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EAN : 9782367406572
350 pages
Scrineo (21/02/2019)
3.66/5   54 notes
Résumé :
Dans un univers dystopique où tout est désormais sous contrôle, une jeune fille enquête sur le meurtre de ses parents au cœur du dernier cirque de France.

Approchez sans crainte, venez rire avec nos clowns et nos acrobates !
Le dernier cirque de France vous ouvre ses portes pour un spectacle envoûtant...

Dans un pays gouverné par le Parti Zéro Risque, qui a banni toutes les pratiques jugées dangereuses, Maria décide d'infilter la... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (30) Voir plus Ajouter une critique
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Nous voici dans un monde où tout risque doit disparaître, tout doit être safe, assuré. C'est le règne de l'Assurance.
Il y a cependant un petit groupe de gens prêt à prendre des risques : un cirque ! Oui, car dans une France sans risque, oubliez toute aventure potentielle, toute montée d'adrénaline (de toute façon, votre monstre préviendrait votre médecin), tout artiste, et tout le monde de la fête foraine et du cirque. Sauf le cirque Vazatta, le dernier cirque de France qui, pour survivre, a créé sa propre société d'assurance. Cela ne plait bien entendu pas du tout à l'Assurance, qui veut détruire ces irresponsables. Est donc envoyé en infiltration Maria, toute jeunette qui veut se faire une place au soleil dans la grande société, et découvrir ce qui est arrivé à ses parents bien des années auparavant, décédés au sein de ce même cirque quand elle était toute petite.
La trame de fond est bien dystopique dans ce roman. Non mais quel angoisse ce monde aseptisé, où tout est contrôlé, normalisé, sous peine d'être rééduqué ! Mais l'histoire est plus classique : de l'espionnage industriel en somme, de la trahison, de l'amour.
C'est une belle vision du monde du cirque également. On sent la passion, la beauté dans les numéros, la fraternité qui y règne. C'est un joli tableau du clown aussi, trop souvent raillé, présenté ici comme la colonne vertébrale du chapiteau.
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La couverture est tellement belle que j'ai craqué sur ce roman après avoir lu #porcelame
de l'autrice. J'avais bien apprécié le premier tome, donc j'ai tenté l'expérience sur un autre de ses romans. le texte est facile à lire, on se laisse porter facilement au fil des pages.

Je trouve l'univers très intéressant. Nous avons une France qui est régie par le partie du risque zéro. Les assurances sont très importantes, beaucoup de choses n'existent plus. S'il y a un risque sur une pratique, alors elle est supprimée. Si vous êtes pris dans une conduite à risque alors vous êtes interné en centre de rééducation.

Le résultat est tel que le cirque où Maria va aller, est tout simplement le dernier ! Elle part à la recherche de réponses concernant son passé. Nous allons vivre cette aventure avec elle entre secrets, trahison, vengeance, romance... En alternant des chapitres sous la vision de Maria ou de celle de Mathieu.

Mais je n'ai pas réussi à m'attacher au personnage principal. Par contre j'ai bien aimé le grand-père. La romance ici, ne m'a pas plus intéressé que ça (avec moi, ça passe ou ça casse). J'aurais préféré que ces moments soient restreints et que l'on puisse en savoir encore plus sur le partie.

