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3,81

sur 277 notes
J'ai mis un peu de temps à comprendre qui était le fameux Punpun. Il est vrai que j'ai d'abord cru à une blague assez grotesque. Mais non, cette oeuvre se prend réellement au sérieux. C'est franchement pathétique par moment avec des grimaces omniprésentes et des situations ubuesques. La lecture m'a paru très enfantine avec un titre rappelant d'ailleurs « bonne nuit les petits », une vieille émission des années 70.

Par contre, je n'ai rien à redire sur le graphisme car c'est plutôt bien dessiné avec un décor présent et fourmillant de petits détails. On pourra trouver cela original car c'est une manière assez particulière de raconter les histoires. Cependant, j'ai l'impression que soit on y adhère et on trouve cela génial, soit on rejette l'idée en détestant.

En conclusion, un manga OVNI sur une tranche de vie plutôt mélancolique.
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J'ai été entraînée sans préavis dans la lecture de ce conte étrange qui m'a fascinée.
Son ensemble de personnages moralement répugnants mais néanmoins intéressants et tellement humains peuvent vous faire fuir au départ, mais une fois l'engrenage enclenché, vous serez captivés. Néanmoins, je préfère vous avertir, l'histoire n'est pas pour les âmes sensibles.

En effet, elle traite des thèmes tels que la violence domestique, le suicide, le viol, le divorce et la violence pour n'en nommer que quelques-uns. le casting est constitué d'un ensemble de personnes abîmées par la vie. Une palette d'alcooliques, de maniaques violents, de solitaires suffisants, d'idiots, ou encore de fous interagissant tous les uns avec les autres. Des amitiés se forment et se brisent, les relations sont consommées, des regrets se construisent. Et tout ce que vous faites en tant que lecteur, c'est d'observer ce monde à travers les yeux de quelqu'un qui ne le comprend pas, mais qui essaie désespérément de le faire.

En effet l'histoire suit Onodera Punpun et se concentre sur les luttes que son esprit éprouve afin de comprendre comment l'humanité fonctionne à mesure qu'il grandit. J'aime le fait que ce manga dépeint la vie sous sa forme la plus crue d'une façon très intime. Nous nous souvenons tous des erreurs que nous avons faites en grandissant et nous avons tous quelques squelettes dans nos placards. Oyasumi Punpun ouvre tous les placards et nous projette à l'intérieur sans nous épargner.

Ce qui rend ce manga si spécial et intéressant, ce sont les aspects psychologiques lourds qui entourent Punpun et son entourage tout au long de l'histoire. Ils ne sont pas là pour être sympathiques et appréciés. Ils sont humains et imparfaits, avec des défauts et des tares.

Le voyage de Punpun pour devenir adulte est difficile, rempli de problèmes familiaux, de problèmes romantiques, de sexe, d'alcool ou encore de dépression. Oyasumi Punpun n'est pas du tout une histoire heureuse, et Punpun ne passe jamais un chapitre sans être triste, se remettre en question, ou prendre une mauvaise décision à un moment donné. Il a de nombreux défauts et en grandissant, il commence à en remarquer de plus en plus et à collectionner les regrets. Au fur et à mesure que l'histoire progresse, il s'éloigne de plus en plus de l'enfant joyeux qu'il était et de ses rêves. Tout au long du manga, Punpun traverse différents drames, relations, problèmes et angoisses. Et pourtant, malgré son comportement violent, sa confusion, ses déprimes, ses défauts, il est étrangement facile à comprendre.

Ceci renforcé par l'apparence de notre anti-héro à l'allure d'oiseau simpliste en deux dimensions aux longues pattes maladroites. L'idée de donner à Punpun un aspect différent des autres personnages est un excellent moyen de montrer ses vraies émotions. Nous percevons la psychologie de Punpun et ses chamboulements alors que les autres personnages le perçoivent normalement. Comme si l'on pouvait voir à travers sa façade, c'est très intimiste.

