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3,82

sur 619 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Rome ne s'est pas faite en un jour, mais pourrait bien être détruite en quelques heures. Sur cette idée aussi emballante qu'aventureuse, le nouveau thriller de Donato Carrisi nous emmène sur des terres assez inattendues.

Ce roman permet de retrouver deux des personnages rencontrés dans le tribunal des âmes et Malefico : Marcus, prêtre du Vatican, qui a pour fonction de déceler le mal et dont le métier se rapproche d'un profiler, et Sandra, spécialiste photo au sein de la police. Une intrigue qui va les mettre au coeur de l'action.

Tenebra Roma est un récit qui plonge le lecteur dans la Rome de(s) église(s) et dans une ambiance apocalyptique, inédite chez l'auteur. Une ambiance sombre, où Carrisi privilégie l'action autour d'un casse-tête typique des thrillers : amnésie, complot, tueur en série…

Mais l'auteur n'est pas le premier venu et sait donner un souffle énergique et prenant à son histoire, en bonne partie grâce à ses protagonistes et avec la ville de Rome, personnage à part entière. Même si le roman peut se lire seul, il prend clairement une autre dimension lorsqu'on a lu les deux précédents épisodes.

Tenebra Roma est richement documenté, et l'écrivain italien a parfaitement digéré cette documentation pour rendre l'intrigue absorbante et mystérieuse. Une pROMEnade mortifère à travers la capitale italienne, version monochROME, ton noir sur noir.

Il faut dire que la ville, plongée dans des ténèbres absolus (black-out total), a de quoi fasciner et effrayer. La nuit est propice à la prolifération du mal, tel un fibROME qui se révèle être un cancer enfoui dans les organes de la capitale depuis longtemps.

Cette intrigue m'aura passionné, mais aussi frustré. L'histoire ne faiblit jamais, les surprises sont légion, la narration d'excellente facture. Mais, moi qui aime tant les univers (post) apocalyptiques, j'ai regretté le choix de l'auteur de proposer un roman si court (300 pages). le sujet avait le potentiel pour en faire le double, en accentuant cette vision dantesque d'une catastrophe. Dommage.

Tenebra Roma est un bon Donato Carrisi, même s'il n'atteint pas le niveau d'émotions suscité par Malefico, à mon sens. Un thriller captivant, une pierre de plus à l'édifice d'un auteur devenu incontournable.
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« Tenebra Roma » est le troisième volume de la série du Tribunal des Ames. le décor reste identique et on n'est pas dépaysé. Seulement, pour cette aventure d'une nuit, Rome est en train de subir un blackout qui plonge la ville dans le chaos. L'atmosphère est donc sombre et imprévisible. On y retrouve les deux personnages principaux si différents et pourtant si proches. Au fil des épisodes, l'auteur lève le voile sur leurs personnalités, même s'ils restent vraiment mystérieux.

Alors non, le nouveau Donato Carrisi n'est pas exempt de tout reproche. Une nouvelle fois, il est question de meurtres en série, teintés de religion et d'ésotérisme. En suivant les pistes des crimes, les deux héros se retrouvent embarqués dans la même galère qui va leur permettre de sortir au grand jour une imposante machination qui les dépasse complètement. Comme souvent, le narrateur utilise des raccourcis parfois faciles et n'est jamais avare de clichés. Les ingrédients qui faisait la réussite de l'épisode précédent, sont recyclés à l'identique. Il pousse même la ressemblance à employer l'amnésie de Marcus afin de se faciliter la tâche quant à la complexité du scénario.

Vous aurez donc compris que vous ne trouverez pas d'originalité dans cet opus mais simplement l'application d'une recette qui a déjà fait ses preuves. Mais allez savoir pourquoi, ça fonctionne toujours sur moi ! Ces petits défauts, qui pourraient m'agacer chez d'autres, n'ont entravé en rien le plaisir que j'ai pris à la lecture de ce nouveau Carrisi. C'est peut-être grâce aux protagonistes atypiques qui se dévoilent petit à petit au fil des épisodes ou grâce à cette histoire à tiroirs qui nous surprend jusqu'au bout, mais j'ai encore pris un vrai plaisir à me laisser berner.

Je ne sais pas s'il est préférable d'avoir déjà lu une aventure de Marcus et Sandra, pour pouvoir mieux savourer l'ensemble. Dans ce cas-là, vous ne vous ennuierez jamais, vous profiterez de l'évolution des personnages mais vous risquez de reconnaître les ficelles et d'être un peu moins emballé. Et au contraire, si c'est votre première fois avec ce grand auteur italien, vous aurez la chance d'être novice et de tomber dans le panneau à coup sûr. Les deux options ont le mérite de vous faire passer au lecteur un moment plein de suspense malsain dans les quartiers sombres de Rome.
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Je me suis fait avoir!!

