Je ressens comme une gêne dans les photographies de
François-Marie Banier. On ne pas dire qu'il ne sache ni voir, ni photographier dans la rue. Il sait le faire, parfois avec humour, parfois avec violence, parfois avec voyeurisme.
Mais, je trouve qu'il se donne trop dans la facilité, la redondance, le déjà-vu. En fait, il nous donne trop à voir et à ne pas décider d'une ligne de pensée, à ne pas trier entre ses images pour en faire ressortir leur force intrinsèque pour certaines, il m'indispose en essayant de m'imposer à voir.