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4,07

sur 476 notes
Dès le début du livre, je prends plaisir à découvrir ces hommes et femme de loi un peu atypiques (à l'instar de nombreux romans policiers) qui enquête sur une série de meurtres improbables sans aucun lien entre eux. Les thématiques sont variées : politique, sujets de société, le tout traité avec beaucoup d'humour. J'aime bien le personnage du Lieutenant Latour et j'ai aimé découvrir le monde des livres anciens. Mais au fur et à mesure, on perd en crédibilité et en intérêt. le dénouement est trop rapide et facile (j'avais deviné). Les caractères des assassins sont mal développés (à l'opposé des policiers), c'est un peu bâclé. Et puis je n'accroche pas trop avec le Capitaine Mehrlicht, trop alcoolisé à mon goût (il me fait penser à Rovère dans Boulevard du Palais, mais sans le côté « brisé par la vie »). Je me suis fiée à l'excellente note pour lire mon premier roman de Nicolas Lebel, mais je n'ai pas accroché plus que cela. Comme je suis curieuse, je débute « Sans pitié ni remords » de l'auteur pour me faire une idée définitive.
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Deuxième épisode de la série Mehrlich (qui en comporte trois à ce jour et que les lecteurs aimeraient voir s'allonger …) où nous découvrons un nouveau stagiaire, véritable « âme damnée » de l'enquêteur batracien-fumant mais qui, pour le coup « le vaut bien ! ». Cette fois nous explorons l'univers des collectionneurs de livres anciens et des arnaques aux assurances au coeur d'une intrigue où il faudra trouver l'origine du désir de vengeance de l'empoisonneuse … qui n'a rien à voir avec la« Fleur de Tonnerre » de Teulé. le rythme s'accélère au cours de ces trop courtes 276 pages pour terminer en feux d'artifice, ou feu tout court. L'équipe d'enquêteurs s'affine au cours des épisodes de cette série, tout comme de caractère de Mehrlich à la fois odieux et attachant puits de culture. Les sonneries de téléphone, bien à propos, arrivent à point pour détendre l'atmosphère : belle trouvaille !
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Le jour de morts, sans faire partie d'une série, reste dans la continuité de L'heure des fous. On y retrouve les protagonistes et l'ambiance, mais on a à faire à une nouvelle enquête qui n'a absolument rien à voir avec le premier roman de Nicolas Lebel.
C'est aussi bien pour ceux qui aiment le changement, que pour ceux qui ont peur de s'engager dedans sans avoir lu L'heure des fous. Vous pouvez donc y aller sans aucun souci de compréhension. Néanmoins, même si vous avez toutes les clés en main pour l'apprécier, je vous conseille vivement de vous procurer le précédent, tout simplement parce qu'il est bon.

C'est vraiment avec un grand plaisir que je me suis plongée dans le jour des morts pour y retrouver Mehrlicht, Dossantos, Latour et le traditionnel (et toutefois différent) stagiaire. Mais aussi pour savourer la plume rythmée, précise et impeccable de l'auteur.
L'intrigue ici offre une trame encore bien plaisante pour les amateurs de polars, et met en scène des tueurs particulièrement perverses. D'abord un patient de 65 ans empoisonné sur son lit d'hôpital à Paris, puis une famille à Courbevoie, la liste des victimes de l'empoisonneuse s'allonge. Même si présentée comme ça, l'histoire fait un peu « déjà vu », c‘est sans compter sur la talent de Nicolas Lebel pour travailler son intrigue. Sans artifice ni sensationnel, il pousse gentiment l'enquête pour en faire une fiction plaisante à suivre, complexe comme il faut (sans trop en faire), intrigante jusqu'aux dernières pages et aussi attachante................................
Lien : http://libre-r-et-associes-s..
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Lire ce livre c'est comme déguster un mets extrêmement savoureux au parfum enivrant! Nicolas Lebel nous offre ici un succulent repas aux multiples goûts. Croyez-moi, c'est un vrai cordon bleu! Vos papilles gustatives vont se régaler de ce tourbillon de saveurs.
SAVEUR ACIDE.
Comme cette impitoyable empoisonneuse qui agit avec rancoeur et sans scrupule. Elle vous laissera un goût aigre en bouche ainsi que de multiples sensations qui vous feront froid dans le dos.
SAVEUR AMERE.
Une saveur rude et désagréable qui vous laissera au bord de la nausée quand vous comprendrez enfin les motivations machiavéliques de cette empoisonneuse.
SAVEUR SALEE.
Comme ce récit qui est loin d'être insipide. En effet, impossible de ne pas se délecter de la finesse de son écriture qui est pimentée d'une bonne dose d'humour que l'on savoure tellement elle est croustillante.
SAVEUR SUCREE.
Comme le plaisir que vous allez ressentir en vous prenant d'affection pour ces personnages. Des personnages délicieux, hauts en couleur, appétissants et très attachants. Je me suis régalée de leur humour décalé... un vrai festin!!!
SAVEUR PIQUANTE.
Qui va exciter votre appétit! Ce récit est tellement original que vous serez piqué au vif. Vos papilles vont en frétiller de joie et vous allez vous lécher les babines comme jamais. Miam....