Je n'ai pas réussi à comprendre pourquoi les protagonistes acceptent bien le système en place alors que c'est récent. Ce qui fait que beaucoup ont pu connaître autre chose par le passé. Mais on dirait que ça ne choque pas. En plus, on ne connaît pas vraiment l'arrivée au pouvoir du parti et les réactions des personnes contre ce dernier.
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Cela faisait des années que je cherchais un livre de ce genre. N'étant pas une fan du cirque dans la vie réelle (surtout à cause de la façon dont on y traite les animaux), j'apprécie néanmoins l'ambiance de tels événements, les acrobaties, etc. En lisant le cirque interdit, j'ai pu constater que l'autrice ne traitait pas forcément le sujet du cirque précisément, il y avait autre chose derrière. Des mystères, des secrets, deux narrations ; l'une jouant avec le feu, l'autre jouant avec la glace. La tension ne fait que monter crescendo durant toute l'histoire. Célia Flaux mène son scénario d'une main de maîtresse, jonglant avec les émotions de ses personnages et le déroulement de son histoire. À chaque page que je tournais, je me demandais comment tout ça allait bien pouvoir se terminer… J'éprouvais même un pincement au coeur. L'autrice a l'art de nous bercer dans des décors et des moments somptueux, tout en spectacles et en acrobaties, entre joie et peine, humour et douleur. Tout dans cette histoire semble cohérent, surtout la manière avec laquelle le futur s'avère dépeint. Dans son roman, Célia Flaux pointe du doigt l'influence que prennent les Assurances, désireuses de protéger les gens du danger (ou de se faire énormément d'argent sur leur dos). On empêche les gens de prendre des risques, sous peine de les envoyer en Rééducation où ils ne deviendraient que des légumes incapables de toute pensée rationnelle. Cette réalité, dans laquelle vivent les héros de l'histoire, me glace le sang, m'effraie. le pire ? C'est que cela pourrait tellement arrivé… Tout en anticipant les événements, Célia Flaux garde ce qu'il faut de familier et de contemporain pour que nous gardions les pieds sur Terre. le tout saupoudré d'un fond fantasmagorique où jongleries, acrobaties et représentations clownesque nous happent et nous rappellent les joies d'un cirque. Une histoire très addictive, bien menée et magnifique. ​

Le plume de l'autrice a suffi à me rendre accro. Raccord au type d'histoire qui nous est offerte, elle s'avère riche en émotions et en descriptions, sans pour autant devenir rébarbative. Je ne me suis pas ennuyée une fois, alors que ce n'est pas un livre qui se base sur l'action et des aventures épiques à suivre de pages en pages. Célia Flaux parvient à nous enfermer dans son univers fabuleux et détestable à la fois, où tout risque est puni par la loi, grâce à une écriture fluide et chargée très certainement de petits bouts d'elle-même. On sent sa passion, son ton légèrement engagé. Elle y a mis ses tripes, c'est obligé ! Par ailleurs, j'ai été plus qu'émerveillée de découvrir des textes sous formats différents à chaque fin de chapitre. En effet, des bouts de journaux, de contrats, d'échanges par messages et d'autres choses sont insérés dans le livre, créant ainsi un objet-livre particulier et original, propre à lui-même. Il s'agit vraiment d'un roman merveilleux dans tous les sens du terme !

J'ai vraiment été subjuguée par la manière dont Célia Flaux traitait ses personnages, notamment les deux principaux (et aussi narrateurs de l'histoire) : Maria et Mathieu. On peut dire qu'ils ne manquent pas de force de caractère, de profondeur et d'entrain ! Maria, de son côté, est une personne fermée, asociale, très crispée, n'appréciant guère la lumière, les projecteurs, les costumes farfelus. On peut même dire qu'elle est vachement coincée comme nana ! de son côté, Mathieu est carrément son contraire ! Il est très extraverti, ouvert d'esprit, il aime les gens, le public, les projecteurs, faire des blagues… J'ai trouvé ça drôle, parce que ça amenait pas mal de situations cocasses, notamment dans sa narration lorsqu'il surnommait la nouvelle assistante de son papy Miss Glaçon. J'ai bien aimé leur façon de se tourner autour sans trop savoir comment appréhender l'autre… Et, bien entendu, l'évolution de ces deux personnages depuis qu'ils sont en contact est impressionnante. Leur relation, émouvante et poignante, a pris des tournants inattendus. Je ne saurais dire avec exactitude lequel des deux protagonistes-narrateurs j'ai le plus aimé, parce qu'ils s'égalisent parfaitement. En étant à ce point opposés, ils se complètent alors et ça fait des chocapics ! Merci à Célia Flaux de m'avoir fait connaître d'aussi beaux personnages, authentiques, chargés de défauts et de qualités qu'on apprécie envers et contre tout !