D'un point de vue technique, les dessins sont absolument magnifiques. J'ai été émerveillée par la capacité d'Asano Inio à pouvoir à chaque fois adapter son style à l'ambiance et aux émotions qu'il cherche à transmettre. Les arrière-plans sont remarquables. Les nuits étoilées, les bâtiments, les appartements, tout est tellement détaillé qu'on s'y croirait.

Je conclurai en disant qu'Oyasumi Punpun n'est pas facile à aimer. Ce n'est pas une histoire légère et agréable à lire qui transmet de la joie et donne le sourire. C'est une représentation impartiale et bien trop réaliste de la vie et ses déboires. Oyasumi Punpun vous fera ressentir des sentiments profonds. Je ne peux pas dire que j'ai lu un autre manga si puissant, capable de transmettre une telle brillance artistique malsaine et doté de personnages convaincants.
Néanmoins, malgré la morosité qu'il partage, c'est devenu l'un de mes mangas préférés. C'est un chef-d'oeuvre qui montre comment fonctionne la vraie vie. Oyasumi Punpun offre ainsi un mot de réconfort pour les âmes perdues, pour les déprimés, pour les échecs et les personnes qui se cherchent. Vous n'êtes pas seuls. C'est peut-être l'un des mangas les plus déprimants, mais si vous pouvez gérer ce genre d'histoire ainsi que de nombreux thèmes matures, alors je recommande vivement Oyasumi Punpun. C'est ce genre d'histoires qui changent la vie et que vous ne devriez pas manquer.
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Punpun, un petit garçon représenté comme un petit oisillon… il fallait que je lise ça. D'ailleurs toute sa famille est comme lui, oiseaux minimalistes bidimensionnels à bec pointu, oeil en point, robe de fantôme et jambes en bâton - un certain air de parenté avec les shadoks – mais évoluant dans un monde dessiné (magnifiquement) en 3 dimensions, particulièrement fouillé et réaliste dans ses décors urbains, attachant dans les portraits très individualisés des autres personnages, qui sont loin des standards du manga.

Et pourtant, Bonne nuit Punpun est un récit réaliste, celui d'un petit garçon affrontant tous les problèmes et obstacles de la vie, avec ses rêves, ses questions et ses angoisses, ses copains, la fille dont il est amoureux, mais sans ses parents (en prison et à l'hôpital). le début d'une histoire qui doit le mener à l'âge adulte à l'issue des 13 tomes de la série (intégralement publiée en français).

Le mélange des deux styles de dessin magnifie la subjectivité et le sentiment d'étrangeté de Punpun dans un monde d'adultes qu'il ne comprend pas (et qui ne brille pas comme modèle), son caractère timide, une vision de l'enfance en dessins naïfs et tremblés, qui se transforment à mesure qu'il grandit.

C'est un récit avec de l'onirisme, de la tendresse, beaucoup d'humour et d'ironie, parfois cru. Un petit coup de coeur que je vais poursuivre sans doute jusqu'au bout.
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résumé bonne nuit punpun : j'ai pas compris.
On a punpun qui est un oiseau parmi les humains mouais pourquoi ? Au début je pensais même que c'était juste le copain imaginaire d'un des garçons.
On a des enfants représentés de manière très sobre ok mais pourquoi les adultes dénotent ?
On suit les enfants dans le quotidien et tout a coup une scène complètement décalée, sans rapport avec l'histoire et montrant des adultes complètement fous, pourquoi ?
je pourrais continuer longtemps car je n'ai compris aucun des choix du mangaka. C'est beaucoup trop décalé pour moi
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Si Punpun est un petit canard, c'est pour ne pas se focaliser sur son apparence mais plutôt sur son histoire. C'est que le petit Punpun a une vie de famille plutôt mouvementé, ses parents ont des sacrés caractères, ils en arrivent même parfois aux mains. Il faut dire qu'à l'école ce n'est pas mieux. Punpun est amoureux mais ne sait pas trop comment aborder cela. En plein milieu de l'adolescence, Punpun doit apprendre à gérer tout ça.

