leslie Kaplan tente de dire de quoi et comment est composé "L'Assassin du dimanche" et où il est question notamment de femmes qui s'organisent et de collectif, de littérature et de hasard, de Franz Kafka et de Samuel Beckett, d'une usine de biscottes et du jardin du Luxembourg, à l'occasion de la parution aux éditions P.O.L de "L'Assassin du dimanche", à Paris le 21 mars 2024
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