La fin du roman prend un chemin auquel je ne m'attendais pas, je vous l'avoue, mais cela n'a pas été pour me déplaire. Toutes ces histoires, ces tensions, ces montagnes de secrets et de mystères, cela nous projette dans une escalade vertigineuse où le moindre faux pas peut tout faire basculer. On peut dire que suite à toute cette ribambelle d'émotions, de doutes et de stress, le final du roman tient ses promesses. Une magnifique clôture pour un one-shot de qualité ! Je dois vous avouer que les personnages vont me manquer.

Grosso modo, le cirque interdit est une danse douce-amère, à la chorégraphie composée d'une dystopie fantaisiste propre au cirque. En dehors de l'intrigue principale, une tension ne cesse d'accroître, basée sur les non-dits, les secrets et des désirs de vengeance. En plus de bien doser le vocabulaire et la fluidité de sa plume, Célia Flaux offre des personnages hauts en couleurs, provoquant une explosion électrisante par leur simple contact. Ce roman m'a conquise par l'originalité de sa structure, de son scénario et de sa composition intérieure très particulière. Bienvenue au cirque Vazatta ! Approchez sans crainte, venez rire et pleurer avec Maria et Mathieu, ainsi que tous les autres. le dernier cirque de France vous ouvre ses portes pour un spectacle envoûtant… sauriez-vous l'apprécier à sa juste valeur ? Un coup de coeur que je recommande à tous !
Lien : http://papillonvoyageurblogl..
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Quand j'ai reçu le programme Scrineo pour le début d'année, ce roman m'a interpellée par l'univers dans lequel il se déroulait. Je n'ai pas souvent lu de romans se passant dans le milieu du cirque, et j'étais curieuse de voir comment une dystopie serait traitée dans ce monde un peu hors de notre société, une sorte de société parallèle, mystérieuse… le cirque c'est pour moi déjà un motif de voyage et de rêveries, même si en grandissant je n'apprécie plus tous les cirques.
J'étais donc impatiente et curieuse de commencer ma lecture, d'autant plus que, jolie attention de l'autrice et de l'éditeur, le livre était accompagné d'une dédicace et d'une entrée pour le cirque Vazatta. le problème c'est que je n'ai à aucun moment accroché avec le personnage de Maria. Je n'ai jamais réussi à comprendre ses motivations, ni ses réactions… Que ce soit concernant sa mission au sein du cirque ou ses relations avec les autres, notamment avec Mathieu.
On est dans ce roman sur une construction de dystopie très classique… Un régime plus ou moins totalitaire s'est installé il y a quinze ans. Ce qui signifie que la plupart des protagonistes ont connu autre chose, même si Maria et Mathieu étaient vraiment jeunes. Pour autant, tout le monde ou presque semble accepter le système mis en place. Si vous portez un bracelet et transmettez vos données de santé à l'Assurance, et que celles-ci sont bonnes, vous payez moins cher de mutuelle. Si vos constantes se dégradent, vos cotisations augmentent et on vous incite à acheter auprès de ladite Assurance des activités ou soins pour améliorer les choses et faire à nouveau baisser le coût d'adhésion.
Dans le même temps, on vous explique que les activités dangereuses sont hors la loi, et donc non assurées par l'Assurance, que les normes de sécurité sont très strictes et que si vous n'êtes pas assuré, vous êtes passible de prison. Pourtant, un cirque survit en France, le cirque Vazatta qui a créé sa propre société d'assurances pour être en règle avec la loi française. Parce que je ne vous ai pas précisé ce point : seule la France est concernée par l'avènement au pouvoir du parti Zéro Risque. Et elle ne semble pas complètement isolée du reste du monde comme souvent les lieux où se déroulent les dystopies.
Je ne peux pas trop vous en dire sur le fond de l'intrigue… mais sachez qu'il y a une histoire de vengeance, des luttes de pouvoir et une romance. Une dystopie assez classique, même si la révolution semble ici loin des préoccupations quotidiennes de la population. Encore qu'on ait assez peu de renseignements sur cette population. Ils semblent très passifs, voire désintéressés de leur sort. J'aurais aimé en savoir plus sur le quotidien imposé aux français, et leurs réactions aux changements des quinze dernières années. Hors on n'a que la version de Maria, biaisée par son allégeance au pouvoir.
Ensuite, et cet aspect m'est personnel, je ne comprends pas comment de jeunes adultes (ici, ou moins jeunes parfois), trouvent le temps de s'embourber dans des histoires d'amour mielleuses, alors qu'à coté ils luttent pour leurs libertés et/ou la vérité. Je dois manquer de romantisme, mais j'ai du mal à imaginer prendre le temps de minauder et tergiverser sur une relation naissante alors que je suis sur la piste des responsables de la mort de mes parents… Après, je ne juge pas les actions des autres, c'est un avis personnel qui fait que je n'ai pas réussi à croire à cette romance, et que je l'ai même par moment trouvée agaçante. J'espérais voir la dystopie au coeur du roman, et c'est pour moi la romance qui prend le dessus.
J'ai par contre beaucoup aimé suivre le quotidien de la vie au sein du cirque Vazatta, l'hommage au grand clown qu'était Achille Zavatta, et à son héritage. J'ai aimé la relation entre Mathieu et son grand-père, fusionnelle et compliquée car ils n'ont pas forcément la même vision de l'avenir. J'ai aimé ce passage de témoin d'une génération à l'autre, qui fait la pérennité du monde circassien. J'ai globalement aimé suivre la vie quotidienne du cirque Vazatta sur les routes de France, les répétitions, spectacles, montages et démontages…
J'ai aussi trouvée intéressante la narration et la mise en page du roman. On alterne les points de vues de Maria et Mathieu, les chapitres étant entrecoupés d'extraits de textes de lois, de journaux, de courriers anciens… qui nous en apprennent plus sur le contexte.
Au bout du compte, cette lecture est une déception pour moi. Dans un contexte pourtant très intéressant, j'aurais aimé aller beaucoup plus loin dans la découverte de l'univers hors cirque, et du contexte global de l'arrivée au pouvoir du parti Zéro Risques. Je suis fatiguée de trouver des romances qui tombent comme un cheveu sur la soupe, comme si c'était obligatoire d'inclure une romance dans un roman adolescent / jeune adulte, alors qu'il y avait tellement plus sur quoi se concentrer… En fait, je suis déçue car j'étais très attirée par l'idée de départ, par l'univers du cirque que je trouvais original, cette dystopie sur le concept de l'élimination des risques, et au bout du compte, je suis restée sur ma faim. Il y a peut-être trop de choses à traiter pour rentrer confortablement dans un livre de 250 pages. J'en attendais tellement plus…
Lien : https://leslecturesdesophieb..
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--- Un dépaysement total ---

