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Le chevalier aux épines (Jaworski) tome 3 sur 3
EAN : 978B0C7HBFRFZ
Les Moutons Electriques (25/01/2024)
4.25/5   97 notes
Résumé :
Profitant des querelles au sein de la famille ducale, les clans d’Ouromagne ont pris l’initiative de la guerre contre le duché de Bromael. Le chevalier de Vaumacel, entraîné dans ces conflits, est impliqué dans les pourparlers entre les camps. Cependant, il n’abandonne pas le dessein de restaurer son honneur et celui de la duchesse déchue, au sujet de laquelle courent les rumeurs les plus contradictoires.

Ædan de Vaumacel compte encore sur l’appui des... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Jean-Philippe Jaworski vient de publier le troisième volume du "Chevalier aux épines", intitulé "Le débat des dames", et la fin qu'il imagine est si ouverte qu'on désirerait presque un quatrième tome : selon la logique du récit, c'est peu probable, mais on peut toujours rêver. La lecture de ce livre donne envie de reprendre les deux précédents, de peur d'être passé à côté de plaisirs et d'aventures pris et vécus trop vite, trop goulûment, comme on consommerait de la littérature de catégorie inférieure. Certes, l'auteur n'oublie jamais de distraire, de veiller au rêve du lecteur, mais il rompt avec les habitudes et les prudences des romanciers para-littéraires trop soumis à leur public, et se plaît à désorienter, à intriguer, à placer le lecteur devant des énigmes sans solution, bref à le perdre ou à jouer avec lui comme un chat avec la souris qu'il a capturée. Ses admirables pages descriptives, ses récits de combat ou d'exploration, le temps et le soin qu'il prend à relater et à poser son univers, rappellent l'art de Tolkien ou celui de Flaubert : après tout, sa salammbô tient du roman d'aventures comme de la tradition romanesque la plus classique.

Jean-Philippe Jaworski n'écrit pas à partir de rien, et son travail de préparation à la création romanesque est prodigieux : son livre, proche du roman historique, suppose une documentation importante, des recherches, des études, et une culture littéraire immense. En tant que romancier, il met ses pas dans une tradition, celle du roman de chevalerie, du fabliau, et enfin du fantastique né des Lumières. On entend alors dans le conflit qu'il pose entre les codes de l'amour et ceux de l'honneur, entre la parole donnée et l'inclination du coeur, des échos arthuriens et aussi du Roman de Tristan, où des contradictions de ce genre avaient persuadé Chrétien de Troyes, auteur cité dans "Le chevalier aux épines", d'écrire sa propre version du mythe, plus honorable et morale, qu'il aurait intitulée (s'il avait vécu pour la réaliser) "Du roi Marc et de la reine Yseut". On entend aussi de lointains échos des romans et nouvelles gothiques de l'époque romantique, dont les mieux connus en France sont les nouvelles de Gautier comme "La morte amoureuse", citée par Jaworski p. 359. Ce motif de la femme vampire hante aussi les romans de Mircea Eliade, tel "Mademoiselle Christina" : j'y ai songé à certains moments, pendant la description somptueuse de la chambre de la Duchesse. Jaworski, par ailleurs, avoue sa fascination pour Alexandre Dumas. Mais il va de soi que la référence constante du "Chevalier aux Epines" est la riche littérature chevaleresque de notre Moyen-Age, où l'auteur puise constamment.

