Quelque peu furieux d'avoir perdu tant de temps à lire ce poncif !
De quelle passion s'agit-il ? de Mariane ? Sans doute de la littérature plutôt...
Mais tout cela se traduit en une suite ininterrompue de coucheries ; et tout cela dans une langue aux phrases étirées à l'infinie : cet allongement tient surtout à une énumération de redondances qui n'ajoute aucun sens secondaire ou sous-entendu. J'ai l'impression que l'auteur se délecte de ces allongements et qu'il se regarde écrire comme on se s'écoute parler sans tenir compte de son interlocuteur.
A eu le prix Médicis en 1985 ! on croit rêver !
A fuir !!!
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Malgré bien des efforts, je n'ai pas pu dépasser les 70 premières pages, pages consacrées à la vie du foetus , le futur Axel, qui observe sa famille.
Ce livre a obtenu le prix Médicis. Je l'ai trouvé imbuvable, vulgaire.
Voici un extrait:
"Vingt ans plus tard, l'angoisse physiquement insupportable que j'eus de voir le paysage devenir plat et glisser tout d'une pièce, dans une fente du néant, m'a paru transposer une ancienne, première angoisse, celle de voir disparaître le sexe de mon père en Suzanne, là où j'étais né, mais d'où tant d'autres enfants possibles, l'armée noire de mes frères, n'étaient jamais revenus.
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C'est une lecture très très ancienne : plus de 30 ans ! Pourtant j'en garde le souvenir très présent : un petit garçon aimant-é (par) une petite fille (sa cousine, je crois ?) qui passe sa vie à attendre une connivence amoureuse. C'était plutôt joyeux quoique un peu triste, j'en garde un souvenir doux.
Commenter  J’apprécie         20 Michel BRAUDEAU :
La non-personneDevant des journaux ouverts à la Bibliothèque Publique d'Information du Centre Beaubourg,
Olivier BARROT présente le livre "La non personne" de
Michel BRAUDEAU paru chez GALLIMARD