On doit à
Jérôme Prieur des documentaires et des livres sur
Marcel Proust, la Première Guerre Mondiale (et ses images), sur
Antonin Artaud ou les Jeux de 36 à Berlin, on y trouve toujours une précision et une attention des mots, une musique de la langue et du langage, un doute et des tentatives de questionnement et même parfois de réponses. Ce Vallotton Cinéma se range dans la lignée de ses travaux antérieurs, par sa justesse, sa qualité et son originalité, qui est de tisser des liens entre la peinture de Vallotton comme signe annonciateur du cinéma naissant. Un petit texte de grande valeur comme nous en procurent bien souvent les éditions de l'Échoppe. Recommandé.