Ma lecture en format numérique manquait sûrement une cinquantaine de pages.
Ce n'est vraiment pas cool de terminer l'intrigue sans fournir suffisamment d'information.

OK j'étais sans souffle durant ma lecture, mais j'aurais sûrement été en mesure de tenir encore un peu plus longtemps, avant de m'évanouir.

Petite référence pour mes amis Babelio.
En 1998, le Québec a été frappé par un verglas en plein mois de janvier. Plus de 4 millions de personnes touchées (dont votre humble ami) par une coupure d'électricité qui a durée de quelques jours, jusqu'à 5 SEMAINES ! (selon les régions).

Alors imaginer qu'un petit 24 heures ferait basculer Rome dans le chaos est un peu fort pour ma part.
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J'aime l'univers que Donato Carrisi a créé, le Stephen King du monde ésotérique du Vatican. Tenebra Roma est une histoire de fin du monde localisé à la ville de Rome pendant 24 heures, On retrouve de nouveau Marcus exécutant du Tribunal des Ames et Sandra photographe judicaire pour les scènes de crime. Les dons des fidèles qui finissent en pierres précieuse pour orner le cou des Cardinaux et leur vie somptueuse, il suffit d'un message répété et répété ad nauseam a la radio pour que le peuple privé de lumière succombe au mal ex.(Rwanda). Un très bon roman une démonstration efficace de la fin d'une société avancée vers les ténèbres.
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Une bulle du pape Leon X en 1521 met en garde la chrétienté : la ville éternelle "ne doit jamais, jamais, jamais se retrouver dans le noir complet" sous peine de chaos total. En ce mois de février, des pluies torrentielles et des orages terribles (effet du dérèglement climatique ?) engendrent des pannes dans les centrales électriques qui alimentent Rome et les autorités prévoient un black out total pour réparer les dégâts. Les ténèbres s'abattent donc sur la capitale italienne, replongent la ville dans le Moyen-Âge en la livrant selon la prophétie papale aux meurtriers et aux pillards dont les actes laissent la police complètement dépassée. Des crimes atroces sont commis : un évêque, un dealer, un marchand de jouets, un alchimiste sont retrouvés morts. Ils ont en commun un étrange tatouage. Les conditions de leur passage à trépas laissent penser à des crimes rituels. Marcus, un prêtre pénitencier amnésique, se retrouve sur la trace du meurtrier en compagnie de Sandra, un membre de la police scientifique, chargée d'analyser un film laissé par le criminel sanguinaire pour preuve de ses exploits. Entre un tueur en série emprisonné depuis vingt-trois ans dans une geôle secrète du Vatican, la mère d'un enfant enlevé neuf ans auparavant, une secte ésotérique, nos héros auront fort à faire, dans une ville plongée dans le noir et envahie par les eaux débordantes du Tibre, pour dénouer le fil de l'histoire.

Il y avait plusieurs mois que je n'avais plus lu de thriller style Franck Thilliez, Dan Brown, Harlan Coben ou Maxime Chattam. Je ne connaissais pas Donato Carrisi et je n'en avais même jamais entendu parler avant ces derniers jours malgré les succès de librairie qu'il avait remporté avec ses romans précédents (comme quoi, on a beau s'intéresser à la littérature, nombreux sont les livres et les auteurs qui passent aux travers). Il a fallu que ma belle-mère me parle de cet auteur pour que son nom vienne à mes oreilles et à l'occasion d'un long week-end à la campagne, quelques jours plus tard, j'ai découvert ce livre dans la bibliothèque de nos hôtes et la 4ème de couverture m'a tenté. Je me suis donc lancé dans sa lecture. D'une écriture fluide et aisée, ce roman se lit d'une seule traite. Tout y est noir, l'ambiance, les lieux palais ou égouts , les chaussures .... ah non les chaussures sont blanches (faut-il y voir un signe d'happy end ?) L'intrigue est sombre et d'un bon niveau sans une complexification inutile comme on en trouve souvent, les rebondissements nombreux et sombres et les personnages intéressants mais sombres, même s'ils manquent de profondeur psychologique (mais ce n'est pas ce que l'on recherche forcément dans ce genre de lecture). J'ai rapidement compris que Marcus et Sandra avaient déjà vécu des aventures ensemble bien que l'auteur ne donne pas au lecteur tellement d'explications sur le passé des héros et sur les relations ambigües qu'ils entretiennent. Cela n'entrave nullement la lecture de ce thriller qui m'a fait passé un bon moment mais je ne vais pas me précipiter pour autant sur les volumes précédents pour mieux connaître le prêtre du Tribunal des Âmes et la policière tourmentée.
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Tenebra Roma est la dernière pierre de la trilogie de la pénitencerie.