Ce qui m'a donné envie de lire le cirque interdit ? L'univers dystopique présenté dans le synopsis. Durant ma lecture, j'ai découvert une France guidée par la peur du risque. Dans les faits, cela signifie que les assurances dirigent indirectement le pays. Vous avez pris un peu de poids ? Vous vous êtes lancé dans une activité sportive un brin audacieuse ? Alors, il est fort probable que votre prime d'assurance augmente aussitôt ! En effet, chaque citoyen est muni d'un bracelet trackeur qui analyse le moindre battement coeur suspect, tire la sonnette d'alarme dès la première hausse de tension et condamne les comportements considérés comme dangereux.

Voilà donc un cadre captivant ! Seul bémol : j'aurais souhaité en apprendre davantage, mais ce n'est pas l'objet de cette histoire, et je le comprends parfaitement. Heureusement, des annexes insérées à la fin de chaque chapitre permettent de creuser plus avant les dérives d'un tel système.

--- Avis aux amateurs de cirque ---

Vous l'aurez sûrement deviné grâce au titre du livre, mais ce dernier retrace le quotidien, pas si banal, d'une troupe d'artistes en tous genres (acrobates, clowns, contorsionnistes…). Dès lors, si c'est un univers qui vous plaît, le récit ne vous laissera sûrement pas insensible.

Pour ma part, j'étais nettement plus attirée par l'aspect dystopique, mais cela ne m'a pas empêchée d'apprécier l'ambiance particulière des spectacles.

--- Fluidité et harmonie dans l'écriture ---
Célia Flaux fait partie de ces auteurs pour qui écrire est une seconde nature, du moins c'est comme ça que je l'ai ressenti. Sa plume est sans lourdeurs, sans maladresses, sans hésitations. Les mots glissent les uns après les autres, et on se surprend à tourner les pages à une vitesse terrifiante !