Que vous soyez ou non de nature gourmande, laissez-vous tenter pas ce fabuleux banquet qui vous ravira les sens!
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dans la même veine que le premier de la série, toujours aussi réjouissant et on a du plaisir à retrouver les mêmes personnages. un polar bien ficelé, prenant, avec des personnages hauts en couleur et un décor réaliste très engagé dans son époque. je recommande vivement !
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Ceux qui ont a déjà eu un roman de Nicolas Lebel entre les mains connaissent ce sentiment... On ne peut qu'avoir hâte de lire le suivant ! Vous êtes prévenus... faites gaffe c'est addictif... !! :)
Pourquoi ça nous plaît ? Parce que Nicolas Lebel nous concocte de solides intrigues, et qu'il a créé une équipe de flics de choc pour les résoudre. Ses personnages bien campés et atypiques nous sont d'emblée sympathiques.

Tout d'abord, le capitaine Mehrlicht, à face de batracien, est érudit et on apprend toujours beaucoup à travers chaque roman. Ensuite vient le lieutenant Dossantos, malabar hyper protéiné qui dégaine les articles du code pénal plus vite que son ombre. Enfin, le lieutenant Latour, la seule jeune femme du groupe, secrète et amoureuse, cachant sa sensibilité et vulnérabilité afin de pouvoir faire sa place dans ce monde un peu trop rempli de testostérone.

Pour compléter son équipe de choc, dans ce roman, Mehrlicht se voit affublé d'un stagiaire calamiteux. Parviendra-t-il à le supporter pour la durée du stage ? Ledit stagiaire pourra-t-il cacher aux yeux de tous son insondable bêtise et incompétence ? Je vous laisse le plaisir de le découvrir..
Nous sommes à Paris, au moment de la Toussaint, l'équipe est appelée à l'hôpital Saint Antoine pour un meurtre qui y a été commis sur un patient. La mort est là, rôde et les policiers découvrent qu'elle a déjà semé des cadavres aux quatre coins de la France sans qu'aucun lien ne semble les relier. En effet, les victimes sont aussi bien le patient d'un l'hôpital, qu'une jeune femme seule ou encore une famille au complet, y compris les enfants. Les conclusions du médecin légiste sont sans appel, le modus operandi est bien le même pour toutes les victimes. Les enquêteurs sont donc face à des crimes par empoisonnement perpétrés sur une quarantaine d'années !

Comme aucun indice ne semble "coller" l'enquête s'embourbe pendant que les flics pataugent. Qui est le meurtrier ? Quel est son mobile ?
La hiérarchie policière est sur les dents, tout part à vau l'eau.. Et pour couronner le tout la population appelée à témoigner dans le cadre de l'enquête profite de la situation pour opérer une délation à tout va. Bref, tout cela crée un beau bazar que le supérieur de Merhlicht a bien du mal à contenir. Et pour nous lecteurs, c'est tout simplement jubilatoire :)
Vous l'aurez compris, la lecture du roman de Nicolas Lebel est un pur délice. A déguster sans modération !

