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EAN : 9782366580044
221 pages
KERO (25/03/2013)
2.99/5   34 notes
Résumé :
D'un côté, une étoile de la variété française, qui brille encore à chacune de ses apparitions, malgré les années et les nouvelles musiques qui l'ont ringardisée.
De l'autre, un « metteur » du théâtre savant, à mille lieux de l'univers populaire de l'étoile.
Aucune chance que ces deux-là se rencontrent, et pourtant...
« L’étoile et la vieille », c’est l’histoire des dernières répétitions d’une artiste, d’une star très célèbre qui ne sait pas qu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Lorsqu'un producteur propose au narrateur, metteur en scène avant-gardiste, de monter un spectacle autour d'Odette, LA célèbre accordéoniste, celui-ci, bien que flatté, n'en est pas moins sceptique, tant un gouffre artistique sépare l'organisateur de théâtre de la reine déclinante du piano à bretelles.
Quelques heures plus tard pourtant, à la fin d'une représentation, le metteur en scène croise Odette au restaurant où il est allé dîner avec sa troupe. Cette drôle de coïncidence fait office de détonateur. le « metteur » y voit un signe du destin, une injonction venue de loin, il accepte le projet, il va travailler avec la star de variété octogénaire à accordéon et cheveux rouges.

« L'étoile et la vieille » narre cette rencontre improbable, la réunion de l'icône de la musique populaire avec la musique savante, de la vieille dame kitsh et du « metteur » intello.
En mettant en présence deux personnes à des années-lumière l'une de l'autre, Michel Rostain ordonne un festival de bonne humeur animé d'émotions vives et contrastées.

La première partie, joviale et enjouée, offre des moments piquants, empreints de sourires et de badinages. le metteur est sous le charme, devenu satellite, en apesanteur autour de l'astre Odette. Son extraordinaire présence scénique et artistique, sa fascinante personnalité, opèrent chez l'homme incertain et un brin indolent, un puissant magnétisme.

Malgré leurs différences, personnelles, générationnelles ou musicales, les deux artistes apprennent à se découvrir, à s'apprécier, à s'aimer.
Entre eux, ça crépite de tendresse et de respect, mais ça fait aussi des étincelles, ça crée des turbulences atmosphériques, ça occasionnent des télescopages inattendus dans une mise en scène colorée. Puis peu à peu le décor s'assombrit, la partition se joue sur les accords dissonants d'une boîte à chagrins. L'air de musette s'empreint de nostalgie.
Car Odette est une vieille étoile, proche de la disparition. Passée en mode alternatif, elle ne brille plus que par intermittence, elle clignote et papillote comme une enseigne lumineuse en voie d'imploser, son noyau dur fait des siennes, ses neurones s'emballent, Odette décline, et chaque jour qui passe, le metteur doute de plus en plus qu'elle puisse assurer le spectacle.
Le compte à rebours affiche le grand âge d'une étoile affaiblie à l'éclat voilée. Sa musique embrouillée, son esprit confus, ne révèlent plus la star adulée mais plutôt la vieille dame qui se rapproche dangereusement du trou noir, aux prises avec un temps désormais assassin.
Le spectacle pourra-t-il avoir lieu ? « The show must go on » dit-on, oui mais…quand une étoile n'émet plus que des rayons diffus, que faut-il faire? Jouer ou annuler? Tenaillé entre empathie et évidence, le metteur, tout comme le lecteur, compte les heures qui le séparent du lever de rideau…

Après le récit autobiographique « Un fils », Prix Goncourt du premier roman 2011, l'auteur s'inspire à nouveau de la réalité pour relater ce rendez-vous artistique teinté d'humour tendre aussi étonnant qu'inattendu.
Malgré l'inutilité de casser le rythme du roman en dévoilant de façon saugrenue, en plein milieu de récit, la source d'inspiration du texte et imposer ainsi de façon radicale le nom de la célèbre accordéoniste Yvette Horner derrière le personnage d'Odette, « L'étoile et la vieille » est un sympathique et émouvant roman sur la passion musicale, sur les affres de l'âge, sur le douloureux déclin de l'artiste.
S'il y a ça et là quelques couacs harmoniques, quelques longueurs et inégalités, l'on prend toutefois plaisir à écouter vibrer « le branle-poumon » d'Odette/Yvette sur la scène imaginaire de Michel Rostain.