Il ne se contente pas de reprendre des éléments romanesques médiévaux : il les retravaille, en leur donnant cette touche fantastique absente de l'original (qui joue plutôt sur le merveilleux et le féerique), ensuite en remodelant en profondeur les récits anciens qu'il reçoit. Ce travail se manifeste dès le titre : "le débat des dames" laisse attendre une réunion de belles dames courtoises délibérant sur un point de détail de l'éthique noble. Sans perdre de vue cette casuistique particulière, l'auteur peint le déchaînement de volontés de puissance féminines et la tentative de destruction d'un chevalier parfait, ou qui se croit tel, par les dames auxquelles il a donné sa foi. Reste à savoir si ce chevalier obsédé du point d'honneur sera réellement détruit par cette rivalité entre une amante-fée et une duchesse-stryge : à l'opposé de Tristan, Aedan de Vaumacel ne meurt pas à la fin et le débat des dames est tranché, dans une certaine mesure. En d'autres termes, le romancier renverse totalement la tradition courtoise et chevaleresque en donnant à la Dame et à sa souveraineté une force destructrice qui utilise cyniquement les hommes pour triompher. Il exploite pour ce faire les tensions déjà présentes dans les romans médiévaux, où les grands seigneurs, commandant à des clercs des textes qui les flattent et les idéalisent, n'étaient pas toujours satisfaits par l'image que l'on renvoyait d'eux.

Il y aurait encore beaucoup à dire et à discuter sur cet excellent roman. Il faut le lire, et le lire lentement, pour en savourer toutes les richesses.

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Voilà donc l'épilogue de cette trilogie, que j'ai trouvé dans la droite lignée des deux précédents opus. En résumé : oui, mais non.
Les répliques en vers des Aventureux du Bois Oiselé, oui.
Les morceaux en vers de la chanson du bel églantier, oui.
Les répliques à couper au couteau entre Vaumacel et la duchesse, puis avec la Lissandière, oui.
Les descriptions parfois grandioses, spectaculaires, et quoi qu'il en soit très évocatrices, oui.
L'incroyable richesse du monde tissé par l'auteur, oui.
Le style évidemment, oui, avec une mention particulière pour le lexique. Jaworski est et restera quoi qu'il arrive un très grand écrivain.
Mais...
Les longueurs, en particulier les longueurs descriptives au cours des voyages, non. La traversée des souterrains de Vayre est interminable, on croit ne jamais en voir la fin. La description de l'incroyable complexité dudit château est assommante, et la visite de tout le lexique architecturomédiéval ne m'a pas permis pour autant de me figurer vraiment la géographie des lieux.
Tous ces personnages riches créés avec tous ces arcs narratifs secondaires, pour finalement ne pas les fermer, et se concentrer sur le destin d'un personnage dont on ne sait même pas vraiment ce qu'il devient, car...
Le dénouement, non. Je ne suis même pas sûr de l'avoir vraiment compris. Tout ça pour ça ?
J'ai lu les trois opus dès leur sortie, les trois en un an date à date, donc. Pour autant, je ne me rappelais déjà plus, malgré le résumé en incipit, de certains événements dont il est fait mention dans ce troisième volume. Je pense donc que pour en saisir toute la substantifique moelle, il faut pour bien faire enchaîner les trois maintenant qu'ils sont tous sortis. Mais pour ça, il faudrait que ce soit un peu plus digeste.
Malgré la virtuosité de l'auteur, j'ose donc prononcer le mot de (demi-) déception.
J'ai commencé ce cycle comme un inconditionnel de Jaworski, j'en sors en étant toujours un admirateur, mais beaucoup moins inconditionnel.
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Aspect très appréciable pour une série de roman, il aura fallu attendre moins de 1 an pour avoir l'intégralité des romans contant les aventures du chevalier aux épines, dans le Vieux Royaume. Bon point par rapport à la série roi du monde, qui quoique excellente, avait trop tiré en longueur de parution... J'ai donc lu les trois livres quasiment à la suite, et je classe cette série parmi les tous meilleurs titres de fantasy française de ces dernières années. J'avais déjà dévoré Gagner la guerre, Janua vera et le sentiment du fer, mais je mettrai celui-ci encore au dessus.