Lien : https://mgbooks33.blogspot.c..
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Une deuxième enquête dans la droite ligne de la première, où l'on retrouve le même noyau avec un nouveau stagiaire à qui on mettrait volontiers quelques coups de pied au derrière... Sans jamais perdre l'humour qui caractérise sa série, Lebel offre une intrigue sombre et vénéneuse et développe une réflexion sur la justice, la vengeance et la peine de mort. à l'ère du buzz immédiat via les réseaux sociaux.
Lien : http://appuyezsurlatouchelec..
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Ceci n'est pas réellement une chronique... Inspiré de « Ces gens-là », considérons cela comme un hommage à l'application qui permet à Mehrlicht de faire chanter Brel à chaque sonnerie de son téléphone.

D'abord il y a Mehrlicht,
Lui qui est comme une grenouille
Lui qui est laid mais si drôle,
Lui qui connaît l'histoire
Monsieur, tellement qu'il est savant.
Qui cite la Genèse
En parlant en argot,
Mais qui jaunit ses dents
En fumant ses mégots.
Qui bizute ses stagiaires
Et parle comme un Audiard
Qui se fout de nous plaire
S'en tape le coquillard.
Faut vous dire Monsieur,
Que chez Nico Lebel
On ne s'ennuie pas Monsieur
On ne s'ennuie pas, on lit !

Et puis il y a les autres,
Ses collègues et amis
Tous emplis de différences
Que la mort et la vie
Mais qui quand ils s'assemblent
Forment une telle évidence.
Le lusitanien et ses muscles
Au passé pas si lisse
Qui cite son Code Pénal
Qui le connaît par coeur
Et qui donnerait sa chemise
A sa belle collègue rousse
Monsieur, tellement qu'il l'aime,
Elle qui ne voit qu'un russe
Celui qu'a pas de papiers.
Mais je dis pas tout des autres
Pour ceux qui l'ont pas lu.
Faut vous dire Monsieur,
Que chez Nico Lebel,
On oublie pas Monsieur,
On oublie pas, on aime !

Et puis, et puis...
il y a l'ambiance
De celle qui nous embarque
Dans un vieux Paris rance
Pourrie par ses énarques.
De celle qui nous emmène
Avec une poésie rare
Visiter le XIIème
Avec Maigret et son cigare
Puis Vargas en filigrane.
Même qu'on rit,
Puis qu'on sourit
Qu'on prend un tel plaisir
Monsieur, qu'on se laisse cueillir
Par le talent de Nicolas
Et même par son aura.
Parce que chez Nico Lebel,
Monsieur, on ne s'en va pas
On ne s'en va pas.

Mais il est tard Monsieur,
Il faut que je poste cette prose chez moi.

Lien : http://sous-les-paves-la-pag..
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Bonjour.

C'est la deuxième enquête du capitaine Mehrlicht et de son équipe.

Que je retrouve avec plaisir et j'apprécie de plus en plus le lieutenant Dossantos.

Nicolas mélange avec brio l'humour le sérieux et le suspense que ce soit dans les dialogues des personnages que dans l'histoire et l'enquête.

J'ai adoré cette lecture et là fin ma même très ému.

Si vous ne connaissez pas je vous le conseille à cent pour cent.

Bonne journée.

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Le capitaine Mehrlich fait partie des personnages policiers captivants. Il mène ses enquêtes avec maestria. Je ne m'étais pas encore attachée à ces premiers livres de Nicolas, et sincèrement, je me régale à ces lectures. J'avais savouré le premier tome, L'heure des fous, et tout autant celui-ci.

Et puis, il y met une pointe d'humour bien sympathique !

Si vous ne connaissez pas encore les personnages de Nicolas Lebel, lancez vous, vous aimerez !
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