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EAN : 9782075110808
464 pages
Gallimard Jeunesse (18/10/2018)
3.69/5   499 notes
Résumé :
Deux lignes d’explosions ravagent la Terre. Nul n’en connaît l’origine mais, quand elles se rejoindront au large de notre côte atlantique, notre monde sera détruit. Sur les routes encombrées de fugitifs qui tentent en vain d’échapper au cataclysme, six hommes et femmes sont réunis par le destin. Ensemble, ils ont dix jours à vivre avant la fin du monde...
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Critiques, Analyses et Avis (148) Voir plus Ajouter une critique
3,69

sur 499 notes
Voilà un roman classé parmi les littérature jeunesse, qu'à mon avis on peut apprécier de 17 à 117 ans.

Le titre est clair, 10 jours avant la fin de monde, c'est un compte à rebours qui est rythmé par la progression régulière d'explosions monstrueuses qui détruisent tout sur la longueur des méridiens, pilonnant la surface terrestre pour en faire un désert sans vie.

Il faut d'abord faire connaissance avec les personnages qui constitueront la bande de résistants : Valentin, Lili-ann, Sara, Gwénaël, et Brahim, rejoints plus tard par la soeur de Lili-Ann et par Béatrice, policière qui n'en a plus que le titre tant les bouleversements induits par les événements modifient les repères et les lois de fonctionnement de notre monde.


L'idée de la bande, c'est de se déplacer vers l'Ouest de la France, à l'endroit qui sera le dernier détruit. Mais voilà, ils ne sont pas les seuls à vouloir retarder, l'échéance fatale, et il faudra plusieurs jours pour faire un trajet qui ne prend que quelques heures en temps normal. Cela donne le temps de cogiter, de faire des bilans, et d'envisager ce qui semble impossible, survivre. A un tel point que les foules migrantes, une migration vers la mort, se laissent aller à des pillages et des fêtes orgiaques, témoins de leur désespoir.

C'est très stressant, et glaçant. Si le mécanisme de la destruction n'est pas très crédible, et que l'on ne connaît pas l'origine des explosions, on vit l'angoisse des personnages avec beaucoup d'intensité. le déroulement de ces journées apocalyptiques, donnent bien entendu le champ libre à l'expression de ce que l'humain a de pire en lui.


On imaginerait bien une suite avec un titre tout trouvé : 10 jours après la fin du monde, afin d'avoir peut-être des éclaircissements sur ce qui s'est passé et de savoir si l'on peut survivre sur une planète à ce point bousillée.


Lecture très prenante, difficile à lâcher.

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Un roman à couper le souffle… haletant au possible avec ce compte à rebours irrémédiable !

Il fallait oser un scénario aussi redoutable sans solution possible, mais il fallait surtout le talent de Manon Fargetton pour nous emporter, avec ses personnages, d'une émotion à l'autre dans un ensemble tout à fait crédible. C'est à une dizaine de personnages en tout et pour tout que l'on s'attache, qui prennent corps véritablement au fil des pages. Chacun a son passé, son caractère, sa raison de se retrouver là précisément. L'intrigue va les rassembler peu à peu, d'illustres inconnus que quelque chose d'infime relie pendant dix jours.
Jamais l'auteur ne tombe dans le pathos ou la facilité. Ses personnages sont rugueux au possible, têtus ou simplement tenaces dans leur décision. Il n'en est pas de même pour le reste de la population qui se déshumanise progressivement et rapidement, ne pouvant faire face au présent : mais ce n'était pas le propos de l'auteur qui a choisit de se concentrer sur le destin de quelques-uns seulement.
Le lecteur va forcément se poser des questions sur ce qu'il ferait si cela devait advenir… la remise en cause des personnages n'en est que plus compréhensible. L'auteur fait une magnifique analyse des sentiments, des émotions mêlées, du ressenti possible face à un tel état d'urgence dans une écriture efficace, habile et non moins poétique.
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Quand j'ai vu le titre de ce roman passé sur le net je me suis dit : celui-là il me le faut, jeunesse ou pas, peu importe, c'est un de mes sujets de prédilection, la fin du monde, la réaction des gens face à l'extinction de l'humanité, leur ressenti. En plus à ce moment là je vois écrit sur la première de couverture le nom de Manon Fargetton dont j'avais vraiment apprécié le roman "Quand vient la vague", avec ces deux arguments, mon achat était inévitable.

La trame de cette histoire d'anticipation est menée tambours battants par Manon Fargetton grâce à un style fluide et dynamique, des chapitres courts et une urgence permanente pour nos personnages. Rien à dire sur l'écriture, c'est l'un des atouts du livre avec le scénario qui lui se démarque des autres titres du genre avec un livre écrit dans le livre, que l'on parcours en même temps que l'héroïne.

