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EAN : 9782207109502
480 pages
Denoël (05/01/2011)
3.55/5   121 notes
Résumé :
Parfois on extrait une écharde. Parfois on s'extrait d'une écharde. Le reste importe peu. Le reste n'est que ce long processus de désamour qui ramène toutes les petites filles à des rivages où elles désapprennent la douleur, la compromission, l'abnégation, le tourment – où les chagrins sont moins poignants et le plaisir moins dense.
Ellie, vingt ans, mène une existence légère et insouciante jusqu'au jour où elle rencontre Monsieur, un chirurgien marié approch... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (26) Voir plus Ajouter une critique
3,55

sur 121 notes
Au fil des pages de ce roman, l'érotisme s'accentue frôlant son apogée, sans jamais l'atteindre, à tel point qu'il est tentant de se demander où cela peut mener. L'histoire, nous le savons dès le départ, est vouée à l'échec, mais le ton reste intelligemment mystérieux pour nous perdre dans un vertige érotique.
Si « roman » semble être le genre choisi, Emma ne rougit pas derrière Ellie. Elle rend à la littérature ses lettres de noblesse, en jouant de l'indicible. Si presque tout est raconté, elle peut être fière de donner derrière chaque mot, pesé, réfléchi, une puissante argumentation. La jeune Emma impressionne par la maturité de son style.

Certains auteurs prétendus "sulfureux" s'étonnent du courage qui consiste à briser des interdits pulvérisés depuis des années. « Mr » impressionne, non pas avec ses scènes érotiques transparentes, racontées sans pudeur, mais plutôt par la capacité de l'auteure à précisément écrire des désirs.

Ellie et « Monsieur » deviennent des figures littéraires en apparaissant comme des personnages hautement problématiques

Monsieur est marié, Ellie a 20 ans, une flopée de garçons à ses pieds, ils ne se connaissent presque pas, ne partagent que des draps. Où se situe l'attirance ? Dans l'éphémère, le péremptoire, les parenthèses ? le corps de l'autre, ou sa totale dévotion ? La séduction ou la soumission ?

Ellie détaille chacune de ses émotions, mais écoute aussi le moindre sursaut ou souffle du mystérieux Monsieur. Elle retranscrit chaque geste, mot, et les dissèque au scalpel.

La jouissance est analysée, le plaisir justifié. « Mr » s'apparente à une mécanique des hommes, écho moderne à Calaferte.

Emma Becker nous a prouvé, si tant est qu'il faille encore le faire, que le corps n'est pas si mécanique que l'on croit, elle écrit avec sa chair.

J'ai trouvé là une écriture " Superbe " pour une jeune auteur (22 ans ) dont c'est le premier livre, qui traite d'un sujet " combien délicat " !!
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S'il existe un prix littéraire de la plus mauvaise scène de sexe, c'est bien que l'exercice est difficile. S'il y a bien un prix qu'Emma Becker ne remportera pas, c'est celui-là.
La Maison est un de mes coups de coeur de cette rentrée littéraire : ambitieux, littéraire, sororal... "un putain de roman" pour citer Jérôme Garcin. Alors j'ai emprunté Mr pour voir si son tout premier roman était dans la même veine.
Et j'en ressors encore plus bluffée : à 22 ans, écrire un roman de cette qualité !
C'est une superbe histoire, celle entre une jeune femme et un homme de vingt ans son aîné, tous les deux férus de littérature érotique. Leur passion commune pour Calaferte, Pieyre de Mandiargues ou Aragon va les conduire dans une chambre d'hôtel parisienne et dans une relation sans issue. Elle se refuse à le dire mais elle l'aime en sachant pertinemment qu'elle n'est pas la seule et que cette relation ne la mènera à rien. Mais le plaisir est tel...
Un homme d'âge mûr qui couche avec une jeune femme, c'est un lieu commun en littérature. Que ce soit la jeune femme qui en parle crûment, sans chercher à embellir quoi que ce soit, sans pudeur, avec humour aussi, que ses copines soient témoins et conseillères sans faux-semblants, c'est plus rare. Et c'est dommage... Parce que là encore si l'auteure parle beaucoup de cet homme, ce Monsieur, dominant et séducteur, qui la vampirisera pendant des mois, c'est en fait sur elle en tant que femme qu'elle écrit. Elle qui est dépendante de cette relation, qui aimerait plus, qui s'en veut d'attendre ces messages comme des bouées de sauvetage. Et cela parlera à tous ceux qui ont passé des heures face à l'écran noir, désespérément noir de leur téléphone.
A ceux qui ont aimé La Maison, un seul conseil, lisez Mr !
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Ellie, dans ce roman, se confie sur une relation qu'elle a eue à 20 ans avec un homme de 26 ans son aîné.
Cet homme est un ami de son oncle. Toute sa famille le connait.