Merci aux éditions Kero et à Babelio pour cette opération Masse Critique.
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Livre émouvant surtout l'avant dernière page , livre un peu inégal , qui mérite 3 , 4 étoiles , certains livres ne se notent pas , ils ne sont pas spécialement bien écrits mais ils dégagent une grande humanité .
J'ai un peu de mal avec Michel Rostain , j'ai lu ˆ le fils ' , déroutant , déjà le titre si court , si impersonnel pour cette histoire si personnelle , et en recevant de Babelio , ce second livre de l'auteur , je me disais ' Mais qu'est- ce qui m'a pris de vouloir lire ce livre ' , et encore une fois l'auteur m'a déroutée et séduite , oui séduite par le mélange assez juste entre propos insignifiants et phrases bouleversantes .
J'avais envie de mettre pleins de citations du livre plutôt que de mettre une critique , difficile de mettre des mots sur l'émotion ressentie , moi qui n'ai pas trop envie de lire en ce moment , ce livre arrive au bon moment pour me redonner envie de lire , évidemment j'allais pas arrêter définitivement de lire ....
Ce que j'ai aimé chez l'auteur c'est sa façon de ne pas se prendre au sérieux , de casser les codes .
Oui c'est honteux de dire qu'on aime ' Odette ' dans certains milieux , il vaut mieux préférer ' Barbara ˋ , comment peut-on aimer ' Odette ' et ne pas être ringard se demande l'auteur , c'est un peu comme si une grande lectrice osait avouer qu'elle rêve de lire des Harlequins , non , non ça ne se fait pas .
Oui il y a des codes sociaux reconnus , ça c'est bien , ça c'est ringard et attention de ne pas s'emmêler les pinceaux , mais les codes sociaux bien établis ne sont-ils pas fait pour être détournes pour notre plus grand bonheur .
Car oui , quand le hasard ? , permet à l'auteur de rencontrer ' Odette ' , il vacille sur ses certitudes , rencontre magique , inattendue mais est-elle vraiment hasardeuse nous demande l'auteur .
Et puis la vieillesse vient brouiller les pistes , ah pauvres mortels que nous sommes .
Désolée si ma critique n'est pas très claire ....
Un livre avec quelques défauts mais avec un côté sublime , oui comme la vie .
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Le langage est musique et, ici, les mots sont les notes disposées sur une portée de 219 pages.
L'auteur a construit son livre comme une suite symphonique émotionnelle, depuis l'ouverture en passant par l'allegro, le scherzo, le fugato et le final, telle la musique savante que le « metteur » – Michel Rostain est metteur en scène d'opéras – , fréquente en érudit et en avant-gardiste (sa description de « l'anarcho-laïcar de type irrespect agressif contre les pouvoirs rassis et les bonnes âmes » le positionne dans le monde artistique puriste, rigoureux, novateur presque mystique, bien loin de la culture de consommation).
Au centre des mouvements, un terme bien connu des émissions de variétés rétro-nostalgie, tant appréciées en notre décennie, surgit décalé : le medley.
Quand la Musique rencontre la musique voire la musiquette ou musique populaire, les deux se dévisagent, s'étreignent et s'écharpent, le soufre de l'une exalte la souffrance de l'autre. S'apprivoisent-elles ?
Un peu, beaucoup, pas du tout, jusqu'à la folie : un véritable mélodrame se joue (autre terme plus théâtral et combien évocateur) hors réalité dans cette rencontre entre Odette l'accordéoniste, ancienne gloire des années 50 n'acceptant pas de n'y être plus, reine déifiée de la musique popu et le « metteur » sollicité pour la mettre en scène.
Dès le début du livre, nous reconnaissons cette femme aux cheveux flamboyants dont on (je) regardait (s) distraitement l'apparition kitsch à la télévision il y a quelques décennies et dont la musique, synonyme peut-être à tort de musette, nous (me) faisait (s) dresser les cheveux sur la tête, un peu comme elle ...
Nous nous reconnaissons dans ce que l'auteur en dit et nous imaginons plus qu'il ne faut ce bazar dans lequel elle vit et cet ego agaçant qu'elle porte en bouclier.
Puis, Michel Rostain introduit dans le scherzo une mise en garde qui nous déroute. Ce qui écarquillait nos yeux s'avère-s'avérerait déformé par la longue vue des années et le grossissement imaginatif de l'auteur.
Notre lecture reprend, différente, et nous tâchons de décoder fiction et réalité ; le doute subsiste...
Qu'importe ! Là n'est pas l'essentiel. La lecture devient de plus en plus ardente, à fleur de sensibilité.
Aime-t-on Odette ? Notre empathie se calque-t-elle sur celle du « metteur » ?
En ce qui me concerne, elle m'apitoie et m'agace, je la scrute et la rejette, je la plains et la maudis, je refuse l'aura si bien décrite par Michel Rostain. Sans doute suis-je trop méfiante ?
Je m'oublie et tente de comprendre la descente aux enfers de la « vieille » qui ne veut pas l'être, étoile qui s'éteint, jetant quelques derniers éclats autour d'elle, avide de conserver cette lumière qui fut l'oxygène de sa vie. Vie qui apporta du bonheur à d'autres vies.
Je frémis devant les doigts qui jouent dans ce vide qui ne l'est que pour nous.
Pitoyable et inébranlable condition de tout être humain : vieillesse et mort.
Toute sa cruauté apparaît dans la perte de ce qui fut, pire que la disparition finale.
La dissection de l'impuissance de tout homme devant ce délitement est présentée précise, sans espoir, en une attente douloureuse si le courage (?) d'en finir lui manque.
Finir. Finale de l'oeuvre. Finale de l'être. L'être et son oeuvre. L'oeuvre qu'est l'être.
Finale du livre en quelques lignes qui font mal mais qui rassurent : nous sommes tous pareils.
Il y a l'étoile et la vieille. Elle a brillé certes un peu plus que les autres, mais toutes s'éteignent et se rejoignent.
Nous suivons avec compassion les affres du metteur en scène qui sait qu'il va droit dans le mur, fidèle-infidèle à ses nobles convictions sur l'acte théâtral et sur l'approche scénique.
Elles éclairent les amateurs de créations artistiques. Elles leur confèrent les lettres de noblesse qui font oublier la médiocrité culturelle ambiante.
Un livre qui touche et le coeur et l'esprit, écrit dans un style naturel.