--- Mais alors, pourquoi cette note ? ---

J'ai débuté cette chronique avec des points positifs, car ils me sont apparus en premier, lors de ma lecture. Néanmoins, j'ai ensuite relevé quelques faux pas, et j'en suis la première peinée. Pourtant, c'était plutôt bien parti ; j'étais impatiente d'accompagner Maria, l'héroïne, dans ses recherches interdites, de la voir prendre des risques pour parvenir à ses fins. Et si tout ceci s'est effectivement produit, il y a comme un hic.

En fait, j'ai eu l'impression que l'histoire était volontairement simplifiée. Un sentiment d'inachevé me reste encore aujourd'hui. Pour moi, il manque des passages-clefs qui auraient permis d'approfondir l'enquête, d'offrir davantage de poids aux conséquences de celle-ci et d'éviter le piège d'un antagoniste inutilement machiavélique.

Ceci étant dit, je dois reconnaître qu'on ne s'ennuie pas un instant ! C'est parce qu'on ne s'arrête pas sur les détails que le récit est aussi dynamique, aussi prenant.

--- La romance : non, non et non ! ---

C'est, à mon sens, le plus grand point noir de ce one-shot. Mais, qui sait, ce sera peut-être le petite plus qui fera la différence chez d'autres lecteurs. Quoi qu'il en soit, j'ai trouvé que cette histoire d'amour arrivait comme un cheveu sur la soupe. À choisir, je l'aurais supprimée afin de développer l'intrigue.

Toutefois, n'oublions pas que ce livre est classé en young adult. Peut-être Célia Flaux a-t-elle souhaité en respecter les codes. Dans ce cas, j'aurais opté pour moins de facilités… et une héroïne plus forte. En effet, l'on dit de Maria qu'elle est prête à tout pour découvrir la vérité. Pourtant, elle s'appuie plus que de raison sur ses proches. Alors, même si je l'ai globalement appréciée, elle m'a un peu déçue sur la fin.

Quant à Mathieu, eh bien… Pour être honnête avec vous, il m'a paru fade. Je lui ai largement préféré ses grands-parents : papy Vaz pour sa bienveillance, son envie de rattraper ses erreurs et mamy Vaz pour sa fougue, sa détermination inébranlable.

--- Que dire au sujet de la fin ? ---

L'intrigue n'étant pas suffisamment creusée à mon goût, elle ne pouvait pas combler toutes mes attentes. Cependant, ce n'est pas la tournure générale des événements qui m'a laissée perplexe, mais la façon dont l'auteure en est arrivée là. En d'autres termes, l'histoire n'a pas révélé son plein potentiel, et c'est bien dommage !
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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critiques presse (1)
Ricochet
11 juillet 2019
Au fil de la lecture, on découvre une plume sympathique, prise d’affection pour ses protagonistes, mais elle ne suffit malheureusement pas. Peut-être au prochain livre ?
Lire la critique sur le site : Ricochet
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
les vrais artistes ne se contentent pas d'imiter, ils tracent leur propre chemin dans ce métier.
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L'espace du chapiteau m'apparaît comme un passage entre notre monde et celui de l'imaginaire.
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Je ne sais pas ce qui m'a pris. L'envie de relever un défi ? D'en finir avec mes stupides crises de vertige ? Mathieu m'a souri, une fossette s'est creusée au coin de sa bouche et mon corps s'est tendu vers lui. Quand ses doigts se referment autour de mon poignet, je sens les cals sur sa paume.
— Prête ? Je te tiens.
Il ne s'agit pas de paroles en l'air. Malgré mes jambes qui flageolent, il me hisse d'un seul geste, sans la moindre impulsion de ma part.
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- Cette petite, je n'arrive pas à la protéger. Voilà deux fois que je l'abandonne...
- Elle sait se défendre, dis-je pour dédramatiser.
- Cela ne l'empêche pas de souffrir.
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L'Assurance n'a pas tort. Dans une société civilisée, personne ne devrait se mettre en danger pour l'amour de l'art.
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