Ce qui était à la base un défi pour elle, va se transformer en amour, mais un amour impossible, puisque Mr est marié et père de famille.

Comme dans "La Maison", qui se passe et est écrit après ce roman, elle décrit sans détour ses relations charnelles avec cet homme.

L'impudeur, la bestialité, le sexe sans tabou, le plaisir intense sont maîtres mots ici.
Ces rencontres furtives deviennent très vite addictives.

Portés par l'euphorie de la nouveauté et de l'interdit, les deux amants apprécient ces moments clandestins.
Mr initie la jeune femme au plaisir intense de la chair.

Mais très vite , on comprend que la relation bascule pour Ellie.
Elle décrit à merveille l'attente qui la ronge en attendant le prochain rendez-vous.
Elle vit, respire, bouge pour lui.
Mr la domine et s'en amuse.
Elle, elle subit et devient spectatrice de ce qui était à la base un jeu.

J'ai beaucoup aimé ce roman autobiographique (plus que La Maison). On retrouve la touche particulière de cette auteure, une plume franche et incisive qui ne prend pas de détour et qui appelle un(e) chat(te) un(e) chat(te).
Son style peut déranger car il est cru et sans détour.

Ça ne plaira pas à tout le monde, mais c'est ce qui fait sa force et elle aborde des sujets qui parlent à toutes les femmes.
La "déroute" de cette histoire m'a touchée, car finalement on connaît toutes un jour ou l'autre, des Mr.
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Il y a quelque temps je suis tombé dans les rets de Emma Becker (L'incoduite, La Maison). Et dans ces temps de Sea, Sun et (no?) Sex une amie m'a demandé si je n'avais pas de la lecture érotique. Bof, je lui dis, pas grande chose. Il y avait le Boucher, Mise en pièce, Qu'est-ce que Thérèse… livres dont parlait aussi l'essai « Lire, écrire, jouir » en décembre dernier. Donc finalement pas grande chose. Il y avait aussi le grand monologue d'un homme dans Corky (J.C. Oates, qui sait si bien mettre des mots sur les scènes charnelles)…. Si seulement elle m'avait demandé un peu plus tard.

C'est que j'ai trouvé « mieux ». Chez mon bouquiniste, je tombe sur la version poche de « Mr » le premier livre de E. Becker (que les anglais vendent sous le signe de « à la croisée de Colette et Catherine Miller » – pour moi, rien à voir). Déroutant, parfois limite malaisant mais d'une vraie plume (pas de ces plumes de caresses !), d'une écriture très forte. On sent que Madame E. a potassé les écrits de MalaparteLa peau ») ou notamment « La mécanique des femmes » de Calaferte), Aragonle con d'Irène »), Baudelaire, Sade etc…qu'elle a bien étudié les mécanismes de la littérature épistolaire et qu'elle, vraiment surprenant, peut être érotique même dans les passages dans lesquelles elle ne décrit pas des étreintes ou réfléchit sur la différence de ressenti et sonorité p.ex. à l'écoute des mots « sodomie » et/ou « enculer ».

Je dis ça pour vous prévenir, ce n'est pas à l'eau de rose, c'est cash, mais avec des embardés formidables, notamment lors de la descente aux enfers de l'attente. Déjà ce prénom (genre 50 shades….) Ellie – j'ai lu cela comme « elle au lit » ou « elle lit » ou même « elle lit au lit (aussi) ». Ah, ce « i » du mot ma nuit….