L'histoire commence donc peu de temps après la fin du tome 2 (quelques jours à quelques semaines), enfin juste le temps pour l'ost ducal de Bromaël de subir une terrible défaite qui compromet leur offensive contre les Ouromands et échoue à délivrer la ville de Vekkinsberg. le livre s'ouvre quand le chevalier aux épines, flanqué de ses gens et des chevaliers Geriant de Froëchs et du chevalier aux pies, va pour récupérer le fils du comte de Kimmarc, Claudas, fait prisonnier dans la bataille. Mais ils découvrent bien vite que parlementer avec les hommes de Ferbasach, le chef Ouromand, est voué à l'échec. Ils s'en retournent donc au travers de contrées ravagées par la guerre prendre de nouvelles instructions auprès du comte de Kimmarc, non sans avoir ramené avec eux un prisonnier bien singulier, un prêtre croisé dans le premier tome par Aedan de Vaumacel.

Après un tome 1 reposant sur la chevalerie, l'honneur, et le quotidien d'un moyen-age presque normal, un tome 2 laissant place aux fourberies, manipulations et autres forfanteries, quid du tome 3 ? le cadre est beaucoup plus lourd, austère, lié à la guerre, aux raids, aux massacres lié à une guerre de territoire entre Ouromands et Bromaël, mais aussi à une guerre quasi fratricide menée par Méléagant de Vayre pour venger l'attentat contre sa mère. Les campagnes et villages sont désolés, pillés, la population survit à peine, les membres des cultes, spécialement celui du desséché, sont massacrés avec la plus grande cruauté. Les protagonistes se déplacent au gré des incendies, entre les places fortes, toujours sur leurs garde. Quant aux châteaux, ils grouillent de monde, de soldats, de problèmes d'intendance, dans le froid et l'humidité. Bien loin des images d'Épinal du moyen-âge! Au fait, on devine très vite quelles sont les deux dames du titre...

On redécouvre avec plaisir le chevalier aux épines, toujours aussi (trop?) droit, ses suivants, et quelques chevaliers croisés durant le tournoi de Lyndinas. On apprend à connaître les Oroumands, troupe de morceaux de bidoche musclés, impitoyables, et visiblement assez limités au niveau intellect, excepté leurs chefs, en particulier. de véritables barbares qui se moquent des calculs et stratégies des dirigeants du vieux royaume. On fait enfin connaissance avec le comte de Kimmarc, qui arrive à imposer le respect et confie une mission de la dernière chance à Aedan de Vaumacel. C'est lors d'une audience avec le comte que le prêtre libéré va s'ouvrir, et livrer une confession chamboulant l'histoire du royaume !

Jean-Philippe Jaworski arrive une nouvelle fois à nous immerger dans son univers tellement cohérent, et nous fait avancer plus avant dans son histoire, ses légendes, ses luttes ancestrales qui ont abouti à son organisation actuelle. Dans un style toujours aussi fluide que recherché, il image à la perfection le déroulement des scènes de voyage aussi bien que de combat. Les 100 dernières pages du livre sont d'une intensité assez rare. Au niveau de l'intrigue, le lecteur s'imagine souvent avoir compris telle ou telle chose, mais bien malin qui peut prévoir ce qu'il va se passer 50 pages plus loin : on se fait des hypothèses sur plein de mystères à élucider, mention spéciale au récit du prêtre, mais l'auteur va jouer avec son lecteur tout au long du livre. On peut même dire que le narrateur joue aussi avec ses lecteurs. le roman lève le voile sur presque toutes les interrogations des tomes précédents, on en apprend plus sur le chevalier aux épines et les aventureux du bois oiselé, et les liens à leur dame. Alors certes on ne sait pas comment se passent les événements de l'Histoire de la guerre contre les Ouromands, mais l'essentiel n'est pas là... on sait pourquoi les événements ont eu lieu et qui tire certaines ficelles.

Ce tome 3 conclut donc avec brio une superbe série de chevalerie médiévale. On se laisse absorber par ce monde, ses personnages, ses guerres, et on découvre l'enchaînement des événements qui poussent le chevalier aux épines à composer avec des objectifs contradictoires, mais il reste toujours identique à lui-même : le chevalier droit dans ses bottes à l'éthique absolue.
Lien : http://aupaysdescavetrolls.f..
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Après l'échec de leur ambassade auprès de Ferbasach, le chef des Ouromands pour faire libérer contre une rançon Claudas de Kimmarc, Ædan de Vaumacel et ses amis preux retournent bredouilles auprès du comte Angusel. Face à cette impasse, le chevalier aux épines propose d'aller plaider la paix auprès de la duchesse de Bromael, récemment libérée et de son fils Méléagant de Vayre afin qu'ils unissent leurs forces à celles de Ganelon pour bouter l'ennemi hors de leurs terres. La mission s'annonce épineuse au vu des terribles antagonismes sans parler de l'intervention d'une sombre et ancienne magie qui pourrait bien faire échouer notre noble chevalier, qui sait !

