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3,76

sur 732 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
NON. Ne commencez jamais John Irving par ce livre-ci !
J'aime John Irving. Il a écrit des romans qui m'ont enchanté, dans tous les sens du termes, Une prière pour Owen, le monde selon Garp ou encore L'oeuvre de Dieu la part du Diable, pour ne citer que cela.
Là, certes, il exprime et fait oeuvre pour une meilleure compréhension des sexualités originales, différentes, et ça ne fonctionne pas trop mal.
Mais on sent que c'est du Irving déjà vu et en beaucoup mieux, déjà fait et en beaucoup mieux. Trop de pages, des personnages trop nombreux et pas si attachants, en fait on s'en fout un peu. Et ça ne tient pas vraiment la route.
Une prière pour Owen, ma référence, évoquait aussi des sujets assez semblables, avec les mêmes ingrédients et les mêmes ingrédients, et les mêmes ingrédients, mais son personnage, encore moins crédible sur papier, il en faisait un ange, un vrai, un personnage christique auquel on croyait ! le méga tour de force.
Ici, c'est raté. Et je mets deux étoiles pour que les personnes qui veulent découvrir cet auteur aillent trouver leur bonheur dans un autre de ses livres !!
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On ne devrait jamais être déçu par les auteurs qu'on aime. Ou alors, la déception devrait être de celle que m'a faite Roth en annonçant qu'il arrêtait d'écrire, mais pas de celle que vient de me causer John Irving. Pourtant, pour qu'Irving me déçoive, il en faut beaucoup. Je l'ai défendu bec et ongles, malgré certains romans légèrement moins bons et je m'apprêtais réellement à lire un super roman que j'adorerais. J'ai même lâché tout ce que j'avais en cours de lecture quand je l'ai reçu, pour pouvoir me jeter dessus avec gourmandise. Et j'ai mis plus d'une semaine à lire lire, finalement.

Une semaine ? Franchement ? Oui, une semaine. C'est dire si je me suis fait ch… ennuyée, dirons-nous. Mais comme un rat mort abandonné dans un égout. Dès le début j'ai senti que ça ne me plairait pas. D'abord parce que c'était à la première personne du singulier, chose dont je n'avais pas l'habitude chez Irving et que j'apprécie généralement assez peu. J'aime les narrateurs omniscients, sûrs d'eux et qui racontent des choses, pas les jeunes hommes fragiles qui se répètent et se répètent.
Je n'ai aucun souci avec le fait qu'il ne sache pas où il aille. Je n'ai aucun souci avec ses questionnements de genre et de sexualité. Mais il est mou, et ça, ça m'embête. Ça m'agace. Ça m'énerve, même. Je n'aime pas les héros infoutus de prendre une décision et qui chouinent sur eux-mêmes pendant tout un roman.
Quant à la fin, je n'en parlerai même pas tellement elle m'a rendue folle. Ou pas folle. Juste… non, juste j'ai refermé le bouquin, soupiré et je suis passée à autre chose en essayant de ne pas penser à ce gâchis.
Reste plus qu'à voir s'il y en aura un suivant ou si la source s'est tarie. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que je serai bien moins impatiente.
Lien : http://www.readingintherain...
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J'avais apprécié l'atmosphère baroque et burlesque du « monde selon Garp » ou encore «une prière pour Owen » qui permettait d'aborder avec un humour corrosif des sujets brulant d'actualité, mais là la magie n'opère plus et j'ai l'impression de me retrouver piégée dans une émission de téléréalité. Je ne pense pas que je finirais ce livre – j'en suis à la p 174 – malgré tout l'intérêt que je porte à la cause des homosexuels et consorts… les références à Ibsen et Sheakspeare ne sauve rien, l'écriture est bien trop brouillonne : un flop…
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Après avoir été captivé par "Dernière nuit à Twisted River", je n'ai pas pris le même plaisir à lire ce roman de John Irving. On retrouve comme souvent ses thèmes fétiches : ambiguïté sexuelle, le catch, les amours contrariés et la littérature. Ici c'est très concrètement la vie sexuelle d'un adolescent, Bill, troublé par son amour pour son beau-père et dans le même temps l'attirance pour les femmes qui motive le récit. L'initiation sexuelle... et littéraire par une sculpturale femme qui dirige la bibliothèque municipale est très enlevée mais il faut attendre longtemps et beaucoup de digressions pour la savourer pleinement. Des surprises donc mais aussi des longueurs
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Tous les ingrédients familiers aux romans de John Irving sont là ... sauf la magie.
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livre très moyen (pour un Irving) La description du milieu homosexuel voir bi, semble un exercice de style obligatoire pour les écrivains anglosaxons. de plus cette description n'est pas particulièrement interessante dans cette oeuvre, seule la partie sur le théatre sauve l'ensemble
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Les critiques, y compris sur Babelio, étaient très élogieuses mais rien à faire: j'ai eu beaucoup de mal à finir le dernier livre d' Irving, "A moi seul bien des personnages". Que c'est long! Que c'est répétitif. C'est toujours le même problème avec Irving finalement. Il a une idée et il la délaie pendant 600 pages. Pourtant le thème abordé, le transgenre ou plus précisément l'indécision de (notre) identité sexuelle était prometteur. Mais finalement ce livre est très prévisible. Je pense notamment aux chapitres consacrés aux ravages du sida dans les années 80. Je les attendais quasi dès le début du livre. Mais peut-être que finalement je n'aime pas John Irving. Je me rends compte que j'ai peu de souvenirs de ses livres précédents. Liberté pour les ours, l'épopée du buveur d'eau, par exemple.je serais bien en peine de les raconter. C'est un signe non?
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Bon, eh bien moi qui adore J.I et qui ai lu tous ses livres, me suis évidemment précipitée sur son dernier ouvrage. Suis déçue par les 3/4 du bouquin…Beaucoup d'histoire sexuelles sympas, intéressantes dans le contexte années 60, mais bon pas de quoi écrire 500pages sur 750 ! le dernier quart le plus captivant est aussi hélas le plus triste avec l'arrivée du sida…
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Ca faisait longtemp que je n'avais pas lu d'Irving, mais j'ai été déçu.
Même si les personnages sont attachant, il manque ces petits moments qui nous font passer du rire aux larmes et des larmes au rire. Il manque cette multitude d'indices qui se rejoignent dans des scènes burlesques ou dramatiquement burlesques. Bref il manque ce qui fait que "L'oeuvre de Dieu, la part du diable" ou "Le monde selon Garp" sont des chefs d'oeuvre.

Ici, John Irving pose la question de la normalité sexuelle. Il a voulu montrer que la crudité du propos ne lui faisait pas peur. Mais jamais il n'y apporte de réponse... ou même de non-réponse. Restant cloisonner dans des clivages, il fait plusieurs fois le tour de la question pour finir dans un flop final...
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Abandonné à la page 230 ! J'ai fait un gros effort pour ne pas l'abandonner avant, mais ce livre est vraiment très très ennuyeux. Passées les premières surprises liées aux différents personnages assez originaux et à l'écriture crue de John Irving, il faut se rendre à l'évidence : il ne se passe RIEN d'intéressant. Très déçu...
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