L'héroïne justement m'a bien plu, avec son look gothique et ses doutes. En parlant des personnages, dans l'ensemble ils sont variés niveau caractère, intéressants pour la plupart sauf deux qui m'ont horripilé tout au long de l'aventure, là où c'est dommage c'est qu'ils sont tous deux importants. Vous ferez la part des choses en lisant le roman car comme on le dit souvent, chacun à ses goûts et ses préférences.

J'ai beaucoup aimé le petit côté fantastique qui se dégage du livre dans le livre, comme une histoire parallèle fantasmée.
Les décisions et choix faits par nos personnages sont intéressants, parfois je me suis retrouvé dans les choix faits, les sentiments sont maîtrisés. J'ai un peu moins accroché sur cette fin, trop improbable pour moi, je n'y ait pas cru, mais cela ne gâche en rien la lecture.

Le roman est publié en catégorie jeunesse, à partir de 13 ans, je trouve cela un peu limite, je l'aurais plutôt vu en "SF" ou même "Young Adult" mais pas plus jeune non, pour la simple et bonne raison qu'il y à des scènes bien violentes, parfois choquantes (orgie, viol, mort d'enfants) et avec des détails.
À chacun de voir s'il veut placer le livre entre les mains d'un jeune de 13 ans, moi non, je ne le passerait pas à mon fils, pas assez mûr.

Pour conclure je dirais que c'est un bon roman d'anticipation, pas exempt de défauts mais très agréable à lire. Attention de ne pas mettre cette histoire entre les mains de n'importe quel ado tout de même selon sa sensibilité.

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Et si on vous annonçait qu'il n'y a plus que dix jours avant la fin du monde, que feriez-vous ?

À la lecture du roman de Manon Fargetton, je me suis posée la question. Plusieurs fois.

Imaginez : une ligne d'explosion a jailli, courant du pôle Nord au pôle Sud, puis s'est dédoublée, progressant à la fois vers l'Est et vers l'Ouest. de ce qu'il reste après leurs passages, on ne sait rien, si ce n'est justement qu'il n'y a plus rien. Selon leur vitesse de progression, ces deux lignes se rejoindront dans dix jours, au large de la côte Atlantique.

Alors, que faire ? Il n'y a là pas le temps de la réflexion. Il faut agir. Ou pas.
Beaucoup font le choix de partir. À prendre dans tous les sens du terme : disparaître, tirer sa révérence, s'enfuir, s'éclater, jouir, prendre le large… prendre la route comme Gwenaël et Sara, Lili-Ann, Valentin ou Brahim…
Partir, d'accord, mais pourquoi ? Se donner le temps de finir ce que l'on a commencé, profiter de ces derniers instants avec ses proches, obéir à son instinct de survie, se consacrer à trouver le moyen de survivre malgré tout ? Chacun sa ou ses motivations… Rien à justifier : il y a urgence.

Drôle de dystopie où nous ne sommes pas dans l'après apocalypse, mais juste dans le moment d'avant ; ces instants terribles où l'inéluctable arrive à la conscience sans que l'on ne puisse rien y changer. Angoisse pure.
La situation est à la fois simple et d'une extrême complexité et Manon Fargetton aborde cela avec beaucoup de tact et de psychologie, mais sans fard et faux semblants. L'universel côtoie l'intime, d'une manière troublante et réaliste ; surréaliste même avec l'incursion d'un roman dans le roman…

Une belle expérience livresque



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Et si on vous disait qu'il ne restait à l'humanité toute entière que dix jours à vivre ? Que feriez-vous ? C'est la question que se pose Manon Fargetton dans ce court roman pré-apocalypse qui met en scène la fin de la vie sur Terre en raison de l'avancée de deux lignes d'explosions qui déciment tout sur leur passage. C'est sur les cotes françaises que ces deux lignes doivent se rejoindre, et c'est donc là que se rendent la plupart des personnes à proximité, désireuses de survivre le plus longtemps possible avant l'extinction totale. Parmi eux cinq personnes formant un groupe très hétéroclite et composé d'une jeune femme en route pour rejoindre sa soeur dans la maison de leur enfance sur la côte, un jeune homme qui a perdu juste avant la catastrophe la personne qui comptait le plus pour lui, un couple composé d'un écrivain obsessionnel et sa compagne, conceptrice de drones de sauvetages, et un chauffeur de taxi sans attache ni projet. Une fois l'acceptation de l'imminence de leur disparition digérée, l'objectif pour nos protagonistes va être de quitter la capitale pour se rendre sur la côte : un chemin semé d'embûches et d'autant plus mouvementé que tous les êtres humains à la ronde ont a peu près eu la même idée. Parallèlement à leur « road-trip », on suit également les derniers jours d'une policière qui a choisi de rester à son poste jusqu'au bout afin de protéger la population des accès de panique ou des conséquences dramatiques de la désertion de la plupart des habitants. le roman évolue au fil de ce compte à rebours qui reste en permanence à l'esprit des personnages et conditionne évidemment leurs choix. L'autrice se plaît ainsi à imaginer ce qui passerait par la tête de l'humanité si elle se savait condamnée à très court terme, ce qui donne lieu évidemment à des scènes très classiques vues dans bon nombre de récits décrivant le monde au moment ou juste après l'apocalypse : pillages, panique ou excès en tout genre (orgies, drogues, suicides collectifs…) Tout n'est cependant pas noir et l'autrice ne tombe heureusement pas dans l'écueil propre à bon nombre d'ouvrages américains du genre en offrant également son lot de preuves de solidarité, de coopération entre individus et de bienveillance réciproque.

