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EAN : 9782080704405
Flammarion (04/01/1999)
3.89/5   51 notes
Résumé :
Écrits à vingt-huit ans, les 40 pièces des feuilles d'automne sont une œuvre de transition. Selon Hugo, ce sont des vers sereins et paisibles, des vers de la famille (avec ses émotions), du foyer domestique, de la vie privée ; des vers de l'intérieur de l'âme.

C'est une suite de poèmes dominés par la mélancolie. Feuilles tombées, feuilles mortes comme toute feuille d'automne. Ce sont des vers sereins de l'intérieur de l'âme, souvenirs de sa mère qui a... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
J'ai commencé à apprécier la poésie grâce à Victor Hugo. C'est en visitant la maison littéraire de Victor Hugo à Bièvres que j'ai découvert cette poésie affichée prés de l'étang :

'Oui, c'est un de ces lieux où notre coeur sent vivre
Quelque chose des cieux qui flotte et qui l'enivre ;
Un de ces lieux qu'enfant j'aimais et je rêvais,
Dont la beauté sereine, inépuisable, intime,
Verse à l'âme un oubli sérieux et sublime
De tout ce que la terre et l'homme ont de mauvais !'

Les paysages de ce lieux sont eu le même effet sur moi, cela m'a complément absorbé, tout est vert autour de vous, le ciel ouvert, et les oiseaux qui volent librement ... j'ai tout oublié pendant un moment
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Dans le challenge littéraire de l'année que je tente de relever, un des critères est de lire "un livre que votre mère apprécie". Et vu comment j'ai été souvent bercé aux mots des poèmes d'Hugo, ce recueil devenait une évidence, surtout parce qu'il contient "Lorsque l'enfant paraît", poème préféré de ma maman !

En redécouvrant ainsi les mots d'Hugo, le plaisir est réel. C'est la tradition française des belles lettres qui s'exprime, de nombreuses formes poétiques sont explorées, la lecture à voix haute se savoure.

Le recueil se centre beaucoup sur le poète lui-même, sur sa famille, sur les sentiments du temps qui s'enfuit, sur la vieillesse qui s'annonce. Hugo n'est pourtant que trentenaire, mais le deuil de son père, qu'il exprime dans un des poèmes, le fait devenir "l'arbre de la famille" comme il le décrit si bien dans le poème à Louis Boulanger.

Mais on ne peut pas ignorer les différentes allusions à l'empereur, image de l'enfance de l'auteur, double plus majestueux du père respecté. La préface au recueil rédigée par Hugo lui-même a beau expliquer que ces poèmes sont volontairement centrés sur l'individu et sa famille au beau milieu des tourments de son époque, ces tourments sont présents partout en filigrane. Et le poème final est là pour le souligner plus directement, vecteur de la pensée politique d'Hugo et annonciateur d'oeuvres plus engagées.

Lire un recueil, c'est aussi, au delà du plaisir de redécouvrir les vers connus de "Ce siècle avait deux ans" ou de "Lorsque l'enfant parait", de découvrir pour le coup d'autres poèmes comme "La pente de la rêverie" ou le sublime "La prière pour tous", peut-être connus de tous mais ignorés de moi.

La préface que j'évoquais est une œuvre à part entière, même dans sa prose explicative Hugo s'enflamme. Parfois trop peut-être, quand il semble s'auto admirer, tout en feignant immédiatement ensuite la modestie. Les grands auteurs ne sauraient le devenir sans un confiance en eux, une assurance qui leur permet de se confronter au jugement de leurs contemporains, "abandonnant ce livre inutile au flot populaire qui emporte tant d'autres choses meilleures, [ressentant] un peu de ce mélancolique plaisir qu'on éprouve à jeter une fleur dans un torrent, et à voir ce qu'elle devient".

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Le recueil de poésies LES FEUILLES D'AUTOMNE est intéressant car dans cet ouvrage V. Hugo cherche une position indépendante des mouvances politiques et des idéologies. Il veut proposer suivant les mots qu'il emploie des vers sereins et paisibles, comme tout le monde peut en faire ou en rêver.

Son but n'est pas de prétendre au génie mais de jeter une fleur au lecteur et de voir ce qu'elle deviendra. Il propose donc comme on jette une fleur dans une rivière ou un torrent, il propose des feuilles d'automne, des feuilles tombées. Allez-vous les ramasser ? Les regarderez-vous avec attention ?