Ok, ça parait éculé cette histoire d'une fille (étudiante) – qui voit toutefois d'autres hommes « à côté » – de 20 ans qui partage avec un homme de 46 ans (chirurgien – ahh ces blouses blanches) une passion pour la littérature érotique et bientôt la mise en pratique de la bête à deux dos – les mardis. Des expériences qui la secouent (les descriptions de ces vagues d'émotion sont saisissant – pour un homme) et laissent la devenir comme une héroïnomane en manque (du sexe de lui).

Le livre (de poche) a 507 pages, et c'est à la page 240 que le nuage sur lequel flotte la chère Ellie va se désagréger de la manière la plus « banal ». le « Dieu », qui la fait frémir va jouer le mode « silence total » – il part sans la contacter, et fini l'existence pour lui que deux heures par semaine. C'est qu'il est marié et a d'autres conquêtes…. d'autres nymphettes ou Lolita aux seins défiant Newton. Je ne suis jamais qu'une parenthèse dans la vie de Monsieur, et aussi accaparante ou passionnante que puisse être une parenthèse, après tout ça n'est jamais qu'un minuscule insert au milieu d'un texte déjà dense, une technique ornementale à laquelle on a recours lorsqu'il est impossible d'ajouter une phrase en plus. Je ne suis qu'une parenthèse parmi d'autres, oubliées au fur et à mesure, tandis qu'Estelle reste, année après année, assise sur le même piédestal – et ça n'est pas une métaphore : il existe une photo prise durant l'anniversaire de leur troisième fils, où on la voit sautant dans les airs, assise sur une chaise portée par une dizaine de personnes. Parmi elles, invisible au premier coup d'oeil, Monsieur qu'on entend presque éclater de ce grand rire juvénile en la couvant d'un regard où explosent tout l'amour et toute l'admiration du monde. Je suis restée plusieurs minutes à les fixer tous les deux avec mon coeur qui hésitait à saigner, éblouie. D'accord c'est voyeuriste, nombriliste mais permet d'entrer (par la porte d'une langue bien pendue) dans la forêt mystérieuse de l'intimité d'une femme (même si celle-ci semble insatiable à un point qui m'interroge). Et se dessine déjà l'art du portrait que Emma Becker peaufine dans la suite de son oeuvre (même s'elle est certainement un peu surestimée). J'ai « kiffé » la fin du Livre I de ce roman – il s'agit de la « conception très cinématographique » de la découverte (imaginée) par la femme de Monsieur, Estelle (« son port d'attache ») que son mari la trompe. (p. 223 – 240). C'est jouissif et avec juste la pointe d'humour qu'il faut. le livre est empreint d'un humanisme et d'un réalisme cru sur ce qu'un homme finalement lâche et ordinaire peu créer comme tsunami émotionnelle.
C'est drôle, cette relation conflictuelle que j'ai toujours eue avec ma chatte, et Monsieur qui chaque fois semble tout à fait innocent de cela. Qu'est-ce qu'ils ont tous, qui les pousse si irrésistiblement vers ça ? Que voient-ils ? Que peut-il y avoir de si passionnant dans ce que je regarde ente mes jambes ? Deux lobes de chair tapissés d'un pelage brun, brillant comme celui d'une loutre ; on dirait la gueule d'un anima, narrée d'une large fente – et ces ondulations gracieuses, ces dentelles de l'amour dont parle Aragon, est-il possible que Monsieur les trouve aussi poétiques ? Pourquoi suis-je incapable de voir autre chose qu'un excédent de chair ? J'aurais adoré avoir une de ces petites chattes closes comme une bouche timide, qui s'écartent et se découvrent avec les doigts. Un coquillage en pâte d'amande, renfermant des miniatures de lèvres nacrées, le petit museau du clitoris, une brèche à amadouer pour qu'elle apparaisse. Et au lieu de ça, à l'époque de mes premiers poils le pudique abricot duveté des gamines s'est mué en cette chatte bavarde de fil porno, débordante, constamment ouverte en un sourire obscène, même lorsque baiser est la dernière chose à laquelle je pense."
Je conseille – mais sachez que les scènes (et les pensées retranscrites) peuvent heurter des âmes sensibles (je m'abstins de passer des extraits « hard ») – toutefois je trouve que les scènes de masturbation (volontaires ou sous ordre) vont au-delà d'une description « cliniques » on est comme assis, tout petit, sous le lobe de l'oreille et écoute les pensées de la femme (aussi bien agréables que non)…