Ce premier tome m'a attiré par sa couleur jaune canari. En le feuilletant à la bibliothèque, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre, et ce plongeons vers l'inconnu c'est rapidement décidé.

Je n'ai pas réussis à me faire un avis qui trancherais entre "bon livre" et "mauvais livre". Punpun est très attachant. Cette apparence de canard nous emmène vraiment vers l'histoire du personnage plutôt que vers son physique. C'est donc un paris réussis pour l'auteur. Un grand bravo. Mais l'histoire en elle même... On ne comprend pas dès le premier tome où cela va nous mener. Quel est le but de ce premier tome ? Mettre les bases, certes, mais il faut un minimum de fond.

Je suis dure dans ma critique mais je n'en ai pas moins appréciée ce premier tome malgré tout. C'est ce petit canard qui m'a décidé à ouvrir le tome deux. Voyons si mon avis, plutôt sévère, se transformera par la suite !
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Punpun est... On ne sait pas ce qu'est Punpun, à part que c'est un individu de sexe masculin. Il va à l'école, a des amis (humains), est amoureux (comme on l'est à l'école primaire). Il a des problèmes familiaux : son père bat sa mère. Au point qu'un jour elle doit être hospitalisée. Son oncle s'installe, les parents divorcent.
C'est l'histoire d'une vie ordinaire, dans laquelle Asano rajoute son onirisme, ses petits décalages avec le réel. Ce n'est pourtant pas un manga pour les enfants, mais pour les adultes parce qu'il faut un minimum de recul pour se laisser happer par cet auteur et être ouvert d'esprit.
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Voici donc le commencement de cette série tant discutée et aux nombreux détracteurs autant que de fanatiques... Je suis estomaqué de ce que j'ai pu lire, qui est si différent de ce que j'ai pu lire jusqu'ici, dans ce genre... La banalité de la violence quotidienne et diffuse m'a brisé le coeur, et apercevoir cette vie cruelle appuyée par l'entourage de Punpun m'a fait de la peine. A découvrir. {16}

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Honnêtement je ne sais pas quoi penser de ce premier tome d'introduction.

Il ya des scènes qui sont quand même dérangeantes pour moi et qui m'ont fait plusieurs fois lever un sourcil interrogateur sur la bizzarerie de ce qui se passe.

Le personnage d'Aiko est toute mimi, je l'aime bien, elle ne se moque pas de Pun Pun sur ses idéaux de vie, au contraire, elle l'encourage.

Après Pun Pun, je ne sais pas quoi en penser, représenté comme un canari jaune, ainsi que toute sa famille, il fait face aux début de la pré-adolescence ou de l'adolescence ( sorry je me rappelle plus de son âge). Il fait donc face aux découvertes du premier amour, sa sexualité, mais aussi les choses quil veut entreprendre comme émigrer sur une autre planète.
Il fait aussi face aux violences familiales (son père bat sa mère), ce qui fait que son oncle va habiter avec lui maintenant. Il ne parle pas beaucoup de ce sujet, à vrai dire il ne parle pas beaucoup préférant observer le monde et réaliser le rêve d'Aiko.

A part cela, les dessins des paysages sont vraiment magnifiques, l'auteur n'a plus rien à prouver sur la qualité de ses dessins, et je me demande même comment il arrive à dessiner des choses aussi sublimes !

Bref un premier tome qui me laisse un sentiment assez mitigé, mais je pense continuer pour suivre les joies et les peines de notre petit Pun Pun.
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Impossible de poser correctement des mots, ou même de donner un sens, à ce que j'ai expérimenté devant Bonne Nuit Punpun, tant mon esprit a été chamboulé.