Le recueil prend place dans un contexte politique difficile en Europe certes fait de révolutions et de contestation des vieilles monarchies entre autres. Mais lui refuse en tant qu'auteur de s'interdire de penser et c'est là tout son mérite. Car ce livre propose réellement une pensée sur l'avenir, l'enfance, la souffrance, le bonheur.

Il développe avec brio une pensée structurée par une conception de l'art vu comme une chose éternelle. La science a sa loi. L'art a la sienne. Faire floraison.

V. Hugo prend un exemple dans l'histoire, celui de la Renaissance. Cette époque signe en Europe le passage d'une unité religieuse abstraite à la liberté de conscience. Des guerres éclatent pourtant l'art produit des chefs-d'oeuvre.

Donc il considère que même si l'époque est difficile, bien au contraire l'art peut donner une belle floraison. L'art dans sa conception est cette chose éternelle en tant que vision vers laquelle se tournent ceux qui souffrent.

Quoiqu'on dise, quoiqu'on fasse, dans sa conception ceux qui souffrent iront vers l'art. L'art est un refuge pour le coeur humain. Au final si tout le monde a le nez braqué sur les affaires sociales , les crises politiques, la poésie prend son envol. Elle tient de l'oiseau. Elle permet de dire sa pensée librement.

Les derniers mots du livre sont forts et méritent qu'on suive l'auteur jusqu'au bout. Je ne peux que proposer d'accepter de se laisser entraîner dans l'univers de ces feuilles tombées qui ont encore beaucoup d'avenir devant elles.
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Après l'engagement passionné et la souffrance violente exprimés dans l'Année terrible que j'ai terminé hier, ce recueil n'est pas le même... Bien sûr, Hugo jeune a du talent, même s'il n'y a pas encore les innovations stylistiques de futurs recueils, pas encore de "bonnet rouge au vieux dictionnaire", pas encore de grande rupture dans le style, les alexandrins semblent relativement sages dans la forme - réserve-t-il à cette époque l'audace à son théâtre ? La thématique de la beauté de la nature, n'est pas ce que je préfère chez lui, ce certain sentimentalisme parfois un peu fleur bleu...
Jeune Hugo ai-je dit ? Pas tant que ça... Il a déjà évolué politiquement, passant du légitimisme à un bonapartisme qui est une admiration de l'Empereur. Mais on lit déjà une pitié bienveillante pour les pauvres - qui ne sont pas encore misérables. Il salue aussi déjà la liberté, refusant la tyrannie et l'oppression, prêt à se battre - à sa manière, par sa lyre, pour cette valeur suprême.
Et puis ce n'est plus un jeune amoureux chaste, c'est un père de famille, qui a déjà eu des joies et des douleurs, des tromperies aussi, qui relit ses premiers poèmes d'amour sans ressentir ce qu'il éprouvait. Il se sent déjà au milieu de sa vie, dans "son automne" - ici, le poète "voyant" n'a pas su prédire lui-même sa propre carrière future ! Il se sent comme un exilé, qui n'est plus à sa place dans sa patrie, qui n'est pas apprécié et qui est critiqué. Plusieurs poèmes sont dédiés à Lamartine, ou empruntent des citations de Byron, comme s'il devait encore se placer sous le patronage des chantres du romantisme.
Mais finalement, faut-il dire comme l'écrivit Alexandre Dumas en découvrant les Contemplations "qu'il était bon que Hugo souffrît" pour pouvoir écrire une oeuvre si belle ? Lire tout l'amour qu'il porte à la jeune Léopoldine est déchirant par avance, lire l'opinion que Victor Hugo porte sur ses livres - pensant avoir déjà atteint le sommet de son oeuvre est émouvant, alors qu'il lui reste tant de souffrances personnelles et collectives à vivre, tant de douleurs intimes et nationales à partager, mais aussi tant de chef-d'oeuvres à écrire.
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Lire Victor Hugo, même dans son oeuvre de jeunesse, c'est se confronter à une voix gigantesque, invoquant les éléments, soufflant la guerre de l'ombre et de la lumière, du minuscule et du gigantesque, des abîmes et du ciel, qui se renversent sans cesse, comme dans ces 'Soleils couchants', prélude certes encore timide (ce mot a-t-il un sens quand on parle du bavard par excellence qu'est Victor Hugo?) des 'Contemplations'.