Changement de narrateur dans Le Débat des Dames puisque Jean-Philippe Jaworski délaisse à nouveau son célèbre assassin au profit du chevalier aux épines. Cela a pour conséquence directe de rebasculer le récit dans le cadre chevaleresque qui a marqué le début de ce cycle. Pour autant, l'ambiance n'est plus aux joutes pour laver l'honneur mais plutôt à la délicate question de la paix et de l'union. Entre ces lignes, Ædan de Vaumacel se fait le héraut de guerre chargé d'enterrer les désaccords familiaux afin de rétablir la cohésion au sein du duché de Bromael et ainsi de le sauver des griffes de l'ennemi. La cause est noble et louable mais sans doute un tantinet idéaliste car ce que le chevalier ignore est qu'il est surtout le pion de deux femmes dont les agissements prennent racines dans un passé lointain.

Le Débat des Dames est l'occasion pour Jean-Philippe Jaworski de démêler tous ses fils narratifs, y compris ceux initiés dans le Service des Dames. Ainsi, les intrigues prennent tout leur sens, notamment par le truchement des révélations sur les nombreux mystères qui courent tout au long de ces trois tomes.

Dans ce dernier opus, l'auteur laisse l'onirisme s'épanouir plus généreusement. Il lève donc le voile sur l'origine des magies qui sont à l'oeuvre dans cet univers. En effet, Jean-Philippe Jaworski joue à la fois sur la figure de l'enchanteresse qui ensorcèle le chevalier pour servir ses desseins et sur l'utilisation d'une sombre magie ayant trait avec la mort, la nécromancie. Or, tout au long de ce tome, ces deux pouvoirs rivalisent pour écraser l'autre, quitte à se servir sans vergogne de certains protagonistes au mépris de leur vie. L'existence de ces pouvoirs s'appuie sur un historique solidement construit et nourrie par de nombreuses influences lui donnant intérêt et cohérence. C'est la valeur ajoutée qui donne à ce récit tout son sel en mettant notamment en relief les nombreuses intrigues.

L'histoire du Chevalier aux Epines a su piquer ma curiosité dès les premières pages.

l'auteur excelle à créer une ambiance médiévale crédible et immersive, ce qui est un atout indéniable à la saga... plus sur Fantasy à la Carte



Lien : https://fantasyalacarte.blog..
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Quel final !! Est-ce-que ça se fait de laisser d'innocents lecteurs pareillement sur leur faim ?! Je suis (faussement) outrée et scandalisée !!

Nombreuses sont les questions qui restent en suspens à la fin de ce dernier opus. On ne le saura pas dans l'immédiat. Si les aventures du chevalier aux épines trouvent en effet leur fin, il reste de la place à JP Jaworski pour poursuivre les récits du Vieux Royaume.

Y a t'il des lecteurs intéressés pour débriefer la fin de cette trilogie et proposer leurs interprétations concernant les points laissés en suspens ? L'échange m'intéresse. Vous pouvez répondre à cette critique ou me contacter en message privé. On peut même envisager un échange en visio si plusieurs personnes sont partantes.