Merci à Babelio et aux Editions Kero de m'avoir permis cette découverte en avant-première.
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Je remercie Babelio et les éditions Kero pour cette lecture !

Odette est une star, une étoile. Virtuose de l'accordéon, elle connaît un succès sans faille et chaque nouvelle représentation renforce sa popularité. Même âgée, elle continue à être admirée. Les forces du destin vont la mener au metteur. Son style très avant-gardiste n'a rien pour lui plaire. Leurs univers sont aussi éloignés que la terre et le soleil. Amateur de musique classique et des plus grands compositeurs, il va néanmoins devoir monter un spectacle avec cette femme, cette vieille, dont le jeu ne lui inspire pas de bonnes vibrations.

L'étoile et la vieille, c'est donc la rencontre entre deux êtres, aux univers divergents mais qui vont apprendre à collaborer et à se découvrir. le metteur nourrit une forme de fascination pour elle, cette vieille aux goûts en matière de décoration démodés, qui semble avoir fait son temps.
L'auteur nous transporte entre confusion, amitié, inquiétude, admiration et incertitude dans une valse à trois temps: la découverte, la prise de conscience et la perdition. A la fin, la vieille entraîne l'étoile qui entraine le metteur. L'histoire d'une chute... dans la musique. Ne pas se rappeler des notes d'une partition peut sembler important à une personne extérieure. Mais quand jouer est la seule chose que vous savez faire et que vous êtes reconnu pour ça, pourquoi arrêter?
Michel Rostain nous embarque aux côtés de ses personnages, partiellement fictifs, dans l'histoire d'une rencontre où les univers se rencontrent. La passion qui se dégage de ce livre est saisissante. Mais il est bon de croire que la musique peut être le dernier point de rattachement d'un homme, au dernier stade de sa vie. Si l'on pouvait choisir sa mort, nul doute que se laisser emporter jusqu'à la folie dans la musique en serait une belle.

Michel Rostain manie les mots avec beaucoup de poésie pour nous présenter des héros touchants voir bouleversants. L'étoile et la vieille, c'est le drame d'une vie, mais d'une belle vie. Devrait-on dire deux vies, car Odette existe parce que le metteur nous en a offert le souvenir. Cette histoire n'est ni plus ni moins qu'une partition bien ficelée qu'on lit comme on écouterait un opéra.
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Michel Rostain avait marqué la scène littéraire en recevant le Goncourt du Premier Roman à près de 70 ans pour le fils, chronique émouvante et très personnelle sur le travail de deuil qu'il avait du accomplir suite au dècès de son fils, mort d'une méningite foudryante à 21 ans. Si le livre ne m'avait pas totalement convaincu, j'avais apprécié la pudeur et l'élégance de sa plume.

Deux ans plus tard, alors même qu'il a été pendant près de 15 ans directeur de la Scène nationale de Quimper, il publie un second roman qui sort le 25 mars prochain, et que j'ai eu la chance de découvrir, sans savoir de quoi il en retournait, grace à Babelio et son opération Masse Critique.

Là encore, l'auteur va prendre comme point de départ de sa fiction une aventure qui lui est arrivé personnellement, puisque L'étoile et la vieille nous raconte la rencontre autour d'un projet musical commun entre un directeur de théatre breton et metteur en scène ( les coiencidences avec un prix goncourt du premier roman sont assez troublantes) et une star populaire et plus très jeune, dont les titres de gloire sont d'être considérées comme la reine de l'accordéon et d'avoir les cheveux oranges!!!