Lire Victor Hugo, c'est éprouver la nostalgie d'une époque révolue où l'on pouvait parler, où l'on pouvait encore croire qu'une poésie pouvait ne pas être tout à fait inutile, que le poète pouvait toucher Dieu, prendre sa place, faire joujou avec les gouffres et les montagnes, que Dieu, bien sûr, avait élevées pour lui, pour l'homme de génie, pour le monstre d'orgueil qu'est le poète hugolien, confisquant le monde à Dieu pour le redonner aux hommes plus beau, parce que l'on pouvait encore croire qu'il suffisait de parler pour que les choses soit belles, parce que l'on pouvait encore croire en une harmonie, certes perdue, mais que le poète-prophète pouvait encore reconstituer, parfois, parce que Victor Hugo, c'est aussi la conscience profonde de la vanité de l'homme au sein de la nature, le désespoir jamais définitif, le risque constant pour le poète, à force de rester au bord de l'infini, de tomber dans la fosse à purin. Alors le front du poète, malgré les ailes qui semblent pousser dans son dos, retombe sur sa feuille remplie de vains traits de plume. Après le choc des éléments, la guerre cosmique, voilà la solitude, le pressentiment peut-être d'être le dernier poète touchant vraiment l'univers. le soleil couchant, après les envolées hugoliennes va redevenir pour le poète désillusionné la mélancolie, et les feuilles d'automne deviendront ces sanglots longs qui blessent mon coeur d'une langueur monotone. le poète ne changera rien à l'univers: Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête / Je passe, et, refroidi sous ce soleil / Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête, / Sans que rien manque au monde immense et radieux
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Citations et extraits (24) Voir plus Ajouter une citation
O altitudo !

Avez-vous quelquefois, calme et silencieux,
Monté sur la montagne, en présence des cieux ?
Était-ce aux bords du Sund ? aux côtes de Bretagne ?
Aviez-vous l'océan au pied de la montagne ?
Et là, penché sur l'onde et sur l'immensité,
Calme et silencieux, avez-vous écouté ?

Voici ce qu'on entend : — du moins un jour qu'en rêve
Ma pensée abattit son vol sur une grève,
Et, du sommet d'un mont plongeant au gouffre amer,
Vit d'un côté la terre et de l'autre la mer,
J'écoutai, j'entendis, et jamais voix pareille
Ne sortit d'une bouche et n'émut une oreille.

Ce fut d'abord un bruit large, immense, confus,
Plus vague que le vent dans les arbres touffus,
Plein d'accords éclatants, de suaves murmures,
Doux comme un chant du soir, fort comme un choc d'armures
Quand la sourde mêlée étreint les escadrons
Et souffle, furieuse, aux bouches des clairons.
C'était une musique ineffable et profonde,
Qui, fluide, oscillait sans cesse autour du monde,
Et dans les vastes cieux, par ses flots rajeunis,
Roulait élargissant ses orbes infinis
Jusqu'au fond où son flux s'allait perdre dans l'ombre
Avec le temps, l'espace et la forme et le nombre !
Comme une autre atmosphère épars et débordé,
L'hymne éternel couvrait tout le globe inondé.
Le monde, enveloppé dans cette symphonie,
Comme il vogue dans l'air, voguait dans l'harmonie.

Et pensif, j'écoutais ces harpes de l'éther,
Perdu dans cette voix comme dans une mer.

Bientôt je distinguai, confuses et voilées,
Deux voix dans cette voix l'une à l'autre mêlées,
De la terre et des mers s'épanchant jusqu'au ciel,
Qui chantaient à la fois le chant universel ;
Et je les distinguai dans la rumeur profonde,
Comme on voit deux courants qui se croisent sous l'onde.

L'une venait des mers ; chant de gloire ! hymne heureux !
C'était la voix des flots qui se parlaient entre eux ;
L'autre, qui s'élevait de la terre où nous sommes,
Était triste : c'était le murmure des hommes ;
Et dans ce grand concert, qui chantait jour et nuit,
Chaque onde avait sa voix et chaque homme son bruit.

Or, comme je l'ai dit, l'océan magnifique
Épandait une voix joyeuse et pacifique,
Chantait comme la harpe aux temples de Sion,
Et louait la beauté de la création.
Sa clameur, qu'emportaient la brise et la rafale,
Incessamment vers Dieu montait plus triomphale,
Et chacun de ses flots, que Dieu seul peut dompter,
Quand l'autre avait fini, se levait pour chanter.
Comme ce grand lion dont Daniel fut l'hôte,
L'océan par moments abaissait sa voix haute ;
Et moi je croyais voir, vers le couchant en feu,
Sous sa crinière d'or passer la main de Dieu.

