Alfred est écrivain public, Simon cordonnier. Tous deux sont juifs, les seuls en Afghanistan. Ils vivent à Kaboul dans
Chicken street. Amis, ils se comportent néanmoins l'un envers l'autre comme des ennemis.
Un jour, Naema, va entrer chez Alfred pour lui demander d'écrire une lettre à Peter, un journaliste qu'elle aura connu le temps d'une nuit mais qui va être le père de son enfant.
Être fille mère à Kaboul est impossible, Alfred en devient malade; Peter ne recevra pas la lettre lui annonçant la nouvelle car sa femme à Los Angeles va l'ouvrir, par hasard. Ce roman est donc l'histoire des pensées, des états d'âme de cinq personnes entre New York et Kaboul, sur fond d'intégrisme religieux.
Chicken Street est assez déroutant mêlant humour et gravité tout comme Terres Saintes.
A la lecture de la dernière de couverture et après la découverte de Terres Saintes, je me faisais une vraie joie de me plonger dans ce roman bien connu d'
Amanda Sthers. Ce fût une vraie déception : l'histoire est décousue, le style peu fluide, les personnages sans vrai relief.
J'ai mis dans ma pile des livres d'été un autre
Amanda Sthers pour me faire un avis et ne pas rester sur une forme de 1 partout... alors à suivre!