Lien : https://lorenztradfin.wordpr..
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C'est l'histoire d'Ellie et de Monsieur. Monsieur est chirurgien, il est marié et a 45 ans. Ellie est étudiante, elle en a 22. Ils se trouvent grâce à la littérature érotique et se découvrent dans une chambre d'hôtel du XVème. Leur relation est sauvage, sale. La fin l'est autant et le retour à la réalité fait mal.

Le roman m'a à la fois plu et déplu. J'ai trouvé l'histoire de cul entre les deux personnages crade, déséquilibrée et perverse. En même temps le personnage d'Ellie m'a touchée. Sa fragilité est émouvante, de même que sa façon de s'attacher à un homme et à une histoire dont elle sait parfaitement qu'ils pourraient la détruire. L'histoire sonne juste, aussi parce que le lecteur sait bien qu'il suffit de peu pour basculer, ce moment où l'on arrête de se respecter. Non pas qu'il y ait un bon et un méchant, la gentille fille innocente et le méchant vieux pervers, ce n'est clairement pas l'objet et le roman est bien plus subtil que cela.

Et puis qu'est-ce que c'est bien écrit ! L'auteur frappe fort pour son premier roman. Il est bardé de références à ses auteurs érotiques préférés, c'est d'ailleurs avec cette passion commune que le personnage principal se lie à Monsieur, d'abord par mail avant de se rencontrer enfin. le style est fluide sans être simpliste, trash sans être vulgaire. J'adore !
Lien : http://leclubdesnatifsduprem..
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critiques presse (1)
Actualitte
16 juin 2011
Emma Becker nous a prouvé, si tant est qu’il faille encore le faire, que le corps n’est pas si mécanique que l’on croit. Sa littérature à elle vient de sa chair.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Je ne suis jamais qu'une parenthèse dans la vie de Monsieur, et aussi accaparante ou passionnante que puisse être une parenthèse, après tout ça n'est jamais qu'un minuscule insert au milieu d'un texte déjà dense, une technique ornementale à laquelle on a recours lorsqu'il est impossible d'ajouter une phrase en plus. Je ne suis qu'une parenthèse parmi d'autres, oubliées au fur et à mesure, tandis qu'Estelle reste, année après année, assise sur le même piédestal - et ça n'est pas une métaphore : il existe une photo prise durant l'anniversaire de leur troisième fils, où on la voit sautant dans les airs, assise sur une chaise portée par une dizaine de personnes. Parmi elles, invisible au premier coup d'oeil, Monsieur qu'on entend presque éclater de ce grand rire juvénile en la couvant d'un regard où explosent tout l'amour et toute l'admiration du monde. Je suis restée plusieurs minutes à les fixer tous les deux avec mon coeur qui hésitait à saigner, éblouie.
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Et moi, tu crois que j'aime être ça ? Être une huître quand tu n'es pas là, constamment ouverte à attendre tes messages et tes appels, à les attraper au vol ? Être une chatte en chaleur qui se tortille croupe en l'air sur le mur en bas de chez toi, miaulant à s'en fendre l'âme avec sa petite fente trempée, attirant sans le vouloir tous les mâles à la ronde - et qu'est-ce que je peux bien faire, dans mon obsession morbide de toi ? Je veux dire, à part les laisser me prendre pour passer le temps en mourant d'envie de leur marbrer la gueule à grands coups de griffes ? Tu crois que ça me plaît, me forcer à ne pas penser à toi des journées entières, avec l'espoir dérisoire que mon silence tuera le tien ? ça ne marche jamais tous ces efforts. C'est comme ça, je me suis noyée dans ton ombre [...] Dernièrement, à part manger ou dormir; je ne fais rien dont je ne puisse être fière, rien qui ne me rattache pas à toi [...] J'ai vingt ans et je pourrais bouffer le monde, mais je ne peux pas parce que c'est toi qui me bouffes. Qui n'a pas une vie très facile en ce moment, à ton avis ? Qui en crève le plus ?