Comme dans les précédents tomes et comme l'indique le titre l'intrigue se déroule à Rome. Dans une Rome où pendant 24h le courant électrique est coupé, le temps de réparer une centrale électrique endommagée par les intempéries qui font ravages. Le black-out est annoncé à la population. Il aura lieu à 7h41.

Peu de temps avant, une mère de famille reçoit un appel téléphonique dans lequel elle entend la voix de son fils disparu il y a 9 ans, égaré pendant une visite du Colisée. Kidnapping.

Sandra notre policière qui officiait auparavant en tant que photographe de scène de crimes est aujourd'hui au service des passeports. Elle est mystérieusement convoquée par sa hiérarchie pour une affaire d'homicide. Un homicide macabre, filmé par un téléphone portable dans le lequel la victime meurt en absorbant de la soude. Une photo d'elle se trouve dans ce téléphone.

Notre pénitencier Marcus (prêtre profiler) quant à lui se réveille dans un lieu où règne l'obscurité, de la boue et avec les mains menottées dans le dos. Il ne se rappelle pas des dernières heures passées, nouvelle amnésie mais transitoire cette fois pour notre ami du clergé.

Respectant son style habituel Donato Carrisi nous offre encore un orageux thriller à suspense.

Néanmoins j'ai trouvé cette fois l'intrigue un peu bancale. Il sait nous mener et nous perdre de pistes en pistes mais les ficelles ne sont pas aussi bien tirées qu'à l'accoutumée. Je n'ai pas compris ce rôle de l'inspecteur Vitali tantôt au service de son pays tantôt violeur ?! J'aurai apprécié que le personnage de Cornelius soit plus approfondi je pense qu'il y a matière à en tirer davantage. Même ressenti concernant Shalber personnage que l'on rencontre dans le premier roman de cette trilogie « le tribunal des âmes » et que j'espérai retrouver dans une des suites. L'auteur a-t-il voulu se laisser des ouvertures pour éventuellement continuer cette saga ? Je l'espère car il y a de quoi écrire, de quoi nous nourrir, et j'ai l'amère impression qu'il manque quelque chose à toute cette aventure. Une aventure inachevée.
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Rome est plongée volontairement dans le noir pour 24h suite à de grosses intempéries et des dommages causés aux Centrales électriques.
Et c'est un retour à la bougie et aux monstres qui se cachent dans l'obscurité, la peur primale du noir…
Oui, des monstres, parce que « Rome ne devrait jamais, jamais, jamais, se retrouver dans le noir. », c'est le pape Léon X qui l'a dit. Il y a 500 ans, certes, mais quand même! C'est douloureusement d'actualité tant l'angoisse s'installe.

Marcus, le prêtre de l'ordre des pénitenciers, est de retour dans un sacré guêpier où sa vie est en jeu et sa nouvelle amnésie complique encore davantage la résolution de l'enquête dont il a la charge.
Et quel est cet enfant qu'il devient urgent de retrouver alors que sa disparition remonte à tellement d'années?

Sandra, ancienne photographe criminelle, traumatisée par les horreurs dont elle est témoin, est pourtant volontaire pour replonger quand elle s'aperçoit que Marcus est impliqué. L'attraction entre ces deux-là est toujours aussi forte et l'interdit de leur relation flirtant avec le danger de leur traque pimente agréablement l'intrigue.

Vitali est le trouble-fête. Il est à lui seul le Département des crimes ésotériques, habitué à évoluer dans la zone grise, fort d'une trouble impunité. Il est officiellement du côté de la Loi mais on ne lui donnerait aucunement le bon Dieu sans confession.

Entre la chape de silence du Vatican et les secrets dont il a le goût, le suspens plane sur le black out romain. La chute de Rome version moderne, victime de la technologie, offerte à l'anarchie des petites frappes, un putsch religieux d'une secte de l'ombre visant l'anéantissement des catholiques. Il n'en faut pas moins pour exacerber toutes leurs peurs des hommes en prise à la paralysie de la perte de tous ses repères de vie connectée et confortable.

Avec Tenebra Roma, c'est un thriller ésotérique captivant que nous offre Donato Carrisi, avec une ambiance de fin du monde bien anxiogène, un rythme effréné, un suspens haletant et des rebondissements à foison! Excellent roman d'action qui laisse toutefois la psychologie de côté pour appuyer sur l'urgence apocalyptique!

Alors vérifiez que la fée électricité brille de tous ses feux et jetez-vous sur Tenebra Roma!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Le bouquin du jour : Tenebra Roman, de Donato Carrisi.

Dans les bouquins de Carrisi, il y a tous les ingrédients indispensables à un bon thriller ésotérique : Un prêtre soumis à des pulsions contraires à ses voeux et victime d'amnésies à répétition, une héroïne fragilisée par ce qu'elle a vécu, des méchants machiavéliques, une police corrompue, un complot impliquant le Vatican et les anciens papes , un brin de magie noire... mais en fait, le véritable personnage principal, c'est la ville de Rome, dans sa dimension artistique et historique. Malgré toutes les horreurs qui s'y déroulent, Carrisi donne envie d'aller s'y promener et de profiter du charme de la dolce vita.