Il faut dire que la réputation de cet OVNI dans la sphère manga n'est plus à refaire, et m'avait déjà été maintes et maintes fois conseillé, au point que je retardais ma lecture, tant on m'avait prévenu sur l'impact qu'elle pourrait avoir sur moi. Croyant cette réputation un brin abusée, c'était donc avec une certaine curiosité et une appréhension somme toute naturelle que je debutais ma lecture.

Si j'avais su...

Les 13 volumes qui compose cette oeuvre nous amènent donc à la rencontre de Punpun, un jeune enfant simple au premier abord. Il a des amis avec qui il passe de bons moments, il souhaite devenir savant de l'espace... et il est amoureux d'une fille nommée Aiko.

Alors que le tableau se dresse et que les années filent à toute vitesse, on découvre rapidement les multiples composantes complexes de l'existence de Punpun : Gérer sa relation acommuniquante avec sa mère alcoolique ainsi que celle avec son père violent, tenter de comprendre son oncle dépressif, savoir qui est ce fameux Dieu dont l'immense tête surgit de nulle part même quand il ne le convoque pas, mais aussi et surtout... Aiko. Juste Aiko.

Sans entrer davantage dans les détails des différentes tranches de vie de Punpun, composées de l'école primaire, du collège, du lycée et de l'entrée dans la vie active, parlons plutôt de ce qui fait l'essence même de Oyasumi Punpun.

Tout d'abord, il y a le trait absolument sublime du mangaka, gorgé de détails et de signes et objets hétéroclites. À s'en décoller la rétine. Si son amour inconditionnel pour les paysages étoilés n'est plus à prouver, il y a aussi une certaine fascination à exagérer à des degrés grotesques les expressions faciales des personnages. Si il y a clairement une volonté justifiée de la part de l'auteur à les présenter ainsi, notamment parce que c'est la vision qu'a Punpun du monde qui l'entoure, il y a aussi un malin plaisir à dérouter le lecteur lambda.

Comme si l'auteur prenait un malin plaisir à nous distraire avec des rictus improbables ou même des panels psychédéliques nous montrant l'esprit en ébullition du protagoniste.

D'ailleurs, le protagoniste, ainsi que les membres de sa famille, sont les seuls personnages à être des oiseaux grossièrement dessinés. Ici, cela permet de diluer certaines scènes "crues", même si l'auteur s'en donne souvent à coeur joie pour l'expliciter au maximum.

Si le trait exceptionnel et réaliste de l'auteur, usant souvent de décalquage de photos pour poser ses décors, sublime l'ensemble et qu'il use à merveille de son concept étrange et singulier de personnages oiseaux, l'auteur maîtrise tout autant son écriture. Même si par moments, les multiples réflexions métaphysique et existentielles qui jalonnent l'oeuvre alourdissent les dialogues, ils offrent une portée universelle aux messages qu'ils véhiculent.

Du personnage marginal qui n'a jamais su s'intégrer en société à celui qui s'est inventé un dieu que lui seul peut voir en passant par un homme autoproclamé gourou devin, tout ce beau monde offre à réfléchir sur différents sujets avec une certaine justesse dans les arguments utilisés. Même si par moments, ces dites réflexions sortent un peu de nulle part, elles ont pour la plupart une réelle utilité dans le contexte et pourrait bien, qui sait, changer votre vision de vous même.

Alors que les tomes défilent, on passe d'un Punpun qui subit la violence du monde extérieur à un Punpun complètement en roue libre prenant des décisions imprévisibles et menaçant son propre équilibre. Dans cette véritable descente aux enfers, on prie qu'il y aura une lumière au bout du tunnel.

On réfléchit beaucoup en lisant Oyasumi Punpun, on pleure aussi, on voit notre esprit s'enflammer devant la puissance psychologique de certaines scènes, on s'indigne face à la cruauté de l'humain, on se prostre en craignant de ne jamais en voir le bout...