Le roman se lit vite, principalement parce que l'action ne manque pas et qu'on prend plaisir à découvrir la vie passée des protagonistes ainsi que leurs choix tout au long de ces dix jours. le principal reproche qu'on peut faire au récit réside dans le scepticisme du lecteur face à la menace qui progresse, non pas parce qu'elle ne paraît pas plausible ou que des éléments laisseraient penser que les destructions ne seraient pas aussi graves qu'on pourrait le croire, mais parce que, en dépit de l'absence quasi totale de connaissance sur ces lignes d'explosion, aucun personnage ne les remet en question. Tout le monde accepte ainsi immédiatement l'inéluctabilité de ce qui est en train de se passer, sans se poser plus de question sur le phénomène lui-même ou les ripostes qu'on pourrait lui opposer. Franchement, quand on voit le déni d'une partie de la population face aux risques auxquels nous expose le réchauffement climatique dans un futur proche, et ce en dépit des montagnes de données rassemblées par les scientifiques du monde entier, c'est un peu dur d'avaler le branle-bas de combat général dépeint ici par l'autrice. Certes, ce bémol n'a rien de rédhibitoire et n'empêche pas de se plonger dans l'histoire, mais l'incrédulité persistera malgré tout en arrière-fond tout au long de la lecture. Les personnages sont pour leur part bien campés, même si certains sont évidemment plus intéressants que d'autres. L'officière de police m'a paru un peu en décalage, même si je comprends l'intérêt narratif d'un tel personnage puisqu'il permet d'élargir le point de vue au-delà du groupe et d'ainsi donner à voir la large palette de réactions de l'humanité face à l'imminence de la mort. le personnage de l'écrivain est également assez énigmatique, de même que son désir obsessionnel de terminer son roman avant la fin du monde et dont certains passages parsèment le récit. Ces extraits cassent d'ailleurs dans un premier temps le rythme de lecture, dans la mesure où ils semblent tomber comme un cheveu sur la soupe, jusqu'à ce que l'autrice rattache les wagons et propose une interprétation originale qui explique l'imbrication entre la fiction du personnage et la réalité de ce qui est en train d'arriver à l'humanité.

