Je tombes des nues en regardant quelques critiques plus bas!
Oui, à certains égards, ce roman peut paraitre précieux, oui, le cadre de l'action se déroule chez les bobos et les gens bien nés, de ceux qui sont nés dans une cuillère dans la bouche... mais le plus important n'est pas là. Plus fort que tout, il y a l'amour, tout bêtement. L'amour ou les affres de la passion, tout bêtement. Quand je l'ai lu, il m'a semblé que j'avais là entre les mains le livre d'amour qu'on rêvait tous de lire.
Pourquoi?
Parce qu'il nous plonge - ou nous replonge plutôt - dans les premiers émois, ceux qu'on n'oublie pas et qui font de nous, quelque part, des éternels adolescents.
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Mauvais roman, relatant les relations "amoureuses" entre un bourgeois parisien oisif, rentier suffisant et d'une call-girl fuyante ,prête à toutes les fantaisies sexuelles et qui chante l'opéra !
Quelques beaux passages de mysogynie envers des créatures vulnérables
Prud'hon et Watteau doivent avoir honte d'être cités dans ce roman de bas étage.
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L'histoire d'une petite fille qui se fait battre ...
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Certains êtres attirent la passion comme certains objets attirent la foudre. Ces êtres, par vocation reçoivent leur magnétisme d'une aptitude particulière à s'échapper, à déjouer toute intention de capture, à se placer hors d'atteinte dès que l'on tente de les emprisonner dans un désir ou un sentiment. Ce qui aimante, chez eux, c'est leur façon d'exprimer une plénitude qui ne s'encombre pas des émotions qu'ils inspirent et dont on voudrait qu'il tiennent compte. Par une ferveur injuste, ces êtres se suffisent à eux-mêmes tandis que les autres, pour une raison inverse brûlent à leur contact et n'aspirent qu'à se compléter de leur existence. Ils donnent l'impression que le destin les a remplis et ceux qui s'en éprennent se croient inachevés tant qu'ils ne se sont pas appropriés leur mobilité.
L'amour, dans sa variante la plus destructrice veut débusquer, à travers la finitude d'un être, l'infini qui lui est nécessaire et qui, sans doute n'existe pas. C'est pour cela qu'il est d'abord une promesse d'échec.
Les hommes croient toujours qu’ils ont gagné la partie dès qu’une femme est heureuse. Ils ne savent pas que le bonheur lui-même peut effrayer…
je m'en voulais de n'avoir pas su l'aider.Je me sentais coupable.Un homme est nécessairement coupable s'il ne parvient pas à rassembler la femme disjointe qu'il a choisi d'aimer.
Le philosophe, écrivain et réalisateur Bernard-Henri Lévy est également le fondateur de la revue "La Règle du jeu" : c'était il y a plus de 30 ans, en 1990.
Fondé avec un groupe d'écrivains et d'intellectuels du monde entier, tels que Jean-Paul Enthoven, Susan Sontag, Salman Rushdie ou encore Mario Vargas Llosas, cette revue se donne pour ambitions d'intervenir dans les débats de l'époque. Comment ces derniers ont-ils changé avec le temps ?
Bernard-Henri Lévy était l'invité des Matins de France Culture le 4 février 2022, pour parler du dernier numéro de "La Règle du jeu" et nous donner son avis sur Zemmour, Poutine et la Chine.
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