Bonne lecture à tous.
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critiques presse (1)
Syfantasy
27 mars 2024
Je ne cache pas mon engouement pour ce cycle, car il est pur et sincère. Je ne crois pas qu'on puisse l'ignorer dans le paysage contemporain de la fantasy, française ou pas, qu'on l'apprécie ou non.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Sitôt qu'ils furent cuirassés, les chevaliers se mirent en selle. Pour parer à toute éventualité, ils montaient des destriers plutôt que des palefrois. Ils quittèrent les ruines alors que l'aube s'annonçait à peine. A l'est, un liseré de feu découpait les reliefs et la chevelure des forêts ; le ventre de quelques nuages se parait de teintes pastels qui allumaient des reflets glauques sur un méandre du fleuve. A l'opposé, le golfe se drapait encore dans un manteau de nuit ; de tardives étoiles penchaient toujours au-dessus des abysses marins. Porteur de la sourdine des vagues, un vent de mer froissait les hautes herbes entre les jambes des chevaux.
p. 44
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Le chevalier, fort circonspect
Fit la remarque au farfadet,
Qu’un conte si extravagant
Sentait un peu son boniment.
D’un air froissé, le Beau Trouvé,
Répliqua qu’il saurait prouver
L’existence de sa sorcière :
« On l’appelle la lissandière,
Et si vous êtes courageux,
Je puis vous mener jusqu’au lieu
Où elle trame sa magie.
Une fois votre âme éblouie
Par la force de ses chimères,
Vous verrez que je suis sincère,
Dans le récit de mes misères,
Et que je ne mérite guère
D’être pris pour seul responsable
de ces facéties discutables…
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Sachez que la Déesse, quant à elle, nous enseigne que la nécessité n’est que l’une des forces qui gouvernent nos existences ; il en est d’autres, comme la foi, la raison, la justice, la beauté et la contemplation, et toutes offrent des chemins de liberté.
Commenter  J’apprécie          60
Quelle est la prouesse que je vous demande d’accomplir pour moi, murmura-t-elle. Affrontez l’injustice qu’on nous a faite débarrassé de votre armure de vertu. Je veux que ce soit l’homme à nu, et non, le chevalier cuirassé, qui me défende au milieu de mes ennemis.
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La peste vous emporte ! Reveillez-vous ! Il n’est plus temps de s’occuper de basse justice, de changer des complaintes ou de disputer les faveurs des belles ! Nous sommes à Neuvyddin et le barbare est à nos portes !
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Videos de Jean-Philippe Jaworski (28) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Philippe Jaworski
Le fil rouge de ce nouvel épisode ? L'amour.
Sept conseils de lectures, proposés par sept libraires de Dialogues, des livres pour tous les âges, pour tous les goûts, pour toutes les sensibilités, et qui, chacun, nous parle d'amour à sa façon.
Voici les livres cités dans cet épisode :
Normal People, de Sally Rooney (éd. de l'Olivier) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/18431293-normal-people-sally-rooney-editions-de-l-olivier ;
Ada et Graff, de Dany Héricourt (éd. Liana Levi) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23009211-ada-et-graff-dany-hericourt-liana-levi ;
J'ai péché, péché dans le plaisir, d'Abnousse Shalmani (éd. Grasset) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23136090-j-ai-peche-peche-dans-le-plaisir-abnousse-shalmani-grasset ;
Forough Farrokhzad, oeuvre poétique complète (éd. Lettres persanes) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/13210169-forough-farrokhzad-oeuvre-poetique-complete-forug-farroh-zad-persanes ;
Je serai le feu, de Diglee (éd. La ville brûle) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/19776423-je-serai-le-feu-diglee-la-ville-brule ;
Les Choses de l'amour, de Dorothée de Monfreid (éd. Misma) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/16724027-les-choses-de-l-amour-dorothee-de-monfreid-misma ;
Le Chevalier aux épines, tomes 1, 2 et 3, de Jean-Philippe Jaworski (éd. Les Moutons électriques) : https://www.librairiedialogues.fr/recherche/?q=le+chevalier+aux+%C3%A9pines ;
Sans crier gare, de Gary D. Schmidt (éd. École des Loisirs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23027151-sans-crier-gare-gary-d-schmidt-ecole-des-loisirs ;
Plein ciel, de Siècle Vaëlban (éd. Castelmore) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23128671-plein-ciel-edition-reliee--siecle-vaelban-bragelonne.
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