Cependant, à côté de l'auguste fanfare,
L'autre voix, comme un cri de coursier qui s'effare,
Comme le gond rouillé d'une porte d'enfer,
Comme l'archet d'airain sur la lyre de fer,
Grinçait ; et pleurs, et cris, l'injure, l'anathème,
Refus du viatique et refus du baptême,
Et malédiction, et blasphème, et clameur,
Dans le flot tournoyant de l'humaine rumeur
Passaient, comme le soir on voit dans les vallées
De noirs oiseaux de nuit qui s'en vont par volées.
Qu'était-ce que ce bruit dont mille échos vibraient ?
Hélas ! c'était la terre et l'homme qui pleuraient.

Frères ! de ces deux voix étranges, inouïes,
Sans cesse renaissant, sans cesse évanouies,
Qu'écoute l'Eternel durant l'éternité,
L'une disait : NATURE ! et l'autre : HUMANITÉ !

Alors je méditai ; car mon esprit fidèle,
Hélas ! n'avait jamais déployé plus grande aile ;
Dans mon ombre jamais n'avait lui tant de jour ;
Et je rêvai longtemps, contemplant tour à tour,
Après l'abîme obscur que me cachait la lame,
L'autre abîme sans fond qui s'ouvrait dans mon âme.
Et je me demandai pourquoi l'on est ici,
Quel peut être après tout le but de tout ceci,
Que fait l'âme, lequel vaut mieux d'être ou de vivre,
Et pourquoi le Seigneur, qui seul lit à son livre,
Mêle éternellement dans un fatal hymen
Le chant de la nature au cri du genre humain ?

Juillet 1829.

CE QU4ON ENTEND SUR LA MONTAGNE
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Ce siècle avait deux ans ! Rome remplaçait Sparte,
Déjà Napoléon perçait sous Bonaparte,
Et du premier consul, déjà, par maint endroit,
Le front de l'empereur brisait le masque étroit.
Alors dans Besançon, vieille ville espagnole,
Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole,
Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois
Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix ;
Si débile qu'il fut, ainsi qu'une chimère,
Abandonné de tous, excepté de sa mère,
Et que son cou ployé comme un frêle roseau
Fit faire en même temps sa bière et son berceau.
Cet enfant que la vie effaçait de son livre,
Et qui n'avait pas même un lendemain à vivre,
C'est moi.
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Enfant ! si j'étais roi, je donnerais l'empire,
Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux
Et ma couronne d'or, et mes bains de porphyre,
Et mes flottes, à qui la mer ne peut suffire,
Pour un regard de vous !

Si j'étais Dieu, la terre et l'air avec les ondes,
Les anges, les démons courbés devant ma loi,
Et le profond chaos aux entrailles fécondes,
L'éternité, l'espace, et les cieux, et les mondes,
Pour un baiser de toi !

A MA FEMME
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Parfois, lorsque tout dort, je m'assieds plein de joie
Sous le dôme étoilé qui sur nos fronts flamboie ;
J'écoute si d'en haut il tombe quelque bruit ;
Et l'heure vainement me frappe de son aile
Quand je contemple, ému, cette fête éternelle
Que le ciel rayonnant donne au monde la nuit !

Souvent alors j'ai cru que ces soleils de flamme
Dans ce monde endormi n'échauffaient que mon âme
Qu'à les comprendre seul j'étais prédestiné ;
Que j'étais, moi, vaine ombre obscure et taciturne,
Le roi mystérieux de la pompe nocturne ;
Que le ciel pour moi seul s'était illuminé !

XXI - (Novembre 1829)
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Le jour s'enfuit des cieux; sous leur transparent voile,
De moments en moments se hasarde une étoilé;
La nuit pas à pas monte au trône obscur des soirs;
Un coin du ciel est brun, l'autre lutte avec l'ombre,
Et déjà succédant au couchant rouge et sombre,
Le crépuscule gris meurt sur les coteaux noirs.

Et là-bas, allumant ses vitres étoilées,
Avec sa cathédrale aux flèches dentelées,
Les tours de son palais, les tours de sa prison,
Avec ses hauts clochers, sa bastille obscurcie
Posée au bord du ciel comme une longue scie,
La ville aux mille toits découpe l'horizon.
...
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