#TenebraRoma #DonatoCarrisi #thriller #Rome #Vatican #Complot

Le quatrième de couverture :

Rome va plonger dans les ténèbres
pendant 24 heures, toutes les lumières
de la ville vont s'éteindre.

Dès le crépuscule, un tueur de l'ombre se met
à frapper, aucun habitant n'est à l'abri,
même enfermé à double tour. Crime après crime,
le mal rejaillit sous sa forme la plus féroce.

Marcus, pénitencier qui a le don de déceler
les forces maléfiques, échappe de peu
à ce bourreau mystérieux. Mais qui a pu
lui vouloir une mort si douloureuse ?

Epaulé par Sandra, photographe de scènes
de crime pour la police, il doit trouver
la source du mal avant qu'il ne soit trop tard...
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Marcus et Sandra doivent faire face à une situation complexe prenant en compte la disparition d'un petit garçon, la mort suspecte d'un cardinal et des meurtres rituels. le tout dans une ambiance d'apocalypse sur fond de religion, de secte et de luttes de pouvoir.

Les informations nous arrivent au compte goutte au fil des découvertes du duo d'enquêteurs et on se prend au jeu des hypothèses avec beaucoup de plaisir. J'ai malheureusement deviné un élément important avant la fin mais le grand talent de Donato Carrisi ne m'a pas déçu puisque ce roman recèle de nombreuses autres surprises, que je n'avais pas découvertes.

Un très bon roman qui nous tient en haleine du début à la fin, à ne pas rater surtout si la thématique religieuse vous branche. Avec, en prime, les explications de l'auteur quant à sa démarche et ses recherches auprès de spécialistes pour mettre au point un scénario qui tienne la route.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..
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En guise d'introduction à cette chronique, je laisse la parole à Donato Carrisi :

« Un proverbe employé dans le monde entier mais dont on ignore l'origine dit que « Rome ne s'est pas faite en un jour ». Toutefois, j'ai découvert qu'il en faut moins que cela pour la détruire. »

Dans ce nouvel opus, l'auteur envisage donc la destruction de Rome, mais comment y parvenir tout en restant crédible ? C'est un de ses amis, le professeur Masimo Parisi, qui lui apportera la réponse :

« C'est simple, tu fais pleuvoir sans cesse pendant deux jours et tu fais couper une centrale électrique : en quelques heures, ce sera le chaos. »

Plongez l'humanité dans les ténèbres et privez-la de toute forme de technologie et vous obtiendrez l'Apocalypse 2.0. Voilà le décor est posé. Histoire de pimenter le tout, ajoutez-y une bande d'illuminés sous influence et un tueur en série aussi implacable qu'insaisissable.

Sans oublier bien entendu un duo d'enquêteurs pour le moins atypique. Lui, c'est Marcus, un pénitencier du Tribunal des Âmes, son job ? Traquer le Mal sous toutes ses formes. Elle, c'est Sandra, une photographe de la police scientifique qui a demandé sa mutation afin de ne plus côtoyer de macchabées et autres scènes de crimes sordides.

Quelle est la nature de leur relation ? Une solide amitié, un grand respect réciproque, et peut être bien un petit quelque chose d'autre auquel ni l'un ni l'autre, pour diverses raisons, ne veulent trop y réfléchir.

Comme souvent l'intrigue démarre avec deux affaires distinctes, chacun suit sa propre voie, puis le lien entre les enquêtes devient évident et le duo se reforme. Pour notre plus grand plaisir.

Le moins que l'on puisse dire c'est que Donato Carrisi ne ménage pas ses personnages, qu'il s'agisse de les plonger au coeur de l'action ou de les confronter à la trahison, leur nuit romaine, au coeur des ténèbres, tiendra davantage du parcours du combattant que du parcours de santé.

Rome plongée dans les ténèbres nous donne l'occasion de découvrir la ville sous un autre jour (même si l'essentiel du roman se déroule sur une nuit), d'autant que l'auteur n'hésite pas à nous entraîner dans les profondeurs de la « ville éternelle ».

L'auteur fait de la ville de Rome et des ténèbres qui l'enveloppe des entités à part entière.

C'est rythmé, riche en rebondissements (dont une révélation finale à couper le souffle), il n'y a pas à dire Donato Carrisi sait y faire pour rendre son intrigue hautement addictive ; vous aurez bien du mal à lâcher ce roman une fois commencé.

Malgré d'indéniables qualités, il manque un petit je ne sais quoi pour que ce soit un véritable coup de coeur. J'ai passé un très bon moment de lecture mais ça n'a pas été l'extase tant espérée…
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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