Cette oeuvre ouvre des portes de nos peurs et craintes pour que nous puissions mieux observer ce qui ne va pas au fond de nous, il osculte notre coeur, notre esprit et nos pensées pour mieux les toucher, et alors qu'on croyait simplement lire la dite oeuvre, on s'aperçoit presque trop tard que c'est elle qui a lu en nous.

On peste contre l'auteur, rageant d'avoir été floué, mais on gardera toujours en nous cette expérience de lecture inédite et intemporelle.
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Bonne nuit Punpun est le premier Inio Asano que j'ai essayé de lire lors de sa sortie en 2012, mais à l'époque je n'avais pas du tout accroché au ton décalé et dur de l'histoire. J'avais donc laissé tomber. Ayant gardé le tome de ma bibliothèque et ayant apprécié depuis ses autres titres tels Solanin, La fille de la plage ou Dead dead demon's dededededestruction, j'ai voulu redonner une chance à ce titre. Et j'avoue que ma seconde lecture est très différente de la première.

Bonne nuit Punpun est différent des autres titres que j'ai pu lire de l'auteur. Cela se voit de suite dans le choix très particulier et minimaliste des couvertures qui sont à chaque fois monochromes avec un personnage ou un événement qui se détache en relief. Cela se voit ensuite quand on commence à lire l'histoire et qu'on se rend compte que celle-ci a pour héros un personnage qui tient d'un mélange entre le canard et un enfant recouvert d'un drap pour jouer les fantôme alors que tous les autres (hors les membres de sa famille) sont humains et qu'à leurs yeux, il doit l'être aussi.

Bizarre, bizarre, vous avez dit bizarre ? En effet, c'est d'emblée le maitre mot de cette histoire au ton décalé. L'histoire est celle de Punpun, un jeune garçon, qui vit dans une famille dysfonctionnelle, qui va très rapidement éclater un soir. Mais Punpun est quelqu'un d'encore très naïf qui ne semble pas très bien comprendre ce qui se passe, normal pour un enfant allant à l'école primaire me direz-vous. du coup, cela donne un ton très décalé au récit malgré la rudesse des événements qui s'y produisent et c'est là toute la force du récit. On suit à travers le regard de cet enfant encore innocent la décadence de notre société : alcoolisme, violence, chômage, crise économique, harcèlement scolaire, pornographie, etc. En l'espace d'un tome, le petit Punpun et ses amis sont déjà confrontés à bien des horreurs de notre monde moderne.

L'autre force de ce titre, en plus de cette dénonciation de notre société qui part à vau-l'eau, tient dans la bande de copains réunie autour de Punpun. Lui, il est le grand naïf-timide du groupe, mais avec lui nous allons découvrir d'autres enfants, un peu livrés à eux-mêmes qui vont errer dans leur école, dans les maisons des uns et des autres et dans la ville. Ça rappelle ses bandes de copains qu'on voit dans les Goonies ou dans Stranger Things mais en plus trash ici. L'un a un père alcoolique, l'autre des parents qui appartiennent à une secte, un autre encore vit dans le pays des rêves, etc. Aucun n'a une vie simple et facile on dirait, et dans ce premier tome introduction, ils vont tomber par hasard sur un espèce de mystère urbain qui va les intriguer et les emmener dans une quête qui va sûrement nous tenir en haleine par la suite.

Bonne nuit Punpun est donc une très bonne surprise pour moi. Je retrouve la patte d'Inio Asano dans sa critique de la société japonaise. C'est âpre, c'est dur et en plus ça a une pointe de folie ici avec le personnage de Punpun, mais une folie douce et amère où le drame n'est jamais bien loin. Je sens qu'on est sans arrêt sur le fil et qu'il ne manque pas grand-chose pour qu'on bascule de la comédie au drame. Je suis désormais très impatiente de découvrir la suite, qui pour le coup sera totalement inédite pour moi.
Lien : https://lesblablasdetachan.w..
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