« Dix jours avant la fin du monde » est un roman pré-apocalypse assez classique mais qui fait son effet. L'autrice dépeint avec émotion les derniers moments d'un groupe de survivants auxquels on s'identifie aisément et qui vont tenter, tant bien que mal, de finir leur vie de la meilleure des manières. Dommage toutefois que les réactions de certains à la catastrophe soit aussi caricaturales et que celle-ci soit acceptée avec autant de facilité par tous, ce qui a tendance à rendre le roman peu crédible.
Lien : https://lebibliocosme.fr/202..
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critiques presse (3)
Ricochet
05 février 2019
Avec les illustrations de Nathalie Desforges qui donnent vie aux personnages (la couverture du livre est simplement magnifique), le livre de Luc Blanvillain est une perle à garder précieusement dans sa bibliothèque, à relire sans modération.
Lire la critique sur le site : Ricochet
Telerama
16 novembre 2018
Une poignée de beaux personnages condamnés à vivre les derniers jours du monde cherchent le sens de la vie. A travers le prisme du roman d’anticipation, Manon Fargetton se livre un peu elle-même. Et donne à la littérature les pleins pouvoirs.
Lire la critique sur le site : Telerama
Actualitte
13 novembre 2018
Une apocalypse splendide, émouvante, où rien n’est écrit d’avance. Sauf, peut-être, cet étonnant roman qui agit en miroir de la terrible course contre la montre...
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (70) Voir plus Ajouter une citation
— C’est l’heure ? murmura Brahim.
Elle acquiesce. De violents sanglots la traversent soudain, secouent ses épaules, inondent ses joues. En silence, Brahim pose une main en haut de son dos. Que pourrait-il dire ? Aucun mot ne peut adoucir la peine de quelqu’un qui sait ses parents en train de mourir de l’autre côté de la planète. Alors, Brahim se contente de cette main, ce contact amical, comme pour lui montrer qu’elle n’est pas seule et que, s’il pouvait porter ce deuil à sa place, l’en décharger ne serait-ce qu’un petit peu, il n’hésiterait pas. Il est comme ça, Brahim. Il aimerait que tout le monde soit heureux. Il aimerait absorber les douleurs, être un aspivenin géant, un aimant à merde, pour ne laisser aux autres que le beau, le tendre, le passionné. Ce n’est pas possible, bien sûr. Ce qui ne l’empêche pas d’essayer.
Au bout d’une heure, les pleurs de Lili-Ann se tarissent, sa respiration saccadée s’apaise peu à peu. [...]
— Merci, chuchote-t-elle.
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[...]
Elle se laisse tomber à côté de lui. Il sourit, puis pioche dans le panier la tour de verres en plastique qu’il distribue autour du feu.
— Lili, tu veux quoi ?
— Je ne bois pas.
Il lève les yeux au ciel.
— Évidemment.
— Je t’emmerde.
— Pourquoi tu as descendu ces bouteilles, si ce n’était pas pour les boire ?
— J’ai pensé que ça vous ferait plaisir. Je ne pense pas qu’à moi.
Valentin éclate de rire.
— Si, Lili, souffle-t-il assez bas pour qu’elle soit la seule à l’entendre dans le fracas des vagues. Tu ne penses qu’à toi, depuis le début tu ne penses qu’à toi. Et ce n’est pas un reproche, hein.
— Ce n’est pas vrai, proteste-t-elle vivement. J’ai pensé à ma nièce, à ma sœur.
— C’est pour toi que tu es venue ici, pas pour elles.
— Tu fais chier, Valentin.
— Rhum ou Vodka ?
Les mâchoires de Lili-Ann se contractent un instant. Puis elle lâche :
— Rhum.
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C’est drôle, l’existence. Quand on est jeune, on croit qu’on ne tombera pas dans ses pièges, qu’on fera mieux que ses parents, mieux que tout le monde. On a tout prévu. On n’imagine pas que des galères peuvent nous tomber dessus — ça n’arrive qu’aux autres — et on attend de l’univers qu’il se plie à nos désirs. Jusqu’au jour où on comprend que les autres, ça peut aussi être nous. Et alors, tout change.
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H - 239

On avait pas prévu ça.

On avait prévu les tornades, les raz-de-marée, les éruptions volcaniques, les pluies de météorites, les catastrophes nucléaires, la montée des eaux, les bombes atomiques, la planète qui étouffe sous la pollution, la surpopulation, les épidémies, les manipulations génétiques qui tournent mal. On avait prévu la terre qui se rebelle contre la connerie humaine. On avait prévu l’humanité qui s’autodétruit. Mais ça, on ne l’avait pas vu venir. Comment aurions-nous pu en vérité ? Même aujourd’hui que l’apocalypse se précipite vers nous, personne n’a la moindre idée de ce qui se passe.
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Google lui propose des articles de journaux en ligne, et une dépêche AFP dont le titre lui saute au visage. « Explosions catastrophes en Nouvelle-Zélande et à l’est de la Russie. » Quel rapport avec Paris ? C’est loin, la Nouvelle-Zélande. Attendant que son téléphone charge l’intégralité de la dépêche, Valentin allume la télé. Un bandeau d’alerte défile en bas de l’écran tandis que le président de la République s’exprime en plan serré :
– … décidé de faire retentir les sirènes d’alerte à la population dans toutes les villes de France, utilisées d’ordinaire pour les dangers imminents, car nous ignorons la nature de ce phénomène. Pour l’instant, il a lieu de l’autre côté du globe. Mais il a démarré sans signe avant-coureur et il se propage. Il pourrait survenir chez nous de manière aussi inattendue, ou poursuivre sa course durant plusieurs jours jusqu’à nous atteindre. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour le contrer. L’armée est mobilisée, ainsi que…
– Quel phénomène, putain ? peste Valentin.
Il baisse les yeux vers son téléphone. La dépêche AFP parle de bombardements, d’explosions, en restant très floue. Une guerre ? Un pays attaque la Nouvelle-Zélande, et tout le monde craint une troisième guerre mondiale ? Quel pays ? Pour quelle raison a-t-il lancé une offensive ? Et contre la Nouvelle-Zélande, sérieusement ? Pourquoi le président qualifie-t-il cette guerre de « phénomène » ?
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À l'occasion de la 39ème éditions du du salon du livre et de la presse jeunesse de Montreuil, Manon Fargetton vous présente son ouvrage "Le cycle des secrets. Vol. 1 : Les marches des géants" aux éditions Gallimard Jeunesse.
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