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Si je t'embrassais maintenant, comme je l'ai souvent rêvé, comme j'en meurs d'envie, ce serait avec toute la force du désespoir, parce que tu es le fils de cet homme que je ne parviens pas à oublier, et que tes baisers me feraient sans doute le même effet que la méthadone prescrite en pis-aller aux héroïnomanes repentants - si tu savais combien je les ai cherchés, ces Presque, ces Pas tout à fait, ces Oui mais non. Imagine quelle valeur tu as pour moi, qui me suis gorgée de copies imparfaites de ton père.
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Je ne suis jamais qu'une parenthèse dans la vie de Monsieur, et aussi accaparante ou passionnante que puisse être une parenthèse, après tout ça n'est jamais qu'un minuscule insert au milieu d'un texte déjà dense, une technique ornementale à laquelle on a recours lorsqu'il est impossible de rajouter une phrase en plus.
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« Parfois on extrait une écharde. Parfois on s’extrait d’une écharde. Le reste n’est que ce long processus de désamour qui ramène toutes les petites filles à des rivages où elles désapprennent la douleur, la compromission, l’abnégation, le tourment – où les chagrins sont moins poignants et le plaisir moins dense. »
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"C'est beau, un beau roman. Ce n'est pas méprisable, mais la vérité seule donne le ravissement parfait." Ces quelques phrases, écrites par Jules Renard dans son journal le 3 septembre 1902, montrent déjà l'importance de la question de la vérité du roman. Et pour notre invité du jour, Laurent Binet, qui invente de livre en livre de nouvelles manières de raconter L Histoire, c'est une question cruciale. Comment dire L Histoire sans la romancer ? Ou plutôt, comment la romancer en respectant sa véracité ? Voici une partie des questions que nous abordons au fil d'un entretien, qui est aussi un parcours dans l'oeuvre de Laurent Binet. Et pour la découvrir, nous entendrons aussi les voix de nos libraires Marion et Michaël, qui nous parlent de leur lecture jubilatoire des quatre romans de l'auteur.
Bibliographie : - HHhH, de Laurent Binet (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/1251668-hhhh-roman-laurent-binet-le-livre-de-poche ;
- La Septième Fonction du langage, de Laurent Binet (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/9969084-la-septieme-fonction-du-langage-roman-laurent-binet-le-livre-de-poche ;
- Civilizations, de Laurent Binet (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16139467-civilizations-roman-laurent-binet-le-livre-de-poche ;
- Perspective(s), de Laurent Binet (éd. Grasset) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22535980-perspective-s--laurent-binet-grasset ;
- Dans une coque de noix, de Ian McEwan (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/15057428-dans-une-coque-de-noix-roman-ian-mcewan-gallimard ; - Les Veines ouvertes de l'Amérique latine, d'Eduardo Galeano (éd. Pocket) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/368604-les-veines-ouvertes-de-l-amerique-latine-es-ve--eduardo-galeano-pocket ;
- Mémoire du feu, d'Eduardo Galeano (éd. LUX) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/3775616-memoire-du-feu-les-naissances-les-visages-e--eduardo-hugues-galeano--lux-canada ;
- Les Enfants des jours, d'Eduardo Galeano (éd. LUX) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/8926612-les-enfants-des-jours-un-calendrier-de-l-his--eduardo-galeano--lux-canada ;
- Une sortie honorable, d'Éric Vuillard (éd. Acres Sud) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/19971146-une-sortie-honorable-eric-vuillard-actes-sud ;
- L'Inconduite, d'Emma Becker (éd. J'ai lu) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/22563715-l-inconduite-emma-becker-j-ai-lu.
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