Même si on n'est pas forcément fou d'accordéon, n'importe qui aura deviné au bout de 2 pages que cette star sur le déclin n'est autre qu'Yvette Horner, cette star de l'accordéon, que je voyais beaucoup à la télévision pendant mon absence et qui effectivement, bien que cela doit faire au moins 15 ans que je n'avais plus entendu parler d'elle, traine derrière elle tout un aspect de la culture populaire, à des années lumières de l'image qu' a une scène théatrale subventionnée.

Bref, après une petite cinquantaine de pages de mise en place de cette rencontre, Michel Rostain quitte les rails de sa fiction pour nous dire que, si cette Odette pourrait faire penser à Yvette Horner ( ouf, j'étais pas complétement à coté de la plaque), avec qui il a effectivement travaillé, il y a dix ans, autour d'une pièce qui n'a jamais vu le jour, ce n'est pas vraiment cette histoire qu'il raconte, mais une fiction très romancée de cette collaboration avortée.

Malgré cette mise en garde dont le timing est assez surprenant ( on s'attend généralement à avoir ce genre d'observations à au début ou à la fin d'un roman et pas en plein milieu), je n'ai pas pour autant changé ma facon de voir le roman, et me dire que cette rencontre artistique entre la si populaire Yvette Horner et ce metteur en scène intello sentait quand même énormément le vécu et l'authenticité, et que Rostain n'avait pas du changer grand chose à son récit de départ.

Et c'est d'ailleurs cet aspect des choses qui rend le livre crédible et interessant, même s'il faut dire qu'au départ j'étais parti prenante, vu que le milieu du théatre est un domaine qui me passionne et voir la cuisine interne d'une préparation d'une pièce ne pouvait que me séduire a priori .

Par ailleurs, cette rencontre de deux univers radicalement différents est souvent bien vue et croquignolesque à souhait, tant le metteur en scène fait montre de tact et de délicatesse pour ne pas s'agacer devant les caprices et les sautes d'humeur de notre diva.

Une diva, qui, malheureusement, et c'est le principal bémol de ce livre, n'apparait pas aussi attachante que Rostain aimerait nous la peindre. Malgré l'excuse de l'âge et de la maladie, cette Odette nous semble en effet bien vite acariatre et caractérielle et ne nous fait pas changer d'avis sur l'image de mégalomane que véhiculent si souvent les stars.

Mais malgré ce peu d'empathie qu'on a pour la star ( et également pour le metteur en scène, Rostain ne s'épargnant pas forcément non plus), le livre reste un très interessant - et parfois quand même touchant- témoignage sur le processus créatif et sur le déclin lié à l'âge, a fortiori lorsqu'on a affaire à une célébrité.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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critiques presse (1)
Lexpress
25 avril 2013
C'est tout le talent de Michel Rostain de nous offrir, sur un même plateau, opéra, comédie et drame.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Quand une étoile se dégrade, elle émet dans le désordre, avec par moments des silences et à d'autres de très violentes émissions d'énergie. On y est. Après la musique sans son, après les soliloques incertains et les préludes indécis, une énorme bouffée d'harmonies et de rythmes jaillit. Victor Hugo chante ces soubresauts d'étoile comme "la clameur du mourant éperdu", un vacarme qui serait "brusque, éclatant, splendide, inattendu". En ce moment, Odette est cette étoile-là, somptueuse, incandescente, imprévisible.
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Un autre spasme la soulève et la fait vomir . Le metteur gerbe aussitôt - la vue du dégueulis le fait toujours vomir , une variante minable de l'empathie .
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Au bout du compte, les vrais virus culturels se transmettent d'abord par des contacts émotionnels, infiniment plus qu'avec des idées justes
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Il faut dire que le metteur est athée, mais avec des relents mystiques.Il ne croit ni à dieu ni à diable, il est profondément rationaliste, il est même en général très anticurés et autres barbus.Mais il cavale à chaque fois qu'il y a coïncidence, hasard ou autres acheminements aussi impossible à imaginer que fabuleux à suivre. Il scrute les rêves. il se nourrit de surréel et de divagations poétiques...En résumé, il est à l'affut de tout ce qui nous dépasse
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"Pas de valse donc, ni d'Odette, ni d'accordéon dans son capital génétique. Le metteur étant de la génération d'après, il s'est construit autrement - pétards, manifs, rock, pop et cheveux longs."
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Vidéo de Michel Rostain
En 2011, Michel Rostain a publié "Le fils" qui été consacré à la mort de son fils, à l'âge de 21 ans. Dix ans après, l'écrivain publie "Le Vieux" chez Calmann-Levy. Ce roman raconte l'histoire d'un vieux metteur en scène d'opéras. Celui-ci est confronté au suicide d'un jeune comédien. Cet acte pose la question de vouloir mourir dans la dignité. Ce livre est d'autant plus dans l'actualité car, cette question est actuellement débattue au Parlement.
Retrouvez l'intégralité de l'interview ci-dessous : https://www.france.tv/france-5/la-grande-librairie/
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